Le début de la fin ? Dimanche soir, près de trente mille manifestants se sont réunis place Sýntagma à Athènes sous le Parlement pour dire non à la junte prétendument sanitaire. Le Régime entend imposer la vaccination obligatoire, surtout maintenant que la programmation ne suit plus tout à fait, et que les vaccinodromes sont désertés. Ce fut le dernier dimanche du mois d’août et c’est officiel, l’été grec déjà, c’est fini.
Mitsotákis a d’ailleurs annoncé la semaine dernière le durcissement du Régime vis-à-vis des rebelles et bioconservateurs réunis. D’abord, près d’un quart des hospitaliers seront placés sous le régime de la disponibilité, sans salaire dès ce mois de septembre pour cause de non-conformité… vaccinale. Et au bout d’un certain temps, c’est leur démission, voire, leur licenciement qui sont préparés, même si théoriquement le code de la fonction publique les protège encore.
La programmation vaccinale n’avance plus, c’est même avoué publiquement, d’où la nouvelle trouvaille, « vacciner obligatoirement tous les actifs de plus de 50 ans, car… c’est l’âge qui le veut ». La presse aux ordres, bien entendu elle pavoise.
Mardi 31 août, et la gouvernance des diaboliques à Athènes vient de remanier partiellement son équipe ministérielle. Rien à signaler, si ce n’est que la promotion de Mína Gága, déjà figure des médecins post-hippocratiques, officiels, vaccinistes, comme d’abord payés par Big Pharma. Elle est désormais vice-ministre de la Santé, puis ; notons-le aussi, l’arrivée au ministère de Défense… de l’inusable Níkos Hardaliás.
L’ancien ministre de la dite « Protection civile », chef d’orchestre apparent des vaccinodromes en Grèce et de ce fait, des mesures totalitaires imposées aux Grecs, devient le nouveau vice-ministre de la Défense. Déjà, notons-le, le pays réel ne se montre guère tendre avec Hardaliás et c’est le moins que l’on puisse dire. « Je baise la mère de Hardaliás », peut-on lire désormais sur certains murs d’Athènes… c’est bien connu, les conspirationnistes seraient par définition vulgaires.
En tout cas, le but de sa nomination est clair. Imposer l’obligation vaccinale pour l’ensemble des hommes et des femmes des forces armées grecques. C’est même sitôt annoncé. « Dès le 1er septembre, l’ensemble du personnel médical et hospitalier relevant des Armées doit subir l’obligation vaccinale ou sinon, ne plus travailler, et encore moins être payé ».
Parmi les militaires qui ne souhaitent pas passer par la case vaccin, il y a certains pilotes ainsi que bien d’autres spécialistes, occupant de nombreux postes névralgiques. Tout comme aux États-Unis ou en France, la manœuvre consiste à définitivement soumettre les forces armées à la programmation du dernier Occident métastasé. Il fallait y penser.
Début septembre déjà, et à partir du 13 du mois, un cadre contraignant et liberticide qui équivaut au pass sanitaire français, sera appliqué sur l’ensemble du territoire grec. En attendant, les manifestants du 29 août à Athènes ont été dispersés par les forces de l’ordre de manière brutale, tandis que les syndicats des hospitaliers contestent bien mollement… pendant le téléchargement complet du logiciel. « Oui au vaccin qui est un cadeau de la vie, non à la vaccination obligatoire ». Derniers… surtout cadeaux faits au Régime, avant la fin bientôt officielle du syndicalisme comme autant du droit de vote. Métastases en cascade…
En l’instant présent de notre… affaire en cours et d’après les estimations de la presse cette semaine, il y aurait entre 10 000 et 25 000 professionnels de la Santé publique qui sont tout de même concernés par une prochaine mise à pied. Déjà, de nombreux actes en chirurgie sont annulés, et l’on prévoit la fermeture de nombreux lits dans les hôpitaux.
Devant tous ceux qui s’alarment de l’effondrement calculé du système de santé en Grèce, le Régime pense avoir tout prévu. D’abord, il se débarrasse des rebelles et en même temps, il annonce ce qu’il mettra en place. Leurs postes seront occupés par un certain nombre de remplaçants, via les sociétés privées d’Intérim médical, lesquelles feront ainsi leur entrée triomphale au sein de l’hôpital public, tandis que plus de soixante hôpitaux disparaîtront partiellement sous la réforme annoncée, dite celle de leur « optimisation ».
L’Agenda 2030 exige autant la fin de ce qui en restait de la médecine d’Hippocrate, déjà largement hypothéquée par deux siècles de médecine… à la Rothschild. L’euro, l’immigrationnisme, le Covidisme et derrière lui le vaccinisme, ne sont que ces armes de destruction massive et autant catalyseurs pour en arriver à ce monde d’après, celui des initiés d’abord et surtout. Et en plus, il y a la maladie… qui n’est pas traitée disons à la hauteur.
Donc métastase à tous les étages, la Métastasis revisitée des Grecs anciens, le terme signifie à la fois et suivant le contexte : déplacement ; suppression, migration ; déménagement, transformation, conversion, renversement, révolution, extirpation et enfin de manière initialement métaphorique, tout simplement… la mort.
Plus de recul possible alors. Ainsi, certains manifestants déterminés sont allés jusqu’au bout des… idées du temps actuel. Comme par exemple à Thessalonique durant les manifestations du 29 août. Leur message fut clair, « Mitsotákis tu te fais baiser et d’ailleurs Tsípras aussi ».
La politique n’est plus, la Polis, la Cité est morte, il ne restera que la Police… place donc au combat au corps à corps, si ce n’est déjà que dans la sémantique. Identiquement à un champ de bataille à l’ancienne, où ce que l’on dit est sitôt accompli. Les barrières anatomiques, culturelles et anthropologiques sont brisées, « eux ou nous » et alors le massacre.
Bien entendu et comme prévu, dimanche dernier, le Régime a tapé très violemment sur les manifestants, à Athènes par exemple la Police prétorienne a attaqué simultanément depuis plusieurs endroits, histoire de bloquer les rebelles autour de la place Sýntagma pour en finir avec la fronde. Le pays est à défaire jusqu’au bout. Le temps est bien loin, celui des tracteurs canadiens Massey Harris 44 dont les modèles exposés sur cette même place en 1950 préfiguraient… le retour modernisé de l’agriculture grecque, après dix années de guerre, d’abord la Seconde Guerre mondiale et à sa suite, la guerre civile.
Cette dernière, notons-le, eut un intérêt international indéniable et la diplomatie britannique est passée par là : « divide et impera » toujours et encore. Rien de très original dans un sens, y compris de nos jours… d’où accessoirement toute la division entretenue et imposée, entre vaccinés et non-vaccinés.
Pendant ce temps, la presse locale de la région de Thrace fait état des… premières incursions relativement massives d’Afghans dans les villages près de la frontière avec la Turquie. Sans doute un autre… « cadeau de la vie » d’après les immigrationnistes, de… gauche comme de droite.
Cependant, tout ne se passe pas comme prévu. Amal, la… poupée des immigrationnistes a été interdite d’accès à Kalambáka sous les Météores, par l’Église locale et même par le maire. Pour la presse aux ordres des initiés, « le Métropolite et le maire ont eu une réaction raciste ». Comme déjà évoqué sur ce blog, la grande marionnette mesure 3,5 mètres de haut, mettant en vedette le théâtre de marionnettes « The Walk », qui a débuté ses représentations le 27 juillet 2021 dans la ville de Gaziantep, près de la frontière syrienne en Turquie.
Durant deux mois, la poupée voyagera dans huit pays européens, dont la Grèce et l’Allemagne… jusqu’au Royaume-Uni, la fin du voyage… « à la recherche de sa mère ». Et à Larissa, capitale régionale de la Thessalie, les immigrationnistes et leur poupée ont pourtant été assaillis par… de nombreux nativistes, ce que le scenario de la « fête » ne prévoyait peut-être pas.
Nous voilà donc… coincés entre « cadeaux de la vie », mutations et métastases. Non pas que la façon dont nous cheminons nous évitera le chaos absolu. La planète entière pue déjà tant de cadavres. Nous vivons même dans la division, parmi les plus barbares depuis l’apparition de l’Homo sapiens. Et maintenant que nous nous baignons jusqu’à la moelle dans la constellation des mensonges, la phase suivante est visiblement et insidieusement incubée.
Les gens sont rentrés de leurs vacances, dans Athènes on tourne un film de Hollywood, les bars de plein air sont remplis, et c’est bientôt la rentrée des écoliers… ceux que le Régime veut vacciner « alors sans faille ».
En arrière-plan pourtant, la catharsis se prépare. On finira par en découdre… peut-être bien quand les derniers bars seront alors fermés pour de bon. Car il ne faut pas se laisser tromper par le calme morne… de la morgue, cette matrice de la nouvelle masse humaine dont l’idéologie se construit et s’impose en ce moment même.
Des solutions finales… ou toutefois finalisées, se préparent pour ceux qui ne sont pas d’accord avec le Régime, mais en réalité pour tous. Déjà, le prix de l’énergie électrique augmentera très bientôt en Grèce de près de 50%, tandis que celui du pain… quotidien de 20%. Le Grand Reset est là, la pénurie se prépare.
Tout s’accélère, sauf la logique bien entendu. Les politiciens marionnettes sont plus que jamais ces zombis de la psyché, et qui actuellement avalent des dizaines de boîtes de psychotropes pour combattre leur propre peur devant leurs maîtres. Durant toute une vie et autant carrière, ils ont été préparés pour ce moment, avant la disparition de leur ultime classe politique ils doivent réussir. Sauf qu’ils sont vicieux, méchants et bêtes et cela se voit. Si le projet échoue, leurs maîtres les laisseront seuls aux mains des peuples et la suite est connue. La mort, cette fois-ci la leur.
Et le pire, c’est que la nouvelle masse humaine est censée demeurer moralement inactive, dans le sens où elle ne se soucie guère de ce qui peut arriver à son prochain. De plein pied dans ce méta-monde, les arachnides des médias incarnent et représentent à leur tour autant cette masse de dérangés, qui entre clones, brûleurs d’encens, violeurs d’enfants et pratiquants de yoga, recherchent frénétiquement le « messie » supermassif qui les conduirait tous… au pays de l’Ordre final.
Sauf que la pizza servie devant l’écran est empoisonnée et c’est en cela que les comploteurs initiés ont échoué, sans pour autant avoir perdu l’initiative des hostilités. Car une partie non négligeable du « bas peuple » n’a pas mordu à l’hameçon des inepties « scientifiques », si généreusement servies par les médias mafieux et au besoin, à travers les dépotoirs d’Internet.
Enfin, un certain peuple, certes minoritaire, s’est rendu compte combien les théories et également pratiques du complot bien officielles, sont aussi le fait de l’OMS, un organisme comme tant d’autres conçu pour être à la solde des initiés. Cependant, les vrais conspirateurs ont atteint leur premier objectif principal. Après plusieurs mois de confinement, d’étouffement financier, d’interdictions irrationnelles, de menaces télévisées quotidiennes, par une phraséologie ségrégationniste et par de violences psychologiques délibérées comme intenses, les initiés ont réussi à laminer le moral de la majorité des citoyens… sauf celui des rebelles.
Dans l’état actuel des choses, tout laisse entrevoir ce que sera la nouvelle normalité annoncée. Elle sera faite d’un enfer quotidien, à travers déjà un gigantesque asile de fous à ciel ouvert. Et disons-le, le pire est à venir. L’irresponsabilité légale qu’ils se sont empressés de décréter au profit de leurs experts méta-médecins, de même qu’au profit de la vermine de la classe politique qu’a déchiré la Constitution, est un fait accompli pour leur éviter les possibles conséquences liées à leurs crimes. Ce qui est amusant, c’est que si tout ne se déroule pas comme prévu, la plupart d’entre eux, ne pourront même pas avoir le temps pour se réfugier dans les salles des tribunaux.
Mais pour l’instant, ces laquais dominent le jeu, car leur complète domination est évidemment une conséquence des méthodes étatiques de fragmentation de l’individualité et de la personne de tout un chacun. Plus de personnalité, plus de lien social, et plus de réaction possible. Les méthodes utilisées durant tout un temps par la junte parlementaire contre la population civile, proviennent d’ailleurs directement des cachots d’investigation des services secrets. Ainsi, aucun principe pour ce qui est de la mise en place de leurs mesures n’est accidentel.
Méthodes sinon connues, pour briser les prisonniers de guerre, tirées des programmes militaires qu’ont été appliquées sans merci sur ces peuples déjà sous emprise des drogues para-culturelles des médias depuis plusieurs décennies. Et c’est alors un fait, nous n’avons pas tous la même résistance mentale et physique.
Dans la guerre asymétrique qu’ils nous livrent, nous restons il faut se l’avouer, spectateurs inactifs et victimes. Et pourtant, le pourcentage de personnes encore rationnelles de même que le noyau dur des défavorisés, tous ces gens sont restés silencieux. Ils attendent patiemment le moment. Toute cette pression va un jour éclater. Le fait qu’il y aura un massacre semble alors certain. Et plus il tardera, plus il sera cruel.
Parmi la myriade de troupeaux d’aliénés, d’idiots et d’anéantis, il y a ces gens qui utilisent encore le reste de ce que l’on nomme logique. Leur vie devient de plus en plus difficile. Il leur est déjà suffisamment interdit de circuler, de travailler, de communiquer, de fréquenter de nombreux lieux, il leur est interdit même de cogiter pour contester la dernière religion mondialiste revisitée.
Le Covidisme est donc cette nouvelle forme de foi autoritaire. Tout comme à travers les barbaries précédentes, il y a des récompenses pour ceux qui montent à temps à bord du train du nouveau récit. Sauf que les opportunistes d’en bas, ces idiots utiles ne feront pas long feu. La grande expérimentation n’est peut-être pas celle des gens vaccinés, mais alors des autres. Les non-vaccinés seraient ainsi de la véritable expérience… comme autant de la véritable « fête ». Les initiés mesurent ainsi leur endurance et leurs réactions. Biologiques comme psychologiques. L’univers concentrationnaire n’est guère loin, surtout si on se laisse faire.
Répétons-le. Il s’agit de réduire les personnes encore un peu libres, en esclaves ; le génocide est ainsi organisé à travers de bien nouveaux crimes contre l’humanité, en passant par l’abolition de toutes les règles de droit… mais c’est autant le passage obligé dans la mise à mort de l’Occident.
Le Covidisme enfin n’a rien à voir avec la santé, car il est lié à la dette mondiale comme à cette affaire des ressources… aux mains des initiés. C’est cette même septicémie toxique qu’a été imposée aux États modernes et à leurs peuples par le mille-pattes des initiés associés. Le capitalisme a mordu sa queue, et toute la planète avec.
L’enjeu n’est d’ailleurs plus le retour à la foutaise perdue datant d’hier. Ça y est, c’est fini. La question est de savoir qui définira la nouvelle réalité. Les programmateurs sombres comme Gates, Musk et Schwab, ou alors nous tous, bioconservateurs et ainsi encore êtres humains. Ces salauds ne reculeront pas, on le sait. Ils ont signé de leur propre sang corrompu le contrat qui les lie aux fossoyeurs sataniques de l’humanité. S’ils l’emportent, nous pouvons être absolument sûrs que notre lendemain sera beaucoup plus cauchemardesque que la… gentille métastase que nous vivons aujourd’hui.
Le début de la fin, ou alors la fin du début dans cette ultime planification ? Ou sinon, l’idée, la leur, déjà ouvertement réitérée. « C’est que l’homme du futur sera comme un site web, à tout jamais une version bêta, c’est-à-dire un organisme-prototype voué à se perfectionner en continu ». L’homme… du futur, c’est-à-dire, la métastase de leur caste, qui règnera… enfin seule sur les cadavres, les nôtres.
Soyons alors prêts. Comme me le dit à l’instant Stélios, le voisin médecin hospitalier et résistant, « notre plus précieuse richesse c’est notre système immunitaire, et de ce fait, notre instinct de survie. Ce matin à l’hôpital, le Régime a fait semblant de reculer. -Vous ne partirez pas, nous avons besoin de vous, nous trouverons sans doute une solution- nous disent-ils. Salopards. Cette secte ne fait que détruire le monde. En tant que vampires, ils sucent la vie, ne laissant derrière eux que les déchets toxiques de leur trou du cul. Nous les détruirons ».
Ce fut aussi le dernier week-end du mois d’août et c’est officiel, l’été grec, c’est fini. Sauf pour les âmes adespotes, autrement-dit, sans maître.
source : http://www.greekcrisis.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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