Après avoir produit et vendu des millions de doses de son vaccin, le laboratoire Pfizer annonce que son antidote a atteint la dernière étape des tests cliniques. Il devrait être disponible à la vente au quatrième trimestre 2021.
C’est à contre-courant de la politique de vaccination en vigueur en Europe et dans la majorité des grandes nations mondiales que Pfizer met en place sa stratégie marketing pour les prochains mois. C’est officiel, le laboratoire américain, toujours en partenariat avec BioNTech, va prochainement distribuer un antidote au vaccin Cominarty actuellement majoritairement utilisé dans les centres de vaccination français.
Cet antidote a pour objectif d’annuler les effets de la vaccination et de restaurer le système immunitaire du patient à son état d’avant vaccination. Les effets secondaires de la vaccination tels que l’aimantation sur le point d’injection ou encore « l’effet boussole » devraient également disparaitre peu de temps après le début du traitement par l’antidote.
Contrairement aux vaccins par injection sous-cutanée, le nouveau produit de Pfizer sera beaucoup moins intrusif car il sera dispensé par un patch (timbre transdermique) à apposer sur le point d’injection du vaccin et à garder entre 8 et 14 jours. Ce patch bénéficiera des années de recherche de Pfizer dans le développement de ses patchs anti-douleur non opioïdes mondialement reconnus .
Le dispositif développé par le géant pharmaceutique embarquera tout de même quelques innovations technologiques afin de procurer au patient une expérience d’utilisation optimisée. Le patch sera notamment équipé d’un système de mesure de la charge vaccinale du porteur, ceci afin de minimiser le temps d’application nécessaire. Il suffira simplement d’appairer le boitier de visualisation par technologie NFC (système vendu séparément).
Cette nouveauté pharmaceutique devrait plaire aux personnes vaccinées qui souhaiteraient rejoindre les rangs des « antivax ». Attention tout de même, Pfizer annonce d’ores et déjà des effets secondaires non désirés comme l’hirsutisme, des problèmes d’halitose ou encore des réflexes onychophagiques mais qui seraient seulement temporaires d’après les premières études.
Source : Info Liberté
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