Paradoxalement aujourd’hui : il faut avoir les moyens de démissionner (des économies, des aides, un nouveau métier…) !
Mais avoir construit sa vie, son être, s’être épanoui(e) autour d’un métier(-passion) et être contraint d’un coup d’abandonner toute cette évolution et ses autres projets pour un putain de rhume ou pour échapper à l’injection mortelle des cousins Bourla & Bancel, ça c’est violent !
Normalement ça devrait produire trois types de comportements dont deux pathologiques :
ceux qui baisseront les bras > suicide ;
ceux qui poussés par la haine et la colère estimeront n’avoir plus rien à perdre ;
ceux qui relèveront les manches intelligemment…
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