Depuis quelques semaines, les gouvernements et médias covidistes cherchent à persuader le public que le covid est devenu une « épidémie de non-vaccinés » et que ceux-ci encombrent les hôpitaux, empêchant ainsi le relâchement des mesures sanitaires et le retour à la normale. On dirait que les autorités de France, de Belgique et du Canada se sont passé le mot pour être synchro dans la diabolisation des réfractaires à l’injection et dans leur désignation à la vindicte populaire. Tiens, comme c’est bizarre, ces trois pays sont justement dirigés par des politiciens consacrés naguère « global leaders » par le Forum Économique Mondial. C’est sûrement une coïncidence et il serait malvenu d’imaginer que le chef de ce machin, le gourou transhumaniste Klaus Schwab, ait donné consigne à ses trois adeptes de déclencher en même temps une offensive de culpabilisation et de stigmatisation des « no vax ». Il n’empêche que le résultat est là : encore un peu d’huile sur le feu et ces derniers vont devenir des lépreux à qui on jette des pierres, voire des boucs émissaires que l’on persécute pour exorciser les péchés de la cité. En Belgique, le premier ministre Alexander De Croo a tenu des propos d’une rare violence, limite appel à pogrom, contre les récalcitrants à la vaccination. Certains collègues et un quarteron de plumitifs l’ont même trouvé un peu dur, c’est dire si le dignitaire belge n’a pas été tendre envers les résistants à la piqûre, coupables selon lui de tomber massivement malades et de monopoliser des lits désormais désertés par les vaccinés. Mensonge ou vérité ? Mythe ou réalité ? Voyons de plus près ce qu’il en est.
Grossières manipulations
D’abord, il faut couper les ailes à un canard éléphantesque : le chiffre qui a circulé de 98% de non vaccinés à l’hosto, c’est n’importe quoi. En fait, ce pourcentage a été calculé depuis début janvier, soit au moment où il y avait 0% de vaccinés, et a été figé début juillet, soit avant que des tas de gens se précipitent dans les vaccinodromes pour pouvoir partir en vacances et recevoir le pass sanitaire. Ce n’est pas un cliché de la situation mais une évaluation très imprécise portant sur une période de 6 mois. Il est donc totalement faux de dire que seulement 2% des patients actuellement hospitalisés pour covid sont des vaccinés. C’est un énorme bobard et il fallait vraiment être un politicard stupide – il s’en est malheureusement trouvé – pour le gober et le régurgiter sur les plateaux télé. Ensuite, il faut savoir que les vaccinés n’ayant reçu qu’une dose d’un vaccin à deux doses sont considérés comme non-vaccinés, ce qui fausse considérablement les statistiques. Lorsque celles-ci sont corrigées, comme l’ont fait en Belgique mes amis de BAM (Belgian Alternative Media), on obtient 40% de patients complètement ou partiellement immunisés parmi les personnes hospitalisées, la proportion étant approximativement la même pour les malades admis en soins intensifs. Enfin, et c’est ici que la ficelle commence à ressembler à un câble de bateau, il faut savoir que les vaccinés ne sont classés comme tels qu’après 14 jours ! Dans les deux semaines qui suivent l’injection, ils ne sont pas comptabilisés comme « bénéficiaires » du vaccin car celui-ci n’a pas encore exercé son effet immunisant. Mais les effets secondaires et les décès, eux, n’attendent pas ce délai et se produisent généralement plus tôt. Ça signifie notamment que beaucoup de covid post-vaccinaux peuvent être attribués à des contaminations ayant précédé l’injection. Et voilà comment on fabrique la foutaise d’une épidémie fauchant quasiment exclusivement les inconscients qui ne veulent pas se protéger !
Regardons Israël
Pour masquer le fiasco de la vaccination sur « la circulation du virus » et les contaminations, on nous répète en boucle que les injections ont au moins le mérite d’empêcher les formes graves de la maladie. Mais ça aussi, c’est du pipeau ! Pour réaliser que c’est de la poudre aux yeux, il suffit de les tourner vers les pays qui ont pris les devants et nous ont précédés dans la course à la piquouze : après une brève accalmie donnant des apparences de succès, les cas de covid sévères y ont repris leur envol parmi les vaccinés. C’est le constat qui a été fait notamment au Royaume-Uni : les décès parmi les vaccinés concernent à présent deux tiers de l’ensemble des décès attribués au variant Delta. Même désillusion en Israël où, en août, plus de 60% des personnes gravement malades étaient entièrement vaccinées. Champion de l’inoculation de masse avec 70% de la population primo-vaccinée et près de 90% des personnes à risques ayant reçu au moins deux doses du Pfizer, ce pays est particulièrement intéressant à suivre car il est un peu la photographie de ce qui nous attend avec un décalage dans le temps. Or qu’y voit-on ? On y voit très clairement que la fuite en avant vaccinale n’empêche ni les poussées épidémiques de plus en plus fortes, ni l’augmentation des hospitalisations, ni celle des formes graves et des décès. Selon le Dr Gérard Delépine, dont vous pouvez consulter la dernière analyse en cliquant ici, il est même évident que les vaccinés souffrent d’un sur-risque de mortalité par rapport aux non-vaccinés. L’échec israélien devient tellement patent que même des médias mainstream – ici LCI avec David Poujadas ne peuvent plus le dissimuler. Lorsque nos indicateurs ressembleront à ceux de l’état juif, il ne sera plus possible non plus de nous induire en erreur en prétendant que l’épidémie fait des ravages chez les « no vax ».
Trois hypothèses
Ceux-ci ne doivent cependant pas se leurrer eux-mêmes : ils ne sont pas à l’abri de la grippe covid. Durant le printemps frigorifiant et l’été pourri que nous avons connus, il n’est pas improbable que les réfractaires à l’expérimentation aient été proportionnellement plus nombreux que les moutons soumis à contracter la maladie et à occuper des lits. Les données officielles ne sont sans doute pas totalement mensongères et il y aurait bien eu une relative « sur-représentation » de non-vaccinés chez les hospitalisés. Pourquoi ? J’y vois au moins trois explications. La première, c’est que les rebelles, qui misent sur leur mode de vie et leur immunité naturelle, sont naturellement plus…. résistants aux infections respiratoires hivernales. Comme les vaccinés tombent les premiers durant la saison froide, il me semble logique que les mois suivants voient les non-vaccinés développer davantage de syndromes grippaux. Une sorte d’ « effet moisson » à rebours. Ma deuxième hypothèse rejoint la première mais en retenant le scénario d’une intoxication indéterminée et non celui d’une pandémie virale : ici aussi, il me paraît normal que les individus au terrain plus sain aient mis plus de temps à somatiser l’agression, à se « covider » et à se retrouver à l’hosto. La soi-disant « épidémie des non-vaccinés » ne serait en réalité qu’un petit pic de rattrapage temporel pour les plus fragiles parmi les forts. Troisième piste, et non la moindre : ce sont les vaccinés qui ont « contaminé » les non-vaccinés durant l’été. Que ce soit de la protéine spike, des nanoparticules de graphène ou un mélange des deux, les premiers ont visiblement excrété des « trucs » que les deuxièmes ont eu du mal à côtoyer. Suite à mes précédentes infolettres soulevant cette éventualité, j’ai encore reçu quantité de témoignages relatant comment des « no vax » sont subitement tombés malades après avoir fréquenté des « vax ». Quand ils se fréquentent entre eux, lors de fêtes ou de manifs, les « complotistes » non-vaccinés semblent curieusement moins vulnérables au virus et à ses variants…
Histoire d’un couple
Une petite histoire pour conclure et illustrer le paragraphe précédent. Parmi les opposants au totalitarisme sanitaire et au vaccin expérimental, un couple de sexagénaires de mes connaissances a « fait le covid » début août. L’homme s’est même retrouvé en soins intensifs et a dû être oxygéné pour s’en sortir. Le week-end avant leur pénible semaine, ils avaient assisté à un mariage où presque tout le monde était vacciné. Et ils étaient déjà fatigués par d’autres festivités antérieures. Et ils traversaient une période émotionnellement douloureuse car un projet d’habitat collectif qui leur tenait à cœur, surtout à lui, était menacé d’échouer (le « vide de co » dont je vous parlais la semaine dernière). Si le mari a davantage dégusté que son épouse, c’est aussi parce qu’il était porteur d’une comorbidité rénale. Vax ou no vax, le profil des hospitalisés n’a en effet pas changé et ce sont toujours les personnes déjà mal en point (obèses, diabétiques, hypertendues…) qui aboutissent très majoritairement en réanimation. Mais si le couple n’a pas traversé le covid de la même manière, c’est également parce que leur parcours thérapeutique a divergé. Tandis que la dame a franchi le cap en recourant à l’argile et à d’autres solutions naturelles, le monsieur a soigné son mal de crâne insupportable en prenant du paracétamol et des anti-inflammatoires non-stéroïdiens prescrits par un médecin. Comme je l’ai déjà écrit maintes fois depuis un an et demi, c’est le cocktail parfait pour aller encore plus mal et pour transformer un covid léger en sa forme lourde. Le paracétamol, surtout, est un redoutable toxique pour le foie qui ne peut dès lors plus assumer correctement son rôle de station d’épuration. Bref, le cas de ce couple me semble édifiant : aujourd’hui comme hier, le statut vaccinal des malades admis à l’hôpital importe bien moins que leur terrain de départ – contexte psycho-émotionnel inclus – et la façon dont ils sont (mal)traités. Demain est un autre jour et c’est, je le crains, une épidémie de vaccinés qui est à redouter.
Source : Néo Santé
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