Des comme elle, il en faudrait plus, car les occasions de rire en dystopie sanitaire mondialiste ne sont pas légion. Sandrine avait déjà fait parler d’elle avec l’histoire des « hommes blancs à vélo dans les villes », en arguant que ce n’était pas ça l’écologie.
Donc ce sont les femmes à vélo, si l’on comprend bien. Mais on ne jette pas le pavé à Sandrine, qui avait courageusement dénoncé la non-éviction de Frédéric Haziza de LCP, après ses agressions sexuelles répétées. À l’époque, tout le monde était terrorisé à l’idée de dénoncer Frédo-le-frottis et de passer par la même occasion pour antisémite, alors qu’il n’était question que de violences sexistes. Jusqu’où va se nicher la peur de l’antisémitisme… Terroriser toute une nation avec ce truc de magicien, c’est fort, quand même ! Mais ça marche de moins en moins. Enfin, c’est pas le débat du jour. On revient sur Sandrine.
À l’occasion de la reprise du pouvoir par les talibans à Kaboul, Sandrine nous a refait une sandrinade, qui vaut son pesant de kilorires (une nouvelle mesure) :
« Si vraiment il y a des personnes qui sont dangereuses, des potentiels terroristes, c’est pas parce qu’ils restent en Afghanistan qu’ils sont moins dangereux en vrai. Donc quelque part, les avoir en France, ça nous permet aussi de les surveiller. » »
« S’il y a des afghans potentiellement terroristes, il vaut mieux les avoir en France pour les surveiller »
Sandrine Rousseau, candidate EELV à la présidence de la République « Française ».
Ces gens sont fous. pic.twitter.com/Shvrg4Hv6p
— Pierre Gentillet (@Pierre_GTIL) August 25, 2021
Curieusement, au moment où la gauche classique – dite aussi gauche de gouvernement (ce qui est un oxymore, la gauche devant rester à la fois révolutionnaire et dans l’opposition) – s’effondre, c’est la gauche sociétale bidon qui a le vent en poupe, et qui constitue la meilleure opposition contrôlée pour le pouvoir profond.
De plus, les buts de l’écologie politique mainstream (parce qu’il y a une authentique écologie anti-Système ou hors Système) sont étrangement compatibles avec les buts mondialistes, qui sont de déléguer à la Chine la production carbonée pour focaliser sur l’économie numérique et la dématérialisation à outrance. C’est pourquoi la pseudo-gauche sociale est actuellement bazardée dans les poubelles de l’Histoire. Ce qui ne l’empêche pas de rêver…
La maire socialiste de Paris et l’ancien ministre de François Hollande devraient officialiser leurs candidatures pour la présidentielle de 2022 https://t.co/P77gA8rvTA
— RTL France (@RTLFrance) August 26, 2021
Quant à Mélenchon, malgré deux ou trois sorties calculées contre le CRIF, il symbolise le retour de la Mitterrandie, l’homme qui a vendu la France à l’Union européenne, c’est-à-dire à l’Allemagne. Mélenchon, c’est aussi l’homme qui n’a pas répondu à la main tendue de Marine en mai 2017 pour battre la Banque, ce qui veut tout dire. Aujourd’hui, chacun peut voir le résultat de cette trahison nationale profonde.
Alors, quand la gauche parle climat plutôt que lutte sociale, il faut comprendre cohabitation avec la petite musique mondialiste. Sinon, l’agent Raphaël Glucksmann a une bonne nouvelle pour la jeunesse : le socialo-sionisme n’est pas mort !
Raphaël Glucksmann (@rglucks1) publie « Lettre à la génération qui va tout changer » : « Je n’en peux plus du fatalisme ambiant, de la déprime collective. C’est ce goût de la victoire que je veux rendre aux gens épris de principes humanistes, d’idéaux républicains. » #le69Inter pic.twitter.com/ErOZ7sRigt
— France Inter (@franceinter) August 25, 2021
Le petit Glux nous fait marrer avec ses Ouïghours, comme si c’était la préoccupation numéro un des Français, des Français qui subissent le chantage abject boulot contre vaccin, salaire contre vaccin. Non, pour le petit Glux, le vrai combat se passe au Xinjiang. La sociale en France ?, rien à battre. L’holocauste des Ouïghours comme axe de campagne pour 2022, pas sûrs que le jeune agent socialo-sioniste dépasse les 2 % le 10 avril 2022.
Heureusement, de la même façon que la droite a son sauveur, le sémillant Xavier Bertrand, la gauche a trouvé le sien : Sébastien Le Foll !
Oui, le même qui avait été ciblé par les Gilets jaunes en janvier 2019… Un homme extrêmement populaire !
Les Français aiment bien voter, mais pas pour des connards ou des vendus. C’est comme la bouffe : on aime bien manger, mais pas de la merde. En matière politique, la table de Bocuse est devenue un étal de Macdo. L’abstention, c’est uniquement pour ne pas vomir.
Bonus : le « devoir de mémoire » selon Jean Lassalle
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation