par Dominique Muselet.
Ça y est ! Je me suis enfin prouvé à moi-même et à ceux qui sont encore accessibles aux notions de vérité, de dignité, de force d’âme et d’indépendance d’esprit, que je ne parlais pas pour ne rien dire, que lorsque la réalité me rattrapait, je ne succombais pas à la panique et à l’hystérie, je ne retournais pas ma veste. Je peux le dire en toute modestie, j’ai subi l’épreuve de la réalité avec courage et détermination. Je n’ai pas cédé à la peur, à l’intimidation, à la propagande. Je suis fière de moi et je me sens à nouveau une personne humaine à part entière. Je peux marcher la tête haute et l’âme en paix.
La colère qui m’habite depuis le début de la Corona-folie contre les criminels qui nous gouvernent pour le compte des multinationales est toujours là, mais les sentiments d’humiliation et d’impuissance, qui me minaient, m’ont quittée. Je me sens à nouveau libre, libre intérieurement, car j’ai passé l’épreuve du feu et je sais maintenant que :
- j’avais raison : malgré mes 77 ans, je n’ai pas besoin du « vaccin » Pfizer car je suis en bonne santé et je n’ai pas de comorbidité (si tant est que cette injection ait la moindre utilité pour qui que ce soit, à part Big Pharma et tous ceux qu’ils arrosent).
2. Malgré l’impossibilité de se procurer des remèdes, comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, qui ont fait leur preuve n’en déplaise à nos « scientifiques » vendus à Big Pharma, on peut guérir du Covid à mon âge, en se soignant tout seul, à condition peut-être d’avoir boosté ses défenses immunitaires comme je le fais depuis un an avec du zinc, de la vitamine D, des huiles essentielles, et tout ce que recommandent les praticiens qui croient encore à la médecine.
3. Ce gouvernement de menteurs manipulateurs violents et cyniques, malgré toute sa puissance, ne peut pas indéfiniment me forcer à faire ce que je ne veux pas. J’ai senti en moi une détermination qui m’a surprise moi-même. Et j’ai constaté, avec soulagement (car on ne peut jamais savoir par avance comment on réagira devant le danger), que je préférais risquer (modérément) ma vie plutôt que de ne pas être fidèle à moi-même. Je me sens désormais digne des soignants, pompiers, et autres braves, qui préfèrent perdre leur travail que de renoncer à leurs convictions. J’ai retrouvé l’honneur et la dignité que Macron et ses commanditaires m’avaient enlevés en faisant de moi une paria.
Le Covid tel que je l’ai eu
J’ai attrapé le Covid dans le métro, le 21 août dernier, alors que je me rendais à la manif contre le passe soi-disant sanitaire. Je me souviens parfaitement d’avoir mis, sans réfléchir, l’index sur mon œil gauche et de m’être dit : « Cette fois tu es bonne, ma fille ! » Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive, j’ai déjà attrapé pas mal de virus de la sorte. Je dis souvent à mes petits-fils que la seule bonne chose que leur a apportés le covidisme, c’est de les habituer à se laver les mains. Mais dans le métro, je ne peux pas garder les mains en permanence dans du gel hydro-alcoolique et, hélas, je ne contrôle pas tous mes réflexes.
Le lundi suivant, j’ai commencé à développer les symptômes de ce que, en d’autres temps (quand la TV ne nous bassinait pas avec le Covid matin midi et soir), j’aurais appelé une bonne bronchite. J’en ai de temps en temps et je me soigne comme ma mère me soignait, à l’exception des sinapismes à la moutarde que je ne sais pas faire. Chaque fois que j’attrape une bronchite, je revois ma mère apportant de la cuisine, avec précaution, une serviette brulante remplie de moutarde qu’elle déposait délicatement sur la poitrine maigrelette de la gamine que j’étais. C’est un bon souvenir car ma mère, habituellement froide et indifférente, se transformait en mère poule quand nous étions malades, souvent tous en même temps.
Bref, j’ai commencé la routine : suppositoires, inhalations, sirop, gouttes, avec en plus cette fois-ci comme je l’ai dit plus haut de quoi booster mes défenses immunitaires, Covid oblige. Le mardi, je n’étais vraiment pas bien et j’ai appelé une amie qui m’a dit qu’elle avait rendez-vous chez son médecin traitant le jour même.
« Pourrais-tu voir avec elle si elle est prête à me prescrire de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine si je vais la voir et que j’ai bien le Covid ? » lui ai-je demandé.
Le soir elle m’a rappelée :
« Je lui ai posé la question et elle m’a répondu : Non, et personne ne vous en prescrira ! »
Je ne pouvais donc compter que sur moi-même et les remèdes de grand-mère que j’utilisais habituellement. L’épreuve de vérité commençait.
Le mercredi, je me suis sentie vraiment très mal. Ma température était montée à 39°, j’avais perdu le goût et l’odorat (on dit que c’est une des signes distinctifs du Covid) et je me suis presque évanouie sur le sol de la cuisine. J’ai pris peur car je vis seule et je ne suis pas une super-mémé, et je me suis mise à douter. Et si je m’étais trompée ? Si le Covid était vraiment aussi dangereux qu’ils le disent ? Ne devrais-je pas tout de même appeler le docteur ? Oui, mais si je l’appelle, il va me demander si je suis vaccinée, et si je lui dis que non, il risque de m’envoyer de force à l’hôpital, où on va peut-être me mettre de force sous respirateur artificiel ou m’entuber (et détruire mes cordes vocales, comme c’est arrivé à ma sœur qui, depuis, ne peut plus parler), et pourquoi pas me faire ingurgiter de force du Rivotril et me tuer ?
Comme vous pouvez le voir à ma fièvre paranoïaque, je n’ai pas une confiance absolue dans la médecine contemporaine. Pour moi, les médecins soumis au Conseil de l’ordre ne soignent plus, sauf exceptions de plus en plus rares. Ils traitent leurs patients comme du bétail : antibiotiques, piqures à la chaîne et protocoles. À chaque diagnostic, établi par des machines et des analyses, correspond un protocole de soins chimiques. Le médecin applique ces protocoles évidemment juteux pour les laboratoires pharmaceutiques qu’il doit satisfaire s’il veut que, tel des dieux omnipotents, ils déversent sur lui leurs bienfaits, sous forme d’une partie des énormes profits réalisés en rendant les populations malades et dépendantes de la chimie, avec la bénédiction du Conseil de l’Ordre, de l’administration, du gouvernement et des soi-disant organes de contrôle. Je vous le dis, il va bientôt falloir aller voir son médecin avec un avocat si on veut être soigné !
En tout cas, c’est là que je me suis dit : « Bon ! tu résistes jusqu’à 40° de fièvre. Et après tu appelles le docteur ». Cette décision m’a rendu la paix. Les jours ont passé, la fièvre a fini par tomber, mais les progrès ont été lents, le combat rude et j’ai douté plusieurs fois. Il m’a fallu trois bonnes semaines pour guérir. Et je n’ai pas encore retrouvé toutes mes forces.
Mais quel bonheur d’avoir vaincu, toute seule, avec mes petits bras, le Covid, Macron, Big Pharma, le Conseil de l’Ordre, les médias, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, une bonne partie de la justice, bref toutes ces maffieux qui instrumentalisent une épidémie tout à fait gérable avec un système de santé correct (voir la Suède), pour instaurer un régime de terreur qui n’a d’autre but que de contrôler les populations et consolider le pouvoir de la finance sur la planète, à travers une forme de robotisation des humains et de la société au service des milliardaires et de leurs fondations qui possèdent tout sur terre, et nous avec, comme c’est très bien expliqué dans cette vidéo hollandaise : « Qui contrôle le monde ? »
Ils ne s’en cachent d’ailleurs plus, sans doute parce que c’est pratiquement déjà fait. L’immobilier est devenu inaccessible à la majorité des populations et les mesures Covid ont tué des milliers de petits commerces, bars et restaurants qui sont rachetés à vil prix par des chaînes et appauvri encore les plus pauvres. Il y a sur le site du Forum économique mondial qui rassemble les milliardaires et leurs marionnettes politiques, une vidéo qui décrit l’avenir radieux qui nous est réservé. Elle commence par : « EN 2030, VOUS NE POSSÉDEREZ RIEN MAIS VOUS SEREZ HEUREUX ». Nous louerons tout aux milliardaires, sous la menace climatique, elle aussi largement fabriquée, ce sera forcément le bonheur total…
Pourquoi, pour être heureux, faut-il que les milliardaires possèdent tout, et nous, pour être heureux, faut-il que nous n’ayons rien ? La vidéo ne l’explique pas, mais Macron nous l’a dit : ils ne sont pas de la même espèce que nous. Eux ce sont des Dieux et nous, nous ne sommes rien !
La vie est tout, la mort n’est rien
Quand on est malade, quand on lutte pour sa santé, pour sa vie donc, toutes les petites angoisses et inquiétudes habituelles disparaissent. Une sorte d’unité se fait en nous parce que toute notre énergie se tend vers un seul but, retrouver la santé. Grâce aux remèdes et à la fièvre, on dort comme un bébé. Finis les angoisses nocturnes, les réveils en sursaut, la peur de l’avenir. On vit au jour le jour, suspendu à ses sensations. Pour une fois on ne fait plus qu’un avec son corps, son âme, sa vie. Quand on est malade, on sait pourquoi on existe, comme d’ailleurs quand on est enceinte. La guérison devient, comme la naissance du bébé, notre unique horizon. On se retrouve en même temps face à la mort et séparé d’elle par la guérison.
Comme je n’étais même pas capable de lire, entre deux siestes fiévreuses, j’ai regardé une paire de séries coréennes, mexicaines et la superbe série nigérienne, « King of boys, the return of the King ». Leurs intrigues dévoilent les rouages de la corruption, des conflits d’intérêts, des pressions hiérarchiques, de la collusion des pouvoirs, des chantages, des magouilles et des luttes de pouvoir qui vont jusqu’au crime plus souvent qu’on ne croit et qui gangrènent les sociétés capitalistes à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Ces séries n’ont pas peur de s’attaquer aux turpitudes et crapuleries de leur propre société, parfois avec humour, parfois avec fatalisme, à la différence des séries occidentales manichéennes qui montrent généralement des occidentaux vertueux luttant loyalement et courageusement contre des ennemis diaboliques intérieurs ou extérieurs, alors qu’on sait très bien que la corruption et la compromission règnent en Occident comme ailleurs. Sans parler des contes de fée qu’on nous raconte à la TV des milliardaires, qui peignent un monde virtuel à mille lieues de la réalité brutale dans laquelle les gens se débattent au quotidien.
Dans ces séries, la mort est omniprésente alors que, dans le monde occidental officiel, elle est niée. Peut-être parce que les puissants croient pouvoir la contrôler en décidant eux-mêmes de qui va mourir (nous) et comment (Covid, manque de soins, pollution, euthanasie…) et de qui va vivre éternellement (eux, bien sûr : « Plusieurs milliardaires de la Silicon Valley financent une nouvelle start-up pour trouver la formule de l’immortalité »). L’argent et le pouvoir rendent fou !
Pourtant sans la mort, la vie n’a plus de sens. Toute notre vie s’articule autour de l’unique certitude que nous avons : nous allons mourir. La mort ressemble au dénouement d’une série policière. Toute l’intrigue est ordonnée autour de la fin. On l’attend tout du long. On imagine toutes sortes de scénarios. On est scotché devant l’écran. Mais dès qu’on a la clé de l’énigme, elle ne nous intéresse plus et on l’oublie très vite. C’est la même chose pour la mort, elle n’est rien en elle-même, elle n’est que la fin de la vie, mais sans elle notre vie n’a aucune valeur. C’est un des nombreux paradoxes de l’existence. Sans la mort et le modeste risque que j’ai pris en refusant d’obéir à la tyrannie, je n’aurais pas pu retrouver ma dignité et ma liberté intérieure. Sans la mort (physique ou sociale), il n’y aurait pas de héros.
Et maintenant ?
Je vais aller voir mon médecin traitant pour obtenir un certificat de rétablissement qui me donnera six mois de répit, même si je ne crois pas que Macron osera prolonger son passe de la honte au-delà du 15 novembre. Il montre déjà des signes d’hésitation, même si les médecins de plateaux, les pires caricatures de médecins retors, arrivistes et cyniques qu’on puisse imaginer, veulent le prolonger afin de garder leur pouvoir sur l’État et la population. Sans la farce tragique du Covid, ils ne seraient rien.
Il parait que 67% des Français sont pour le pass. Comme ils se sont soumis, ils ne supportent apparemment pas ceux qui résistent. Brassens nous avait prévenus : « Non, les braves gens n’aiment pas que l’on suivre un autre chemin qu’eux ». Mais Macron hésite. Les élections présidentielles arrivent, sa côte de popularité est en baisse et sur les plateaux TV du pouvoir, on commence à entendre des gens, comme Karim Zeribi, expliquer, sans que les médecins de plateaux osent le contredirent entièrement, que c’est complètement idiot, injuste et contreproductif de suspendre sans salaire des soignants qui font des tests régulièrement, et donc ne sont pas contaminés et contaminants, et de laisser travailler, sans tests, des vaccinés qui peuvent l’être.
Eh oui, contrairement à ce que la caste déconnectée de la réalité s’était sans doute imaginée, il y a de la résistance aux mesures liberticides et discriminatoires. De la résistance active (manifs, grèves, démissions, etc.) et de la résistance passive. Et la résistance passive est peut-être plus importante et plus gênante pour les tyrans au pouvoir que les manifs et autres protestations contre lesquelles il leur suffit d’envoyer la police.
À ce propos, je ne résiste pas au plaisir de vous raconter deux échanges que j’ai eus avec des gendarmes qui encadraient les manifs contre le passe, pardon, pass, c’est plus chic. Tout en marchant, je me suis approchée d’un gendarme qui avait l’air abordable. Son chef a rappliqué illico, craignant sans doute que la petite (1,50 m) vieille (77 ans) que je suis ne cache une arme dans son sac.
« N’ayez pas peur », l’ai-je rassuré, « je ne vais pas lui faire de mal à votre gendarme !
– Je n’ai pas peur » m’a-t-il répondu, un peu gêné.
Après qu’il a fait demi-tour, j’ai demandé au gendarme :
« Vous sortez de terre à chaque manif ? » Il m’a regardée d’un air interloqué, alors j’ai expliqué :
« Eh bien oui, chaque samedi, vous êtes des centaines, peut-être des milliers, aux manifs, mais on ne vous voit quasiment pas le reste du temps. À Montreuil dans le parc des Guilands, il y a un poste de deal que tout le monde voit mais la police ne s’en est pas aperçu ; quand la maison de ma mère, dans le Lot, a été cambriolée à plusieurs reprises, les gendarmes m’ont dit : On est désolé, on ne peut rien faire d’autre qu’un constat pour l’assurance, on n’a pas d’effectifs !
– Ce n’est pas nous qui choisissons nos affectations », m’a répondu poliment le gendarme, « Et c’est vrai que parfois on ne comprend pas bien nous-mêmes la répartition des effectifs ». Ah qu’en termes choisis ces choses-là sont dites !
Enhardie par mon succès, je me suis approchée d’un autre gendarme et, toujours en marchant, je lui ai demandé :
« Pourquoi la police est-elle exemptée du pass ?
– On se le demande aussi » m’a-t-il répondu avec un petit sourire en coin.
Je pense que tous les manifestants, et surtout les femmes et les personnes âgées dont la police se méfie moins, devraient profiter des manifs pour « réinformer » les gendarmes, à coup de petites questions ou de remarques polies qui soulignent l’injustice, les contradictions et les incohérences des décisions de Macron et sa clique. Les gendarmes viennent souvent de province et sont moins agressifs et plus ouverts que les CRS, enfin, dans mon expérience.
Pour en revenir à la résistance passive, l’auteur de cet article : « Brèches à gogo dans l’obligation vaccinale des soignants », explique qu’il est très facile aux soignants de contourner le système d’obligation vaccinale, étant donné que « ce sont eux même qui le mettent en œuvre », et donc « qui peut croire qu’il n’y a pas eu de passe-droit, de dose du vaccin versée dans le lavabo au lieu de l’avant-bras de la consœur ? » Mais, selon lui, « les brèches principales résident dans la facilité d’obtention le Certificat de rétablissement, voire en prétendant simplement en avoir un, ce qui est très difficile à contrôler ». Voilà comment les soignants peuvent l’obtenir sans se faire vacciner. La démonstration est savoureuse ! :
« Supposons que 2 infirmiers non vaccinés se procurent 2 kits en pharmacie et se dépistent mutuellement.
« Miraculeusement », ils trouvent qu’ils sont chacun positifs, ils rentrent dans SI-DEP le résultat du test procédé sur l’autre (en faisant bien attention aux recommandations du Pr Salomon : ne pas indiquer qu’il s’agit d’un « autotest » pratiqué sur un non soignant mais bien d’un « test antigénique », puisque l’autotest ne permet pas la délivrance du certificat de rétablissement), puisqu’en principe, ils ont accès, personne ne trouvera anormal que des non vaccinés soient dépistés positifs puisqu’on nous raconte tout le temps qu’il n’y a « presque » que eux à l’être. Ces soignants se connaissent vraisemblablement, ils se sont contaminés entre eux, cela arrive souvent.
Ce 2 infirmiers sont pour le système positif au coronavirus donc contagieux, ils se mettent en arrêt maladie une dizaine de jours, il n’y a pour cela nullement besoin qu’un médecin signe un arrêt de travail.
Leur contrat de travail est suspendu donc ils ne sont pas soumis à l’obligation vaccinale pendant ce temps.
Et après cela, quasi automatiquement on leur délivre le certificat de rétablissement, ils peuvent travailler, selon le système, ils sont en règle avec l’obligation vaccinale ».
Et l’auteur de conclure : « Mais quelle blague quand même ! »
Oui, tout cela est une vaste blague, mais une blague qui aura coûté la vie ou leurs moyens de vivre à énormément de gens, principalement dans les pays occidentaux dont la population est vieillissante et en mauvaise santé, ce qui la rend très facile à manipuler et à terroriser par des gouvernements et des médias prêts à tout pour garder leur pouvoir et leurs privilèges et imposer leur version des événements.
En 2009, ils ont tenté la même chose avec la grippe H1N1 et ils ont raté leur coup, mais cette fois ils s’étaient bien préparés, malgré les dénégations des médias des milliardaires (dont la symbiose est telle que les pauses publicitaires, comme ils disent, ont lieu en même temps sur toutes ces chaînes soi-disant concurrentes, afin de n’en léser aucune), et ils ont réussi.
Mais pourquoi s’en faire, bientôt, si ce n’est déjà fait, nous ne posséderons plus rien et nous serons heureux !
source : https://www.mondialisation.ca
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