Aucune objectivité et beaucoup de mépris de la part du docteur Pelloux, pourtant brillant par le passé, lorsqu’il intervenait sur les plateaux télés : désillusion. A présent, on peut le ranger du côté de ceux qui n’acceptent pas qu’il n’y ait pas de consensus, comme avancé par le Professeur Raoult il y a quelques temps de cela : « Il n’y a pas de consensus en médecine, et c’est très bien comme ça ». Quand au premier qui intervient lors de la prise de parole du Docteur Fouché et qui vient à qualifier son discours de discours politique, d’un coup d’un seul il abaisse le niveau d’argumentation au point le plus bas, au niveau 0 pour ainsi dire. Maintenant Morandini : que de chemins parcourus depuis ces premières émissions télés, qui étaient racoleuses au possible. Et même s’il a viré son sourire de façade, façon pub pour dentifrice, il n’en reste pas moins le symbole absolu de la tête à claque, avec des casseroles au cul, sauf que l’on ne retrouve pas le manche… Pour finir, Louis Fouché est de la trempe de quelques-uns, au-dessus, parce que porteur de transversalité dans le savoir, et de hauteur dans le discours. Bonne continuation à lui.
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