En ce onze septembre 1973, Monsieur le Président Salvador Allende entamait hélas son dernier jour. Dans la journée, un général de son armée, Augusto Pinochet, le trahissait sur l’injonction de Washington (comme d’habitude).
Il y a 48 ans. Après mai 1968, qui portait déjà la marque d’infamie, et avait touché de nombreux pays, c’était déjà avant « le titre » une Révolution Orange à la mode anglo-saxonne, basée sur la corruption, le mensonge, tous les ingrédients habituels d’une anti-civilisation négation des principes naturels déjà écrits du temps de Zoroastre, mais datant de traditions orales bien antérieures.
Le Bien et le Mal : ce sont des concepts très subjectifs, mais quand ce sont systématiquement toutes les pensées naturelles à la fois qui sont violentées, on se dit que là intervient une sorte de folie froide, dépourvue de tous sentiments, la PERVERSION à l’état pur. Celle qui fut portée, comme un vaccin de mort, par les Pères Pélerins sur les rivages du Cap Cod. Il faut dire que ces pervers, en manque de sentiments donc, n’ont de cesse que pour s’arranger à être « les chefs » afin de compenser leur manque.
Hélas, pour le moment ils paraissent encore solidement installés, eux qui ne sont qu’une infime minorité, mais une minorité ultra-virulente. Faudra-t-il que se lèvent un nouveau Fleming, un nouveau Jenner, un nouvel Antoine Béchamp ? mais cette fois sur un terrain à la fois psychologique et politique…
El pueblo unido jamás será vencido.
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