par Sébastien Renault.
L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.
La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.
Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusque une date récente au moins.
Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.
D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.
Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.
Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …
Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.
Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.
En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.
En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2.
Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit :
« […] Environ trois quarts (346 ; 74%) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79%) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »
Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…
La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue
En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus.
Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !
Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).
En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.
Au 21 août dernier, 62% des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13% n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75% des nouvelles hospitalisations outre-Manche.
Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70%) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.
On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).
En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle.
Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.
Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :
« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés ».
Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :
« Ne pensez pas que les rappels soient la solution ».
Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021, Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.
Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.
L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …
D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose).
Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte de la propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.
Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.
À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous. Draghi attend de l’Agence européenne des Médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.
Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?
Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).
En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.
Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.
Un document mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).
Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.
L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.
Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.
Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).
Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.
Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …
Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.
Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)
À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé « Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines » (une traduction en a été relayée ici sur ce site).
Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.
Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).
Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques.
Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?
Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.
Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.
Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.
Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.
En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).
De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.
Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.
Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste
Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.
L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.
Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.
Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.
La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.
D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :
- un gouvernement mondial ;
- une monnaie numérique mondiale ;
- une banque centrale mondiale ;
- une armée mondiale ;
- la fin de la souveraineté nationale ;
- la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
- la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
- la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
- la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
- la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
- l’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
- la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
- la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
- les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
- l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
- perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
- l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
- le sécuritarisme omniprésent ;
- la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
- le système de crédit social (à la chinoise) ;
- la fin des entreprises indépendantes ;
- la fin des combustibles fossiles ;
- la restriction des voyages aériens non essentiels ;
- la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;
- la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
- l’utilisation restreinte des terres ;
- …
Réflexions conclusives
En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.
Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.
Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …
L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.
La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.
Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.
C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.
Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.
L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.
Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.
Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.
Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.
source : https://plumenclume.org
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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