Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wayhomestudio/Freepik
25 août 2021 (LifeSiteNews) — La raison pour laquelle l’industrie de l’avortement utilise constamment des slogans tels que « pas d’utérus, pas d’opinion », c’est pour faire taire les hommes pro-vie. En effet, les avorteurs sont heureux de recevoir le soutien des hommes pro-choix et ne se privent pas de le demander quand ils le jugent opportun. Lorsqu’ils disent que les hommes doivent se taire sur cette question, ils parlent en réalité des hommes qui cherchent à défendre les enfants à naître. Ces hommes nuisent à leur chiffre d’affaires, et lorsque les femmes se font moins avorter, ils gagnent moins d’argent.
J’ai souvent affirmé que le débat sur l’avortement avait besoin de plus d’hommes, pas de moins. Si chaque homme qui rend une femme enceinte jurait de la défendre, elle et son enfant, et de les soutenir contre vents et marées, je pense que le taux d’avortement chuterait du jour au lendemain. De nombreuses femmes avortent sous la pression d’hommes mauvais — le genre d’hommes qui ont besoin de l’avortement pour échapper aux conséquences de leur style de vie. L’avortement n’a rien à voir avec le droit des femmes de choisir pour elles — il s’agit de leur droit de choisir, celui des hommes. Ils veulent que les femmes soient sexuellement disponibles pour eux sans avoir d’enfant.
Pour citer un exemple, l’attaquant de la Ligue nationale de hockey, Evander Kane, qui joue pour les Sharks de San Jose, est en procès après avoir été poursuivi par son ancienne partenaire Hope Parker. Kane aurait accepté de lui verser 2 millions de dollars pour qu’elle avorte un bébé qu’ils ont conçu ensemble, mais il a changé d’avis sur le montant juste avant qu’elle ne lui donne la preuve qu’elle l’avait fait. Les deux autres enfants de Kane avec Parker auraient également été avortés, le joueur de hockey lui ayant versé 125 000 dollars pour le deuxième avortement. Pour le troisième, Parker a exigé des millions. Ce serait très coûteux, mais le père de l’enfant avait promis de payer la mère pour faire tuer l’enfant.
Quel monde affreux pour les enfants dans l’utérus.
Ce ne sont pas les seules accusations d’avortement qui ont fait l’actualité cette semaine. Lors du procès pour trafic sexuel du chanteur R. Kelly, l’accusatrice Jane Doe N° 5 a déclaré que le chanteur a tenté de contrôler tous les aspects de sa vie à partir de l’âge de 17 ans et qu’il la punissait si elle ne lui obéissait pas. Cela consistait en violences physiques tous les deux ou trois jours ; le chanteur l’a infectée avec l’herpès ; et lorsqu’elle est devenue enceinte de leur enfant en 2017, Kelly l’a poussée à se faire avorter. « Il a dit : “Tu dois te pencher sur cette histoire d’avortement parce que tu dois garder ce corps” », a-t-elle déclaré au tribunal.
Les avortements dans le monde des célébrités ne sont pas rares ; certains hommes exigent même que les femmes signent des « contrats d’avortement » afin que tout enfant qui vient au monde en sorte rapidement par l’aspirateur d’un avorteur. Les hommes utilisent les femmes ; les femmes utilisent les hommes ; les enfants meurent, victimes des cruels jeux de guerre sexuelle auxquels se livrent leurs parents.
Au milieu de tout cela, l’industrie de l’avortement informe tout homme qui souhaite protéger son enfant à naître de fermer sa gueule et de soutenir l’avortement. Tant de femmes attendent désespérément que les hommes se lèvent et soient des hommes ; tant de femmes choisiraient la vie si elles avaient le soutien nécessaire pour le faire. Dans une culture où l’avortement est normal et le sexe occasionnel attendu, une génération d’hommes défendant leur propre progéniture constituerait un changement culturel énorme et bienvenu. L’industrie de l’avortement, bien sûr, ne veut pas de cela. Les avorteurs préfèrent un monde rempli d’Evander Kane et de R. Kellys.
Des hommes comme ceux-là leur rapportent de l’argent. De l’argent sanglant, oui. Mais de l’argent.
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