Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Toronto, Canada, (Justice Centre for Constitutional Freedoms) — Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles représente deux étudiantes qui ne sont pas autorisées à retourner sur le campus du Seneca College en septembre à moins de recevoir les vaccins destinés à la prévention du COVID-19. Mlle Mariana Costa est inscrite à un programme d’arts de la mode de trois ans, et il ne lui reste que deux semestres, et Mlle Crystal Love est inscrite à un programme de technique vétérinaire de deux ans. Les deux étudiantes devaient terminer leur programme et commencer leur nouvelle carrière en avril 2022.
Le président du Seneca Collge, David Agnew, a envoyé aux étudiants un avis par courriel le 18 juin 2021, les informant de la nouvelle exigence en matière de vaccination.
Le Centre de justice a écrit une lettre au nom de Mlle Costa et de Mlle Love en juillet, informant le collège que s’il ne levait pas l’exigence de vaccination pour les deux étudiantes, une action en justice serait engagée. Ces lettres n’ont jamais reçu de réponse. M. Agnew a récemment écrit dans une colonne du Toronto Star, où il a déclaré : « Le moment est venu de dire clairement que certaines portes s’ouvriront aux vaccinés et que d’autres resteront fermées aux non-vaccinés. »
Ni Mlle Costa ni Mlle Love ne peuvent finir leurs programmes en ligne ce qui, à long terme, leur causera des difficultés pour faire face aux paiements des prêts étudiants, car il leur faudra plus de temps pour gagner un revenu afin de commencer à les rembourser. Mlle Love est une mère célibataire qui a travaillé dur pour pouvoir mieux subvenir aux besoins de ses enfants, et les deux femmes sont impatientes de terminer leurs programmes pour pouvoir commencer de nouvelles carrières.
La Cour suprême du Canada a statué que la Charte s’applique aux actions des collèges au Canada, et que la Charte protège les droits de conscience, de vie privée et de vie, de liberté et de sécurité des étudiants. Un tribunal peut également conclure que le mandat de vaccination est discriminatoire envers les personnes non vaccinées et constitue une violation de leurs droits à l’égalité.
Les étudiants n’ont pas non plus été informés de tous les risques potentiels connus associés aux vaccins COVID-19 (tels que la paralysie de Bell, la myocardite, la péricardite et la thrombose) avant d’être avertis qu’ils en auraient besoin pour pouvoir terminer leurs études. Il existe actuellement des étiquettes de mise en garde de Santé Canada concernant ces affections pour les vaccins Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.
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