La facilitation de l’infection par des anticorps s’accélère chez les personnes entièrement vaccinées

La facilitation de l’infection par des anticorps s’accélère chez les personnes entièrement vaccinées

La conclusion de cette étude ne donne guère d’espoir sur les effets à long terme sur le système immunitaire si on en croit cette phrase clé :

” les vaccins semblent endommager progressivement le système immunitaire au cours des mois suivants,” 

Un programme du ministère américain de la Défense, utilisant l’IA , nommé Project Salus,” exécuté en coopération avec le JAIC (Joint Artificial Intelligence Center Centre commun d’intelligence artificielle), a analysé les données de 5,6 millions de bénéficiaires de Medicare âgés de 65 ans ou plus et a constaté que la facilitation de l’infection par des anticorps s’accélère chez les personnes entièrement vaccinées dans la semaine de la vaccination. Les résultats alarmants montrent que la grande majorité des hospitalisations pour covid se produisent parmi des individus entièrement vaccinés et que l’état  des personnes entièrement vaccinés s’aggrave d’une semaine à l’autre. Cela semble correspondre au modèle dit de facilitation de l’infection par des anticorps [1], où l’intervention du traitement (vaccins à ARNm) aggrave les résultats pour la santé et entraîne un excès d’hospitalisations et de décès. Ces données, présentées ici, détruisent le récit officiel qui prétend à tort que l’Amérique connaît une « pandémie chez les non vaccinés ». Les données montrent que la pandémie semble plutôt s’accélérer à cause des « vaccins » contre le covid-19, tandis que les individus non vaccinés ont de bien meilleurs résultats que les vaccinés. De plus, selon ces données (illustrées ci-dessous), la meilleure stratégie pour éviter les infections post-vaccinales et les hospitalisations est l’immunité naturelle dérivée d’une éventuelle infection covid antérieure. L’analyse complète est intitulée « Efficacité des vaccins à ARNm COVID-19 contre la variante Delta parmi 5,6 millions de bénéficiaires de Medicare de 65 ans et plus » et est datée du 28 septembre 2021. La présentation de ces données se compose de 17 diapositives, qui sont disponibles sur le site d’Humetric. Extrait du document du projet JAIC Salus : Dans cette population de 65 ans et plus, vaccinée à 80 %, on estime que 60 % des hospitalisations liées au COVID-19 se sont produites chez des personnes entièrement vaccinées au cours de la semaine se terminant le 7 août.

 Au 21 août, 71% des « cas » de covid-19 se produisaient parmi des individus complètement vaccinés :
Dans cette population de 65 ans et plus, vaccinée à 80 %, on estime que 71 % des cas de COVID-19 sont survenus chez des individus entièrement vaccinés.

Ces données révèlent qu’à mesure que la variante Delta approchait d’un taux d’infection de 97%, les «cas» et les hospitalisations parmi les individus complètement vaccinés ont montré des augmentations frappantes avec chaque semaine qui passait.
Principales conclusions de l’analyse DoD / JAIC / Project Salus / Humetrix
Tout au long des diapositives, « VE » fait référence à l’efficacité du vaccin. “Breakthrough” signifie un échec du vaccin, où une personne entièrement vaccinée est diagnostiquée avec le covid. Beaucoup de ces personnes nécessitent une hospitalisation et des traitements en soins intensifs (voir les diapositives ci-dessous). Voici quelques-unes des principales conclusions de l’analyse du projet Salus : • Il est confirmé que l’efficacité des vaccins à ARNm diminue avec le temps. • Chaque semaine qui passe, les personnes vaccinées avec des vaccins à ARNm présentent un risque accru d’échec vaccinal / plus d’infections à covid, nécessitant une hospitalisation. D’après l’analyse : « la probabilité du risque  multipliée par 2,5  dans les 6 mois suivant la vaccination. » • L’immunité naturelle fonctionne : une infection covid antérieure réduit considérablement le risque qu’une personne vaccinée ait besoin d’être hospitalisée à la suite d’une nouvelle infection.

L’échec vaccinal s’aggrave considérablement dans les 5 à 6 mois suivant la vaccination
Une diapositive de l’analyse révèle que les infections dites “breakthrough” – les échecs vaccinaux – augmentent avec le temps, montrant un quasi-doublement des infections “breakthrough”  chez les personnes vaccinées il y a 5 à 6 mois par rapport à celles vaccinées il y a seulement 3 à 4 mois. Ces données se terminent au 21 août 2021 mais la tendance ne semble pas s’aplatir. Au fur et à mesure que de nouvelles données sont ajoutées à cette analyse chaque semaine, il semble presque certain que les taux d’infections persistantes continueront d’augmenter au fil du temps chez les personnes vaccinées. Nous ne savons pas encore ce qui se passera dans 9 mois après la vaccination, mais ces données sont très préoccupantes.

Le graphique suivant révèle que les vaccins Pfizer et Moderna présentent le même schéma d’aggravation des taux d’infection “breakthrough” au fil du temps. Remarquez la tendance à la hausse de toutes les barres de ce graphique, ce qui signifie que les deux vaccins à ARNm produisent la même augmentation des infections chez les personnes complètement vaccinées :

Une fois que la variante Delta s’est installée, 71% des cas de «“breakthrough”  ( percée de l’infection)  de COVID-19 se sont produits parmi les personnes entièrement vaccinées

Comme le montre le graphique suivant, 71 % des « cas » de COVID-19 étaient des cas breakthrough (échecs vaccinaux) une fois que la variante Delta a atteint 90 % de propagation parmi les personnes infectées.
Il faut comprendre que les auteurs de ce document déclarent que ceux qui sont fait piquer ne sont considérés comme « vaccinés » que deux semaines après avoir reçu l’injection, ce qui signifie que les infections, les hospitalisations et les décès survenus entre 0 et 14 jours sont ignorés dans cet ensemble de données étudiées.
cela signifie donc que le pourcentage de personnes « complètement vaccinées » responsables de breakthrough infections (percées d’infections) , d’hospitalisations et de décès est considérablement plus élevé que ce qui est indiqué dans ces données. S’ils indiquent un taux de 71%, cela veut dire en réalité un taux plus proche de 80% ou même 90%, mais nous ne le savons pas avec certitude car ils cachent tous les résultats négatifs pour la santé pendant les deux premières semaines après l’administration des vaccins ( en prétendant que ces personnes ne sont « non vaccinées », ce qui est une tromperie délibérée utilisée pour essayer de cacher les effets nocifs des vaccins).

Les groupes ethniques les plus durement touchés : les Amérindiens, les Hispaniques et les Noirs

Enfin, une diapositive horrible dans l’ensemble de données révèle que l’un des facteurs de risque les plus élevés d’être hospitalisé après avoir été vacciné est simplement d’être d’origine amérindienne. Selon les données de cette diapositive, les Amérindiens sont confrontés à une probabilité d’environ 50 % plus élevée d’être hospitalisés après avoir été vaccinés, par rapport à d’autres groupes ethniques tels que les Blancs.
Les Hispaniques sont confrontés à un risque légèrement inférieur qui semble être d’environ 40 % plus élevé. Les Noirs font face à des taux d’environ 25% plus élevées.
Pourquoi cela?
Les propriétés de gain de fonction qui ont été intégrées à l’arme biologique SARS-CoV-2 – via Fauci, Daszak et le NIH – ciblent les récepteurs ACE2 qui existent en densités plus élevées dans les systèmes d’organes ciblés de nombreux groupes minoritaires tels que les Amérindiens, les Hispaniques et Noirs. Cela a conduit de nombreux observateurs à conclure que la protéine de pointe covid – qui est générée dans le corps de ceux qui prennent des vaccins à ARNm – est une arme biologique spécifique à la race conçue pour réaliser le dépeuplement des groupes minoritaires. Par exemple, Louis Farrakhan, leader de la Nation of Islam, a déployé de nombreux efforts pour porter cela à l’attention de ses partisans [2]. Ces données fournies par le document DoD / JAIC / Project Salus montré ici semblent soutenir la plausibilité de telles théories.
D’autres facteurs qui augmentent considérablement les chances d’une personne d’être hospitalisé après avoir reçu des vaccins comprennent l’insuffisance rénale (IRT), l’obésité morbide, les maladies chroniques du foie ou la chimiothérapie.

L’immunité naturelle offre une protection documentée contre une future hospitalisation

Enfin, les données présentées dans ce document montrent que l’immunité naturelle – répertoriée comme “antérieure au covid-19” diminue considérablement le risque d’hospitalisation après avoir reçu des vaccins contre le covid-19. (Voir la diapositive ci-dessus.)
Cela signifie que le meilleur moyen d’assurer le résultat le plus sûr d’un vaccin contre le covid est de faire l’expérience d’une infection par covid avant de se faire vacciner. Cela réduit considérablement votre risque de résultats négatifs pour la santé.
Là encore, si quelqu’un a déjà eu le covid, pourquoi aurait-il besoin d’un vaccin en premier lieu ? Au contraire, ces données montrent que toute personne choisissant de recevoir des vaccins contre le covid-19 fait le mauvais choix si elle souhaite éviter les infections, les hospitalisations ou les décès.
L’immunité naturelle, une fois de plus, est révélée comme le statut le plus efficace qui réduit les résultats négatifs.
Conclusion
En conclusion, ces données du DoD / JAIC détruisent absolument le faux récit des autorités qui tentent toujours de faire croire au public que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées. En réalité, la grande majorité des hospitalisations et des décès surviennent parmi ceux qui ont été complètement vaccinés, selon les 5,6 millions de personnes étudiées dans cet ensemble de données particulier (Medicare).
Il est important de noter que les résultats de santé post-vaccination s’aggravent avec le temps, ce qui signifie que les vaccins semblent endommager progressivement le système immunitaire au cours des mois suivants, rendant les personnes vaccinées beaucoup plus vulnérables aux infections ultérieures.
C’est la définition même de l’ADE (Antibody Dependent Enhancement), contre laquelle nous vous avons prévenus. Maintenant, il apparaît que l’ADE n’est plus simplement une théorie mais plutôt un phénomène confirmé reflété dans les données officielles de Medicare.

Source : Department of Defence AI programme finds Antibody-Dependent Enhancement is accelerating in the Fully Vaccinated
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NOTES de H. Genséric

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[1] La facilitation de l’infection par des anticorps (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais) est un phénomène se produisant lors d’une infection virale, quand des anticorps non neutralisants de l’hôte facilitent l’entrée du virus dans les cellules hôtes, et parfois aussi sa réplication1. Ce phénomène permet à certains virus d’infecter des cellules ne possédant pas le récepteur permettant l’entrée du virus. Il confère à certains virus une infectiosité et une virulence accrues. Les anticorps ont normalement trois fonctions immunitaires principales : se lier à l’antigène (virus notamment), activer le système du complément et recruter des cellules immunocompétentes.

[2]  AVERTISSEMENT : ne prenez pas le vaccin expérimental COVID-19 (Source)

L’honorable ministre Louis Farrakhan met en garde la communauté noire contre la prise du vaccin Covid-19 avec l’histoire perfide du gouvernement américain en matière d’expérimentation, de médicaments et de vaccins. Cette publication fournit des informations, des faits et un historique des raisons pour lesquelles nous ne devrions pas prendre « leur vaccin », ainsi que des conseils sur la façon de vous protéger, de protéger votre famille et votre communauté.

 « Ne les laissez pas vous vacciner, avec leur histoire de trahison à travers les vaccins, les médicaments. Écoutez-moi. Je dis aux présidents africains, ne prenez pas leurs médicaments ! Je dis à ceux d’entre nous en Amérique, nous devons convoquer une réunion de nos virologues qualifiés, épidémiologistes, étudiants en biologie et en chimie, et nous devons examiner non seulement ce qu’ils nous donnent. Nous devons nous donner quelque chose de mieux. »

VOIR AUSSI :

–  Vaccinés à mort. Une étude alarmante confirme que les vaccinés seront confrontés à des blessures et des décès catastrophiques liés à la facilitation de l’infection par des anticorps
–  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent
–  Bilan sanitaire au 25 septembre 2021 dans les pays champions de la vaccination anticovid
–  USA. Les données de l’assurance-maladie montrent que 269.250 personnes sont MORTES dans le 2 semaines suivant leur vaccination
–  Le bilan élevé des pertes causées par les vaccins à ARN messager appelle une réponse urgente. Par F. William Engdahl
–  L’inventeur du vaccin à ARNm : les vaccins COVID-19 peuvent rendre le virus plus dangereux

Vidéo : Comment se comporte le graphène injecté dans le corps des vaxxés 

Hannibal GENSÉRIC

Source : Numidia-Liberum

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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