C’est une bonne nouvelle, mais le prétexte invoqué reste fallacieux : ce n’est pas parce que les gens se sont bien faits vacciner que l’on peut éviter le pass, mais parce qu’il en va de notre liberté. Rien ne garantit que lorsqu’il faudra se faire injecter la troisième dose, ce qui créera beaucoup de résistance, les autorités ne sortent pas la menace de l’introduction du pass.
On comprend d’ailleurs bien le rôle qu’a à jouer la France dans cette pièce, puisque si la France n’avait pas introduit le pass sanitaire, cette menace serait restée sans objet. Maintenant, tous les pays occidentaux savent que l’exemple de la France existe et que le couperet peut tomber sur eux également. Dans cette optique, il n’est pas fou de penser que le pass sanitaire pourrait être suspendu en France et introduit dans la foulée dans un pays étranger, histoire de faire comprendre aux masses occidentales qu’il faut obéir, sous peine de perdre ses libertés.
Ça voudrait aussi dire que le Covid n’est pas une excuse pour supprimer davantage de libertés, mais en premier lieu un prétexte pour administrer une thérapie génique. Donc la manipulation du génome des peuples aurait la priorité sur les privations de liberté. Ceci est vrai dans la mesure où le pass sanitaire est utilisé comme instrument pour pousser à la vaccination, donc comme sanction, et non comme fin en soi. Si par contre, le pass sanitaire n’est jamais supprimé, on peut en déduire que la privation de liberté était l’objectif principal recherché.
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