Merci de ne pas croire à l’intro de BFM TV sur le « taux d’incidence ». Pour le reste, on a une pensée pour les millions de doubles vaccinés qui vont perdre leur « pass politique », comme le dit Raoult, alors qu’ils se sont soumis à toutes les injonctions et toutes les injections.
Bonjour @LeHuffPost. Merci d’éviter de publier des fake news. Ces résultats ne sont ni ceux d’une « étude » (mais les résultats non-peer reviewed d’un essai), ni ne sont « publiés » dans aucun journal. Ceci est un communiqué de Pfizer. Votre article est-il un publi-reportage ? https://t.co/kPxTzqt2ZE
— Maximilien Delvallée (@MaxDelvallee) October 21, 2021
– La Rédaction d’E&R –
Le Premier ministre Jean Castex s’en remet à l’avis de la Haute Autorité de Santé afin de savoir si cette hypothèse est viable ou non.
Comment va évoluer la lutte contre le Covid-19 en France ? Alors que le taux d’incidence national remonte peu à peu à l’échelle nationale ces dernières semaines et que plusieurs départements, dont la Meuse et la Lozère, sont concernés par une circulation bien plus forte du virus, l’exécutif réfléchit à la manière d’endiguer définitivement la pandémie.
La parole à la HAS
Ce lundi [18 octobre 2021], lors d’une rencontre inopinée avec la presse à Rome, le Premier ministre Jean Castex, qui quelques heures plus tôt avait pu s’entretenir avec le pape François au Vatican, a évoqué l’une de ces hypothèses. Pour lui, il serait possible de conditionner le pass sanitaire des Français à l’injection d’une dose de rappel et donc, par extension, de suspendre le document des individus qui refuseraient cette fameuse troisième dose.
« Les conditions pour bénéficier du pass sont fixées par la HAS (Haute Autorité de Santé). A la HAS de nous dire si nous devons ou non étendre l’éligibilité du pass à la troisième dose ? L’avis est sollicité », a-t-il lâché.
[…]
Du côté des professionnels de la santé, l’idée ne fait pas recette. Contacté par notre antenne, le professeur Yves Buisson, membre de l’Académie nationale de médecine et président du groupe Covid-19 estime qu’il s’agit d’une « mauvaise idée ».
« Si la mesure requise est de supprimer le pass sanitaire de personnes qui ont reçu deux vaccinations au prétexte qu’elles refusent ou qu’elles n’ont pas encore fait leur injection de rappel, c’est une mauvaise idée. […] Cette troisième dose n’a pas une importance épidémiologique considérable qui est démontrée. Il faut plutôt inciter les personnes qui ne sont pas encore vaccinées à le faire. Ça, ce sera plus efficace qu’aller enquiquiner ces personnes », estime-t-il. Pour lui, « ce n’est pas l’objectif d’une campagne de vaccination que de s’acharner sur ces personnes-là ».
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