Extraordinaire surprise. Quel plaisir de retrouver Anne Brassié avec son courage qui lui avait fait écrire un livre sur Brasillach avec le sous titre : « Encore un instant de bonheur ».
C’est ce livre magnifique qui fait revivre l’univers de Brasillach et qui permet de conceptualiser les termes de « fascisme romantique ». Je croyais Anne perdue avec les fréquentations versaillaises de Radio Courtoisie et TV Libertés. Femme de caractère et d’engagement que l’on retrouve ici car elle n’a rien à gagner dans cette affaire mais tout à perdre. Merci aux intermédiaires qui ont permis cette rencontre.
Je ne connais rien d’Anne Brassié mais je me dis que ses enfants et ses petits enfants ont bien de la chance d’avoir une lumineuse grand mère de cette trempe autour d’une gamelle de moule à la crème sous les pommiers de Normandie.
Emmanuel Ratier tu nous manques, mais c’est Anne qui mériterait avoir comme indicatif celui des Partisans Blancs.
Anne Brassié et Alain Soral sont chacun à leur manière des bunkers de sensibilité, de courage et d’intelligence contre lesquels les bombes de la coalition ne peuvent rien.
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