Ce qui est intéressant dans l’intervention de ce monsieur, c’est de voir le résultat formidable de la fabrique du consentement, de l’hypnose de masse, de l’ingénierie sociale.
Ce monsieur n’est plus en mesure de penser : il a été terrorisé et ce n’est plus le néocortex qui gère mais le reptilien : bien/mal, ami/ennemi, vrai/faut.
Comme il est incapable, tout comme nous, de juger de l’état de la pandémie, mais qu’au contraire de nous il se fie au gouvernement, aux média et aux stipendiés des labos gloutons, il répète le message de la doxa en le poussant à son paroxysme : vu que l’inoculation de tous serait la seule solution (finale), ceux qui osent s’y soustraire sont des criminels qu’il faut mettre hors d’état de nuire.
La manipulation est terriblement efficace, et ce monsieur se pensant le héraut du bien est en fait un suppôt de la tyrannie sanitaire. Dans son esprit, la logique basée sur la causalité et la dialectique n’a plus cours. C’est le reptilien qui gère la survie.
Cet état d’esprit est diffusé dans tout le monde occidental, du Canada à l’Austarlie en passant par l’Europe, à force matraquage interminable et de stress à basse intensité depuis maintenant 18 mois, et ça finit par exploser.
Il a explosé sur le plateau, et pourtant il était dans la retenue.
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