Un complément d’enquête cinglant qui démontre comment la corruption est omniprésente, omnipotente et omnivore. Non pas omnivore. Lisez l’enquête !
SOMMAIRE
- France Soir et la « fricosphère »
- L’enquête sensation
- Ce que France Soir aurait dû rajouter
- Elsevier ou l’arbre qui cache la forêt
- Où nous mène le fil de la vérité ?
France Soir et la « fricosphère »
Toujours à contre-courant des médias mainstream qui propagent la Sainte parole gouvernementale, France Soir publie une nouvelle enquête qui fait sensation (1) !
Au cœur de la « fricosphère » médicale, un terme qui marquera probablement l’histoire du journalisme.
En déroulant le fil de la vérité sur les liens d’intérêts, France Soir et son collectif connu pour ses analyses minutieuses et poussées démontrent les rouages de la corruption.
On parle de science.
On parle de colosses de la finance.
Vanguard et Blackrock.
Des mastodontes qui tirent les ficelles.
Dans quel but ? Deux principalement.
- Promouvoir des traitements toxiques et inefficaces, comme le remdésivir.
- Faire la cabale aux médicaments qui ne coûtent rien et qui soignent, comme l’hydroxychloroquine.
L’enquête de France Soir laisse sans voix.
L’enquête sensation
Tout commence par un « groupe contrôle » pioché par le journal en ligne.
On parle d’une étude qui ne retrouve aucun bénéfice sur la mortalité de l’hydroxychloroquine.
On s’interroge.
Pourquoi ce résultat ?
Une différence dans la méthode ?
Dans le nombre de participants ?
Dans les analyses statistiques ?
Non ! Dans les liens d’intérêts.
Car le journal aux positions tranchées nous révèle que cette étude a été menée par le groupe hospitalier HCA.
Un mastodonte de la santé qui gère plus de 180 hôpitaux aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.
Et devinez qui on retrouve derrière le groupe HCA ?
Oui, Vanguard !
Le fond d’investissement tentaculaire ne s’y trompe pas !
Les bénéfices du groupe HCA sont colossaux.
Les liens ne sont pas encore tout à fait clairs ? Attendez la suite.
France Soir enfonce le clou.
Car devinez qui est le financeur indirect d’Elsevier, l’éditeur de l’étude à l’origine du LancetGate ?
Vanguard bien sûr !
Avec Blackrock.
Vanguard et Blackrock sont donc des actionnaires majoritaires du groupe Elsevier, éditeur de l’attaque frauduleuse contre l’hydroxychloroquine.
Mais aussi actionnaire du groupe HCA… auteur d’une publication négative sur ce même médicament.
Mais pourquoi cette cabale ?
Le fric bien sûr.
Car d’après France Soir, et preuve à l’appui, Vanguard et Blackrock sont aussi les actionnaires… de Pfizer !
Prévisible.
Pfizer tire les ficelles de la vaccination.
Plomber les traitements gratuits (comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine) est d’une évidence déconcertante.
Plus spectaculaire encore, devinez qui finance Gilead produteur du remdésivir ?
Vous l’avez bien sûr deviné… Vanguard et Blackrock !
Eux-mêmes détenteurs majoritaires du groupe Elsevier, lui-même éditeur du journal ayant publié l’étude avec des données suspectes de la société Surgisphère, mais aussi actionnaire du groupe HCA, lui-même à l’origine d’une étude négative sur l’hydroxychloroquine !
On respire !
C’est dingue.
J’en reviens pas.
Le puzzle assemblé par France Soir déconcerte.
Ce que France Soir aurait dû rajouter
Les enquêteurs de France Soir ont fait un excellent travail.
Ils ont pourtant raté des informations importantes.
Inédites.
Graves mêmes.
De la même manière, je me suis intéressé aux groupes Vanguard et Blackrock, mais pour d’autres laboratoires pharmaceutiques.
Merck par exemple.
Il produit quoi Merck ? Le stromectol !
L’ivermectine.
Et devinez qui ont retrouve derrière Merck ?
Vanguard ! (source)
Ils sont décidément partout.
Même derrière l’ivermectine, et c’est à y perdre son latin.
J’en viens à me poser des questions sur un autre laboratoire… Sanofi !
Qui se trouve derrière Sanofi d’après le site Morningstar ?
Vanguard !
Et Blackrock !
Et que produit Sanofi qui pourrait lui rapporter de l’argent dans cette crise ?
La célèbre Plaquenil plus connu sous le terme générique d’hydroxychloroquine !
Diantre.
Ces investisseurs mondiaux ont donc délibérément choisi d’investir dans plusieurs laboratoires pharmaceutiques concurrents ?
Comble de la surprise dans cette enquête, mais on retrouve également Vanguard avec ou sans blackrock dans les sociétés suivantes :
- Chez Otsuka Holdings qui revendent de la vitamine D (2)
- Chez Mylan qui produit l’ivermectine et la fluvoxamine (3)
- Chez Teva qui produit la quasi-totalité des génériques (ivermectine, hydroxychloroquine 4)
- Chez Lupin Pharmaceutical, la plus grosse boîte de générique en Inde… qui produit l’ivermectine (5, 6)
Elsevier ou l’arbre qui cache la forêt
Rappelez-vous :
- Vanguard et Blackrock sont derrière Elsevier (7).
- Elsevier se trouve derrière le Lancet.
- Le Lancet est lui-même derrière la fraude avec Surgisphère contre l’hydroxychloroquine.
Mais j’ai trouvé encore plus fort que les révélations de France Soir.
Elsevier semble être un mastodonte de la recherche scientifique.
Un groupe qui détient plus de 2.600 journaux scientifiques, dont le célèbre Lancet ou encore Cell.
Un groupe qui détient aussi… l’International Journal of Antimicrobial Agents ! (8)
Ce nom vous parle ?
Vous l’avez sur le bout de la langue ?
C’est le journal scientifique de l’IHU de Didier Raoult, avec Jean-Marc Rolain en éditeur en chef, directement sous l’autorité hiérarchique du sulfureux directeur.
Vanguard, derrière le groupe d’hôpitaux HCA à l’origine de l’étude négative sur l’hydroxychloroquine serait aussi le financeur… du journal de l’IHU de Marseille qui publie les études positives sur l’hydroxychloroquine ?
Où nous mène le fil de la vérité ?
L’enquête de France Soir s’articule également autour du remdésivir.
Un scandale pour le journal car le médecin de l’AP-HP, Nathan Peiffer-Smadja, a pu le recommander sous condition au tout début de la pandémie.
Quand nous n’avions pas vraiment de choses à proposer aux malades.
Mais pour apporter la preuve du manque d’efficacité du remdésivir contre la Covid-19, France Soir cite une étude… parue dans le Lancet… et co-écrite par Nathan Peiffer Smadja.
Autrement dit : par Elsevier, donc BlackRock, donc Vanguard, donc HCA, donc…
Que disions-nous ?
Je m’y perds.
Peut-être qu’en réalité, en tirant ce fil de la vérité et de la corruption on réalise que le groupe Vanguard et blackrock investissent…. Partout.
Aussi bien dans les laboratoires qui produisent des médicaments brevetés hors de prix et dont l’efficacité est discutable.
Mais aussi dans les plus grands fabricants de génériques de la planète qui produisent les célèbres ivermectine ou hydroxychloroquine.
Mais à quoi peuvent-ils bien jouer ?
Je crois qu’un groupe d’individus s’est légèrement pris les pieds dans le fil de l’investigation.
Je vous laisse deviner de qui on parle !
Notes:
(1) Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt
(2) https://www.marketscreener.com/quote/stock/OTSUKA-HOLDINGS-CO-LTD-7997188/company/
(3) https://www.zonebourse.com/cours/action/MYLAN-INC-13669/societe/
(4) https://www.zonebourse.com/cours/action/TEVA-PHARMACEUTICAL-INDUS-40246797/societe/
(5) https://www.marketscreener.com/quote/stock/LUPIN-LIMITED-9059009/company/
(6) https://www.lupin.com/our-products/product-finder/?searchkey=ivermectin
(7) https://www.marketscreener.com/quote/stock/RELX-PLC-9590187/company/
(8) International Journal of Antimicrobial Agents
– Source : Dur à Avaler
Source : ZE Journal
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