par Marie-France de Meuron.
En focalisant pareillement sur le duo vax-antivax, le système obéit à une dynamique de réduction intense de tout ce qui fait la richesse d’un être humain, tant dans son essence que dans son existence. Les exemples foisonnent sur divers plans.
Le mouvement globaliste nous a incités par différents moyens à placer toute notre attention sur le coronavirus et tout ce qu’une certaine science officielle peut construire dessus et autour de ce micro-organisme.
Un auteur nous apporte un regard bien plus élargi et approfondi, sondant le sens de la présence de l’arrivée de ce virus dans notre dynamique civilisationnelle actuelle : « Covid et vide de co » : « La grippe covid ne survient pas sur n’importe quel terrain psycho-émotionnel… le mensuel Néosanté a d’ailleurs proposé plusieurs articles décodant le sens psychobiologique de ce syndrome grippal et de ses différentes manifestations cliniques… En résumé, j’en ai retenu que les mesures prises par les autorités pouvaient déjà s’avérer pathogènes et que la grippe covid affectait préférentiellement les individus confrontés à une évolution péjorative de leurs relations amicales ou amoureuses. Le jeu de mots a l’air un peu idiot, mais j’ai pris l’habitude de désigner cette mal-a-dit comme celle du « vide de co ». Le préfixe « co » vient du latin « cum » (avec) et peut donc par extension désigner la compagnie, les conjoints, les copains, les collègues, bref toutes les personnes qui comptent et qui font de l’être humain un animal social ».
Voilà des propos qui devraient inciter à élargir notre champ d’études et d’actions au lieu d’être contraints à des mesures dites sanitaires qui réduisent les humains à des soldats plus ou moins obéissants et limitent l’air respirable.
La relation est un élément évident et essentiel dans l’existence. Elle se vit avec autrui comme en soi-même. Dans la période en cours, nous pouvons en constater les restrictions voire les ruptures tant au niveau de l’organisation politique que sociale, professionnelle ou scolaire. À quoi s’ajoute le niveau inter-relationnel entre ces différentes entités.
Ainsi en est-il par exemple du droit à l’éducation.
À un niveau plus global, la réduction touche la vérité, soit partiellement, soit en mentant : « Le programme orwellien du passeport vaccinal repose sur le mensonge du “contrat social” ». « Il y a une question fondamentale qui doit être posée lors de l’examen de la question du passeport vaccinal, et ce que je constate, c’est que presque personne dans les médias dominants ne s’y attaque directement. Cette question est la suivante : Est-il légalement et moralement acceptable de restreindre les droits et l’accès économique des personnes afin de les forcer à se soumettre à un « vaccin » expérimental, ou à toute autre procédure médicale ? »
On peut aussi détourner la vérité en mélangeant les systèmes comme la santé et l’économie, ne tenant pas compte que la santé est un état d’équilibre à créer en permanence : des calculs économiques sont mis en avant pour permettre ou non des dépenses, sans tenir compte des déséquilibres consécutifs, et en forçant les individus à des vaccins contre leurs perceptions, leurs connaissances médicales et leurs intuitions profondes. Un exemple : « Le plaidoyer pour des tests payants » est une opinion qui montre comment on veut faire passer un vaccin en comparant le prix du test au prix du vaccin, d’une part comme si le vaccin était fondamentalement gratuit, et d’autre part sans tenir compte du prix consécutif aux effets secondaires, tant au niveau de la qualité de vie que du coût des traitements nécessaires à plus ou moins longue échéance, ce qu’il est impossible de connaître vu le manque flagrant de recul et les réactions secondaires distinctes d’une personne à l’autre.
La vérité se trouve aussi muselée : des gens se taisent par crainte ou contrainte, ne sont pas écoutés ou des sites sont censurés. Mais nous savons que si toute vérité n’est pas bonne à dire à certains moments, elle finit toujours par se dévoiler. Ici, c’est un directeur de pompes funèbres qui témoigne de son bilan pur et dur, d’une réalité telle que la vie parvenue à son terme peut la révéler. À la minute 25’, il expose qu’un nombre croissant de personnes ont pris contact avec lui car elles n’avaient personne d’autre avec qui communiquer. Ce croque-mort est en contact avec des collègues qui constatent les mêmes faits.
Comparaison n’est pas raison : L’usage de concepts peut s’avérer vite réduit dans le but de convaincre : « Le président de la Confédération, qui rappelle avoir été vigneron, compare dans son discours la « pandémie de Covid-19 » à la grêle ou au gel qui peut soudainement ravager les vignes : elle est imprévue et déstabilisante. Elle est une catastrophe humaine, sociale et économique, dont les effets se font également ressentir sur la paix et la sécurité internationales ». Or la grêle dépend de lois climatiques alors que la gestion sanitaire dépend depuis plus de 18 mois de lois qui proviennent de gouvernements qui n’obéissent de loin pas à des lois cosmiques ! Les décisions prises en escalier pour imposer rapidement le vaccin de plus en plus obligatoire ne prennent pas le temps d’étudier les lois naturelles.
En même temps, des médicaments connus de longue date ne sont pas pris en compte à leurs justes valeurs. Pire encore, dans l’élan général de vouloir imposer des traitements très définis, « La Commission européenne envisage de porter un coup fatal à la possibilité de prendre soin de sa santé autrement pour les citoyens de l’UE. À terme, elle pourrait tout simplement faire interdire ou fortement réduire l’usage des “huiles essentielles” ».
Il est aussi poignant de constater à quel point la pratique médicale en soi a été réduite au diagnostic par un test, en plus avec des fluctuations (ou plutôt aux variantes de ce test selon l’objectif recherché), de même que l’observation du malade et son examen sont drastiquement réduits jusqu’à ne plus vouloir recevoir les malades en cabinet.
La réduction concerne aussi les activités hospitalières : « Les hôpitaux du Haut-Rhin contraints de déclencher le plan blanc. Le groupe hospitalier explique ainsi dans un communiqué être confronté à « une situation critique marquée par la poursuite de la gestion de la crise sanitaire, le besoin en renforts de ressources humaines, la réduction du nombre de lits liée à un absentéisme conséquent ». »
Il en va de même pour certaines communes privées de médecins qui refusent de courir le risque des dangers des injections géniques, en pleine connaissance de cause. « La suspension d’exercice se traduit pour les médecins conventionnés par une interruption des remboursements par l’Assurance-Maladie des actes pratiqués ». Ainsi, le gouvernement utilise le moyen économique pour régler un problème de science médicale : quelle réduction ! De plus, il menace de graves sanctions comme si les médecins ne sont réduits qu’à la seule mission d’être des soldats du vaccin, en scotomisant complètement ce que sont les besoins de la santé des humains : « Le médecin qui continue d’exercer son métier est passible d’une amende forfaitaire en principe de 135 euros, pouvant être minorée à 90 euros ou majorée à 375 euros. Si ces violations sont verbalisées à plus de trois reprises dans un délai de 30 jours, le contrevenant risque six mois d’emprisonnement et 3750 euros d’amende et une peine complémentaire de travail d’intérêt général ».
Non contents de paralyser ses médecins et ses soignants, on peut découvrir que : « La France prive le Liban de ses soignants », « À l’issue d’une visite à Beyrouth, le directeur général et le directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont déploré que 40% des médecins et 30% des infirmiers aient quitté le Liban en quelques semaines. Tedros Adhanom Ghebreyesus et Ahmed Al-Mandhari ont dénoncé la responsabilité d’un État étranger dans cet “exode des cerveaux” ».
Avec les médecins, les soins des pompiers sont aussi éliminés : « Ile-aux-Moines : le seul médecin, non vacciné, ferme son cabinet ». « Le maire est aujourd’hui dans la tourmente : au-delà de la perte de son médecin, quatre pompiers volontaires ont également démissionné pour la même raison ».
J’ai lu quelque part en France : « Notre actuel dirigeant a été sélectionné pour sa très grande intelligence justement, pour nous amener à plier à toutes leurs volontés « quel qu’en soit le prix » ! » On ne doute pas que les diplômes universitaires d’Emmanuel Macron ont été brillamment obtenus. Toutefois, l’intelligence humaine ne se limite pas à l’intelligence mentale. Quand on surdéveloppe une dimension, d’autres sont sous-développées. Il l’a prouvé en avançant, dans certaines de ses conférences de presse, des promesses ou des affirmations bien éloignées de la réalité concrète.
Ainsi le système politique impose ses décisions par ses institutions : « Les ARS vont chercher à affirmer leur rôle d’adjudant-chef des troupes de la santé et la profession sous tutelle étatique connaîtra le déclassement. Le Dr Théron fut arrêté sauvagement par la police en Polynésie pour avoir traité 500 patients avec les traitements désormais connus et utilisés mondialement : ivermectine, azythroycine, zinc… »
Même le Vatican réduit son ouverture et son accueil universel : « Un mur s’érige au Vatican : passe sanitaire obligatoire ». « Vatican bouclé au passe sanitaire : le pape des ponts, des périphéries, de l’Église en sortie, des anathèmes redondants contre les bâtisseurs de frontières, érige une barrière contre les non-vaccinés, pestiférés à mettre hors les murs… »
La liste des restrictions et réductions est magistralement énoncées : « On voulait juste voir ce que vous pouviez tolérer ». « Dans une vidéo de trois minutes postée sur TikTok, l’Américain Damani Bryant Felder souligne la banalité perverse de l’escalade du contrôle social, en listant tous les efforts que l’on nous a demandé de faire, toutes les contraintes que l’on nous a imposées, comme si cela ne coûtait rien : « C’est juste deux mètres de distance » ; « C’est juste une injection » ; « C’est juste quelques licenciements »… Ce faisant, il énumère la foule de mesures que nous avons respectées, et nous fait prendre conscience que justement, cela n’était pas rien. « Le mot juste est devenu le plus dangereux de l’histoire car il voulait juste voir ce que vous pouviez tolérer ». Puis, inversant le paradigme, il met l’accent sur le fait que nous pourrions aussi « juste refuser de nous soumettre », « juste décider d’être libres », « juste défendre nos droits »… »
L’éthique est également écorchée avec le principe du consentement éclairé, sur plusieurs points : Tout d’abord, sans recul, on ne peut pas quantifier ni qualifier les effets secondaires. D’autre part, les enfants mineurs ne sont pas à même de juger la vastitude du sujet. À l’extrême, l’imposition est telle que les Canadiens se sont vu refuser le droit au consentement éclairé.
La réduction des Droits de l’Homme est telle que plusieurs associations ont porté plainte.
Tant de domaines sont touchés qu’il est dans l’ordre des choses que l’économie le soit aussi, par exemple avec la réduction du pouvoir économique des citoyens ; il n’est pas besoin de vous donner des références de toutes les entreprises en difficulté, voire en faillite…
Cette période fait aussi apparaître l’économisme
« Admettre comme des vérités absolues les propositions des économistes, c’est passer de l’économie, discipline scientifique parmi d’autres, à l’économisme, intégrisme aussi ravageur que les intégrismes religieux ». ~ Albert Jacquard – 1925-2013 – « J’accuse l’économie triomphante », 1995
En passant, mentionnons la philosophie qui en prend aussi un coup : « Vaccination obligatoire : les arguties sans fin… », « Nous devons bien décrypter le changement politico-philosophique majeur qui se cache derrière ce renversement de paradigme de santé publique, car c’est bien plus que notre santé qui se joue dans cette fuite en avant ».
Pour revenir au parallélisme inapproprié entre la grêle et la pandémie, je tiens à souligner que la grêle n’empêche pas les enfants de se mettre à l’abri alors que les mesures sanitaires ont contraint tous ces petits êtres en plein devenir et animés d’une sensibilité très vive à vivre quotidiennement des impositions dont les conséquences sont fondamentales et peuvent se prolonger de longues années pour ne pas dire à vie. Une psychologue l’exprime très fort : « On est dans un monde délirant ». Elle décrit brillamment tous les troubles des enfants dès qu’il y a fermeture d’école drastique pour un seul enfant positif. Elle montre comment l’apprentissage à distance réduit les capacités à capter et mémoriser car les informations ne viennent que par la lumière de l’écran. À quoi s’ajoutent la perte de leurs compétences sociales, la sédentarité, l’addiction aux écrans et les troubles alimentaires suivis d’obésité. On est dans une injonction paradoxale qui veut qu’ils soient devant des écrans. Elle conclut fermement : La société se conduit comme une famille maltraitante : les enfants portent les problèmes des parents.
De plus, on inflige à leur corps des produits qui ne correspondent pas au principe de la relation entre les risques et les bénéfices : Vaccination des jeunes enfants en marche alors qu’une étude anglaise montre que les écoles ne sont pas des foyers de transmission. En France, en Italie, en Grande-Bretagne, simultanément, la vaccination des jeunes enfants est vendue comme une avancée sanitaire contre la propagation du Covid par le laboratoire fournisseur des injections, Pfizer lui-même. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… »
« Un rapport de l’ECDC sur le rôle des enfants et des écoles dans la dissémination de la Covid-19 : dans l‘ensemble, les enfants sont globalement bien moins contagieux que les adultes car très majoritairement asymptomatiques, les clusters scolaires sont rares ».
La conscience de la richesse de notre entité humaine est bien réduite alors que nous sommes un micro-univers qui mérite d’être redécouvert sous toutes ces latitudes. Comment en sommes-nous venus à n’être plus que des personnes susceptibles ou non d’attraper le Covid ? Nous sommes constitués de 3 cerveaux : de la tête, du thorax (cœur) et du ventre (intestins). Depuis quelques décennies, on promeut de plus en plus le cerveau encéphalique, à en concevoir jusqu’à l’intelligence artificielle quasi pour nous remplacer. En même temps, l’intelligence du cœur a été réprimée ou opprimée, oppression encore davantage marquée pour l’intelligence entérique, siège de la créativité réduite à certains champs sur-développés.
La situation coronavirale met bien en évidence cette oligophrénie. Ce n’est plus la santé globale qui est prise en compte mais la santé des chiffres. Et même si l’on voit qu’on n’a rien résolu en 18 mois, on s’enferre encore plus dans le concept mental du pouvoir de la vaccination, sans tenir compte des intuitions provenant de tous les zones de notre organisme.
Beaucoup ont dénoncé la dictature en marche. Y aurait-il un dictateur d’une autre dimension ?
« Dans son discours grandiose donné, d’une richesse humaine qui réchauffe le cœur, Charlie Chaplin expose ce qu’est le monde : notre terre est bien assez riche et pourrait nourrir tout le monde, tous avoir une vie belle, libre mais nous l’avons oublié .
L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang.
Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes.
Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent dans l’insatisfaction.
Notre savoir nous a fait devenir cyniques.
Nous sommes inhumains à force d’intelligence, nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop.
Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d’humanité.
Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse.
Sans ces qualités humaines, la vie n’est plus que violence et tout est perdu.
Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes ».
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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