Les médias d’État chinois ont qualifié le milliardaire mondialiste George Soros de « terroriste économique mondial » qui finance la propagande anti-chinoise.
Le Global Times a publié ce week-end un article qui accusait Soros de financer le propriétaire et éditeur de journal emprisonné de Hong Kong, Jimmy Lai, pour soutenir les manifestations anti-Pékin en 2019 dans la ville.
L’article intitulé « Ce terroriste économique mondial a les yeux rivés sur la Chine ! », affirmait que Soros et ses fondations Open Society finançaient Human Rights Watch, qui, selon lui, diffuse des « rumeurs » contre la Chine ainsi que le coronavirus des origines.
Press TV rapporte que le commentaire du Global Times a souligné que le magnat américain des affaires, âgé de 91 ans, avait conspiré avec le fondateur d’Apple Daily, Jimmy Lai, pour tenter de déclencher une « révolution de couleur » à Hong Kong en 2019.
L’article décrivait également Soros comme « la personne la plus maléfique au monde » et « le fils de Satan ».
Plusieurs autres sites web chinois ont republié l’article et il a été largement cité par des publications médiatiques hongkongaises et taïwanaises au cours des derniers jours.
Le Global Times avait précédemment souligné le rôle joué par Soros dans le déclenchement de « révolutions de couleur » en Afrique, en Europe de l’Est et en Asie du Sud-Est.
De son côté, Soros a qualifié les politiques économiques de la Chine d’ « opaques » et a ouvertement dissuadé les entreprises américaines d’investir en Chine.
Soros a récemment écrit une tribune pour le Wall Street Journal dans laquelle il déclarait que le récent investissement de 6,7 milliards de yuans (1 milliard de dollars) de BlackRock en Chine était une « erreur tragique » et que les clients du gestionnaire d’actifs y perdraient probablement de l’argent.
« L’initiative de BlackRock met en péril les intérêts de sécurité nationale des États-Unis et d’autres démocraties, car l’argent investi en Chine contribuera à soutenir le régime du président Xi », a écrit M. Soros, qui dirige le groupe Open Society Foundations.
En juin, la police de Hong Kong a arrêté cinq cadres de l’Apple Daily et de Next Digital – le groupe mère du journal – pour conspiration avec des forces étrangères en vue de mettre en danger la sécurité nationale lors d’un raid.
La police a déclaré que plus de trente articles publiés par ces médias depuis 2019, appelant à des sanctions étrangères contre la Chine et les dirigeants de Hong Kong, enfreignaient la loi sur la sécurité nationale.
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation