Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
Plusieurs États ont légalisé l’avortement avant la décision de la Cour suprême dans l’affaire Roe v. Wade en 1973. New York était l’un de ces États, légalisant l’avortement en 1970. Un livre pro-vie de 1972 documente des cas où des bébés sont nés vivants pendant des avortements à New York et ailleurs. La plupart de ces naissances vivantes ont eu lieu à la suite d’avortements par solution saline ou par prostaglandine.
Les avortements salins sont pratiqués en injectant une solution saline caustique dans l’utérus de la femme. La solution saline brûle la peau et les poumons de l’enfant, l’empoisonnant lentement. La femme accouche ensuite d’un enfant mort (ou mourant). Les avortements salins ont provoqué tellement de naissances vivantes et étaient si dangereux pour les femmes que la plupart des avorteurs ont cessé de les pratiquer depuis plusieurs années.
Les avortements par prostaglandine sont pratiqués en provoquant le travail avec des médicaments à base de prostaglandine, et d’innombrables bébés ont survécu à cette procédure.
On pensait généralement que ces méthodes d’avortement horribles étaient des reliques du passé. Mais un article de Carole Novielli, paru dans Live Action News, montre que ces avortements sont encore pratiqués aujourd’hui. Les recherches montrent que 121 avortements par solution saline et 68 avortements par prostaglandine ont été commis à New York en 2018.
En outre, en 2020, deux avortements par solution saline ou par prostaglandine ont été pratiqués dans le Michigan. En 2019, quatre avortements par solution saline ou par prostaglandine ont été pratiqués dans le Missouri et trois en Pennsylvanie.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie