par Marie-France de Meuron.
Quelle conscience avons-nous du principe de protection ? Laquelle désirons-nous ? Laquelle recherchons-nous ? De quoi ou de qui l’attendons-nous ?
Si le principe premier des médecins est « primum non nocere », on peut avancer que le second principe est de protéger les êtres humains, tant de ce qui provient de l’environnement que de ce qui surgit à l’intérieur du corps.
Qu’est-il advenu de ce second principe de la part des gouvernements, des économistes, des multiples corps de métier, des différents milieux sociaux et familiaux ?
Il est toujours inspirant de rechercher la source d’un vocable. Son concept nous est souvent connu mais toute sa signification vivante lui apporte une réalité bien plus dense. Concernant la protection, l’origine en est le verbe latin pro (= devant) et tegere (= couvrir, abriter, garantir) donc protéger.
Nous baignons dans un univers complexe et sommes nous-mêmes des micro-univers. Les modes de protection ne peuvent qu’être multiples, complexes, diversifiés. Comment se manifestent-ils dans la période si particulière que nous traversons, focalisée sur le virus couronné autour duquel nos existences sont remodelées de gré ou de force selon des principes de protection devenus sous plusieurs aspects étouffants au propre et au figuré, dans notre monde physique, psycho-affectif, économique, social et religieux.
Les exemples foisonnent. En cette période de rentrée scolaire, le rôle protecteur de la population est dévolu aux enfants vis-à-vis des adultes. Ainsi, en France, le Ministère Éducation nationale, Jeunesse et Sports vient de dévoiler le « protocole sanitaire » : masque obligatoire dès le primaire – malgré toutes les alertes des pédopsychiatres sur les difficultés psychologiques et d’apprentissage qui en ont résulté l’année dernière -, interdiction de sports de contact en intérieur. Dans une telle ambiance, qu’en est-il de la protection que les adultes et plus particulièrement les enseignants doivent à la jeunesse ? Depuis maintenant dix-huit mois, la précieuse et indispensable insouciance de l’enfance n’existe plus. À ces directives s’ajoute la vaccination des plus de douze ans à laquelle les élèves sont très fortement incités. Et pourtant, un brûlant rapport publié au mois de juin par le Comité consultatif national d’Éthique (CCNE) a mis en garde le gouvernement : « Le recul existant ne permet pas d’assurer la pleine sécurité de ces nouveaux vaccins chez l’adolescent, […] et chez l’enfant aucune donnée n’est disponible »… Dit plus clairement, les pays occidentaux – puisque la France suit une tendance générale – font consciemment prendre des risques, sans aucun bénéfice pour eux, à tous leurs enfants et adolescents ; ceci sous prétexte d’atteindre une immunité collective dont on sait maintenant qu’elle n’arrivera pas.
Est-il vraiment judicieux et protecteur d’enseigner aux jeunes la nature des vaccins par des slogans ? Après « Vite ma dose », la nouvelle campagne du Ministère de la Santé : « Ça va ? Ça vax ! »
En parallèle, il est bon de reconnaître que certains efforts de protection sont instaurés : « Le Pass’Sport : aider les jeunes à se (re)mettre au sport ». « L’enjeu : faciliter la reprise sportive après les confinements. Quoi et pourquoi ? La création du Pass’Sport s’inscrit dans le lourd contexte de la crise sanitaire et les différentes contraintes qui ont pesé sur la population, jeune notamment, durant les confinements : limitation des déplacements et des rassemblements, fermeture des établissements sportifs couverts, interdiction des pratiques avec contact. « Ces mesures ont eu pour conséquence une baisse générale de l’activité physique et sportive des Français associée à un fort accroissement de la sédentarité avec des effets sur leur santé physique et mentale », plaide le ministère des Sports ». On peut toutefois se demander à quel pourcentage de protection globale de l’enfant cette mesure répond.
Il existe toutefois des réflexes de médecins qui conçoivent autrement la protection des enfants. Ils lancent même un message urgent en s’appuyant sur différentes données et observant que le monde se dirige vers des mesures extrêmes contre le coronavirus . En sommes-nous arrivés à protéger davantage le principe de mesures sanitaires, les stratégies de confinement et de vaccination ?
Et pour les aînés, qu’en est-il ? « La HAS préconise une 3e dose de vaccin pour les plus de 65 ans », avec une réserve tout de même : « Sous réserve d’absence d’interférence immune significative entre les deux types de vaccins – l’Autorité propose, pour éviter tout retard à la vaccination antigrippale et simplifier le parcours vaccinal, de réaliser l’administration concomitante des vaccins contre la Covid-19 et contre la grippe saisonnière à partir de fin octobre ». Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on protège des principes mais qu’en est-il de l’homéostasie des organismes de nos aînés ?
Nous apprenons que l’Injection Pfizer est complètement approuvée aux États-Unis. Est-ce vraiment pour mieux protéger la santé des populations ? Le British Medical Journal y voit une décision politique et mercantile : « Il est déjà préoccupant que l’approbation complète soit basée sur 6 mois de données malgré les essais cliniques conçus pour deux ans », peut-on lire dans un article du 20 août dernier. « Il n’y a pas de groupe témoin après que Pfizer a offert le produit aux participants au placebo avant la fin des essais ». « L’approbation complète des vaccins contre le covid-19 doit se faire dans un forum public ouvert à tous. Cela pourrait créer un précédent de normes abaissées pour les futures approbations de vaccins »... En faisant cela, la FDA transgresse les règles de sécurité habituelles, explique le British Medical Journal .
Avons-nous le droit de protéger la conscience de notre savoir et de nos expériences ? Si autant de soignants refusent de se faire vacciner, c’est bien parce qu’ils connaissent en profondeur l’impact des produits injectés dans le corps. Le questionnement du journaliste Reflet logique de la population générale, ou insuffisance d’un secteur au devoir de vigilance ? s’arrête ainsi à la notion de reflet de la population ou d’un devoir. Il serait judicieux qu’il perçoive l’aspiration profonde des soignants à protéger leur organisme et qu’il aille s’informer et se former auprès des médecines hautement qualifiés : le Dr Peter McCullough, cardiologue, professeur de médecine, explique ce qu’il a appelé “le bioterrorisme propagé par injection“, exprimant sa préoccupation que les vaccins expérimentaux actuels contre le COVID-19 puissent stériliser les jeunes, favoriser le cancer, et aurait probablement déjà causé 50 000 à 70 000 décès aux États-Unis.
L’obligation vaccinale est terriblement contraignante pour ceux qui ont l’intuition de leur corps et l’expérience du contact direct avec des malades. Et pourtant, le gouvernement n’en tient pas compte et en vient ainsi même à nous empêcher d’être protégés par les sapeurs-pompiers qui pratiquent diverses tâches salvatrices. Le directeur du SDIS de la Haute-Savoie, a confirmé auprès de l’AFP qu’un certain nombre de sapeurs-pompiers, volontaires ou professionnels, ont été suspendus depuis lundi « car ils n’avaient pas produit de résultat négatif » de test. De plus, il est regrettable qu’une telle décision se base sur un test qui ne révèle rien d’absolu et c’est étrange que le gouvernement se protège ainsi de ses responsabilités !
Il est aussi dans l’ordre des choses de protéger la déontologie : « De qui se moque-t-on ? » En enfreignant les règles déontologiques les plus élémentaires la population française est entraînée dans un acharnement vaccinal dont le monde scientifique ignore absolument tout des conséquences à moyen et long terme.
Les modes de protection s’appliquent dans différents domaines. Ici, deux industries sont comparées de façon assez inattendue : « De l’industrie aéronautique et de l’industrie pharmaceutique » : Comparaison entre les avions qui transportent des centaines de millions de passagers, messagers aériens, et les injections prétendues « vaccinales » contre la Covid-19 que l’on souhaite imposer comme messagers vers l’ADN des humains.
La vérité, n’aurait-elle pas droit elle aussi à une réelle protection ? Un blogueur pose la question de façon très perspicace : « Cherche-t-on la vérité ou l’illusoire efficacité ? »
Et encore, à « Londres – Des opposants aux restrictions sanitaires investissent des bureaux de télévisions » d’ITN, qui diffuse les chaînes d’information ITV, Channel 4 et Channel 5. Les manifestants exprimaient leur ras-le-bol vis-à-vis du traitement de l’actualité Covid-19 par les médias. L’un des manifestants a déclaré à l’AFP : « Les médias de masse ne parlent que des morts du Covid. En revanche, ils n’ont pas parlé d’une seule mort due aux vaccins ».
Avec la vérité, la justice a aussi son droit à la protection ! « Bonnes nouvelles » : Vidéo de Me Carlo BRUSA du 17/08/2021 (intitulée « La censure ne bloquera pas le droit ! ») comportant des informations pratiques capitales pour traverser la situation actuelle de manière libre et sereine et ce, en toute légalité… Elle apporte d’excellentes nouvelles permettant de vivre sans se faire vacciner ni se faire tester par PCR et ceci dans le respect du droit.
Qu’en est-il des droits civils et politiques ? « Les quatre coins du globe sont touchés par des violations des droits humains, dans toute leur diversité, qu’ils soient civils, culturels, économiques, politiques ou sociaux », a alerté le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à l’ouverture de la 46ème session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies.
Qu’en est-il de la protection d’une région particulière ? Surtout quand nous ne sommes pas sur place pour juger par nous-mêmes de la réalité. Ainsi, une vidéo concernant la Martinique et la Guadeloupe montre un scénario machiavélique débusqué : Comme pour la grippe qui a définitivement été rayée des écrans radars, l’épidémie de dengue a aussi été rayée des cartes officiellement le 21 mai 2021 au profit de la Covid et ses variants. Le site officiel du gouvernement l’a annoncé…
Certains milieux prennent conscience du besoin impératif de se protéger des ondes dans notre monde de plus en plus numérique et voulu par certains dirigeants afin qu’il y ait une fusion entre le monde physique, digital et biologique. Ceux qui rêvent de cette fusion sont surtout des économistes et non des connaisseurs du corps humain.
Une autre protection a été malmenée voire bafouée : Le droit au travail. Pas besoin de donner des liens car chacun est témoin des castrations économiques dans de multiples corps de métier.
Qu’en est-il de la protection de nos démocraties ? – « Appel à la mobilisation citoyenne » : Sur l’antenne de La Une TV, Valérie Bugault revient sur certains points essentiels de notre réalité politique.
Il est donc absolument temps que chaque individu retrouve sa souveraineté avec tous ses potentiels et que le milieu politique et social lui offre le cadre nécessaire, suffisant et bienveillant pour pouvoir prendre conscience des moyens à développer et à mettre à profit dans les défis de l’existence dont le coronavirus n’est qu’une étape parmi d’autres.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
Adblock test (Why?)
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International