Par James Howard Kunstler – Le 30 Août 2021 – Source kunstler.com
Malgré toute la puissance apparente de l’État profond – alias la « communauté du renseignement » – on ne peut qu’être impressionné par sa stupidité et son désespoir. Il ne peut pas garder de secrets ou couvrir ses traces. Quiconque a prêté attention à l’opération RussiaGate a vu les preuves publiées de tous les comportements illicites qu’elle a engendrés et connaît les noms de tous les acteurs. Idem pour les efforts visant à organiser l’élection de 2020 et à installer un larbin-marionnette manifestement sénile à la Maison Blanche. Et idem pour l’effort visant à fabriquer la crise de la Covid-19 en détournant l’appareil de santé publique du gouvernement fédéral.
Pourtant, cette menace de l’État profond est en train de trébucher parce qu’elle n’a pas compris la dynamique de base de l’urgence à long terme : les surinvestissements dans la complexité produisent inexorablement le désordre et l’effondrement. Cela inclut la complexité de l’État profond lui-même, une entreprise tentaculaire étouffée par l’immense flux de données dont elle se nourrit et par les efforts maladroits de ses agents trop humains pour en faire des armes. La question qui se pose maintenant est de savoir si l’État profond va s’effondrer – et peut-être même être battu avec force par les Américains qui s’y opposent – avant que le pays tout entier et tous ses systèmes de soutien ne s’effondrent.
Les événements se succèdent bien au-delà du contrôle de l’État profond. Son homme de paille, « Joe Biden », a scellé son destin la semaine dernière avec la sortie ratée d’Afghanistan. La mort de treize soldats américains n’est peut-être que l’avant-goût d’un Grand-Guignol à venir, alors que les maniaques islamiques victorieux vont pouvoir mettre en scène des atrocités à l’encontre des milliers d’Américains et d’autres Occidentaux laissés sur place. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Pendant des décennies, ils ont promis de vaincre et d’humilier leurs ennemis « infidèles ». Rappelez-vous les décapitations enregistrées sur vidéo de Nicholas Berg, Daniel Pearl et bien d’autres ? Le rôti du pilote syrien capturé dans une cage en acier ?
Il n’est même pas nécessaire de poser la question rhétorique suivante : qui a planifié et exécuté l’évacuation pied-nickelesque de Kaboul ? C’est une évidence : toute la chaîne de commandement. Cela galvanise enfin la moitié du pays qui n’est pas sous l’emprise de l’État profond pour qu’elle s’y oppose, et c’est ce que vous verrez dans les semaines à venir. Ils se débarrasseront de cet imposteur de « Joe Biden » – si l’État profond n’essaie pas de le faire avant – et ensuite ils « annuleront » la tentative de l’État profond de gérer toute succession au poste vacant au sommet.
Pensez-vous que vous n’entendrez pas parler des résultats de l’audit des élections en Arizona simplement parce que l’entreprise s’est tue la semaine dernière lorsque trois membres de l’équipe d’audit sont tombés malades à cause de la Covid-19 ? Le processus n’a pas été arrêté ou écrasé. Le rapport montrera une disparité flagrante et surprenante entre les résultats certifiés et les bulletins réellement comptés. Cela fera voler en éclats les lambeaux de légitimité que portait « Joe Biden », révélant la créature larvaire et aveugle qui se cache à l’intérieur.
Le CDC et ses agences alliées ont fait le plein des Américains prêts à se faire vacciner. La dernière manœuvre de la FDA visant à « approuver » l’agent de thérapie génétique « Comirnaty », qui n’a pas encore été produit (ou testé), avait pour but de faire croire au public que l’actuel « vaccin » Pfizer-BioNTech était également approuvé. Il n’est pas approuvé. Il est toujours administré en vertu de l’autorisation d’utilisation d’urgence. Les médias d’information menteurs mentent encore à ce sujet. Quoi qu’il en soit, la moitié du pays refuse de prendre un cocktail qui n’agit pas comme un véritable vaccin (c’est-à-dire qui prévient la maladie) et qui menace d’attaquer mortellement la paroi des vaisseaux sanguins… cette grande partie du public en a bien assez d’être bousculée par des obligations et des menaces.
Nous ne nous soumettrons pas. Nous approchons de la fin de ce règne de terreur médicale. Le problème, c’est que l’establishment médical n’y survivra pas. Ils ont perverti et sapé ce que l’on appelait autrefois la science – la recherche de la vérité sur ce qui est réel et ce qui ne l’est pas – et, de toute façon, le système médical s’est déjà empoisonné lui-même avec un racket si excentrique et cruel qu’il fait passer l’ancienne mafia pour une organisation caritative. Non seulement les Américains reçoivent un virus Covid dont le développement a été financé et guidé par le principal responsable de la santé publique des États-Unis, Tony Fauci, mais s’il les conduit à l’hôpital, leurs médecins leur refusent un traitement avec des médicaments efficaces et, si les patients survivent à l’épreuve, ils reçoivent des factures de plusieurs millions de dollars. Cette conduite témoigne d’une sorte de sadisme qui va au-delà de la simple addition d’insultes aux blessures.
La moitié du pays prête également attention à l’invasion de « sauteurs de frontières » venant du Mexique avec l’aide de l’État profond. Ils remarquent également que « Joe Biden » ne se conforme pas à la récente décision de la Cour suprême des États-Unis selon laquelle il doit appliquer la procédure permanente pour renvoyer les « demandeurs d’asile » au Mexique en attendant une décision sur leur admissibilité. Beaucoup de ces migrants viennent des coins les plus reculés du monde, notamment d’endroits remplis de gens qui ne nous aiment pas, ni notre pays. Combien d’entre eux viennent ici pour faire exploser des choses et tirer sur des citoyens américains ? Personne ne le sait. L’État profond ne veut pas le savoir et il ne veut pas que vous le découvriez.
Enfin, il y a la question du système financier qui, ces derniers temps, est devenu le mandataire de ce qui était l’économie productive américaine, son faux front Potemkine. Les divers plans visant à dépenser environ 8 000 milliards de dollars d’argent inexistant pour d’autres expériences sociales telles que payer les citoyens pour qu’ils soient oisifs, auraient suffi à couler la monnaie américaine, le dollar américain. Maintenant que le monde a été témoin du retrait humiliant des États-Unis de notre guerre de 20 ans en Afghanistan, le processus va s’accélérer. Le monde voit que l’on ne peut compter sur nous dans aucune crise étrangère. Ils savent que nous ne produisons plus de choses de valeur. A quoi sommes-nous bons, exactement ? Des entreprises absurdes comme la confusion des genres et l’escroquerie raciale ? La drogue et la pornographie ? Est-ce cela qui se cache derrière le dollar ?
L’ancien (depuis hier) lieutenant-colonel Stuart Scheller est revenu sur YouTube hier. Il montre bien à quel point la meilleure moitié de la nation est en colère, la moitié qui refuse de se plier à l’État profond, la moitié qui cherche à l’écraser et à lui demander des comptes pour avoir tenté de détruire le pays de six façons différentes.
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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Source : Lire l'article complet par Le Saker Francophone
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