Introduction
Si nous sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.
Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.
Je vous offre l’ensemble de mes billets, pour aiguiser votre curiosité, élargir l’étendue de vos réflexions et ainsi augmenter le « champ des possibles », concernant votre patrimoine, aussi bien spirituel que matériel.
Ceux d’entre vous qui souhaitent dépasser le simple constat et sont décidés à agir, les « Rendez-vous d’Hubert » vous apportent la compréhension du changement de monde en cours. Vous apprendrez comment vous y préparer, humainement et matériellement, afin d’avancer sereinement vers le merveilleux monde de demain.
Dans mes différents billets, je cite souvent « mon ami Madri ». Pour savoir de qui il s’agit et quelle est son histoire, c’est ici.
Sujet du jour : Notre avenir nous appartient.
Coucou, c’est Madri . Bonjour les amis. Je profite du fait que mon « patron Hubert » est dans une longue et profonde méditation, pour m’adresser directement à vous, sachant que je bénéficie de son autorisation implicite.
Depuis 2012 sur son blog, il vous informe régulièrement sur « ce qui se voit » mai aussi, pour paraphraser ce cher Frédéric BASTIA… sur « ce qui ne se voit pas ». Si je m’adresse aujourd‘hui directement à vous, en plein cœur de l’été, c’est qu’il est urgent de comprendre que les semaines et mois qui viennent vont être décisifs pour votre avenir à tous.
Ce qui se voit :
Dresser les personnes les unes contre les autres à propos d’une thérapie pour le moins douteuse. Imposer des mesures asociales, voire criminelles, autant variées qu’incohérentes. Restreindre considérablement l’accès à des lieux pourtant essentiels, pour des motifs imprécis et contradictoires, imposer un contrôle arbitraire de la santé de chacun…
Ce qui ne se voit pas :
Pour un état qui se prétend « de droit », il est « amusant » de constater qu’aucune de ces mesures abracadabrantesques, ne repose sur… « une cause réelle et sérieuse ».
Voilà qui me rappelle un certain article du Code du travail. Oui, je comprends parfaitement que vous soyez surpris qu’un petit doigt gauche, fût-il d’Hubert, connaisse le droit du travail, mais… c’est ainsi . Je reprends.
L’article L 1232-1 du Code du travail dispose : « Tout licenciement pour motif personnel est motivé dans les conditions définies par le présent chapitre. Il est justifié par une cause réelle et sérieuse ». Cette cause doit respecter 3 critères :
- Reposer sur des faits réels,
- Être précise et vérifiable,
- Être suffisamment importante.
Je demande par avance pardon aux juristes, car je « vais Z’oser » une comparaison entre deux contrats. Même si ce n’est pas si incongru que cela, je vous rappelle que je suis le petit doigt gauche d’Hubert et qu’à ce titre… Comparons, chers amis. Comparons deux droits :
- Celui du travail, qui lie une entreprise représentée par son dirigeant, à un salarié,
- Avec celui, moral, qui lie le président de la République et le peuple français.
Pour ce qui est du contrat moral entre le président et la France, les restrictions de l’expression du peuple et les mesures liberticides prises jusqu’alors sont « des faits réels précis, vérifiables et importants ».
Dès lors, la rupture du contrat moral liant le président et « son peuple » est patente. Conséquence de cet état de fait : un nombre toujours plus important de Français exprime, pour le moment seulement le samedi, aussi clairement que pacifiquement, la fin de ce « contrat de confiance » … pas celui de DARTY, les liants au « président Manu ».
Les livres d’histoire retiendront la date du lundi 16 mars 2020 comme celle du changement institutionnel de la France. Elle portera probablement l’appellation de « Discours du nous sommes en guerre ».
Avec sa précision et son brio habituels, Valérie BUGAULT, que les lecteurs du blog d’Hubert connaissent bien, résume ainsi la conséquence juridique née le 16 mars 2020 : « L’état français n’existe plus ».
En effet, cette tristement célèbre allocution présidentielle a acté le fait que les institutions jusqu’alors en place… n’avaient plus cours :
- Création de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, dite « d’urgence sanitaire »,
- Activation du conseil scientifique par différents décrets, en application de l’article L3131-19 du code de la santé publique (modifié déjà 3 fois depuis le 23 mars 2020) !!!
- Activation du « conseil de défense sanitaire» créé par le décret n°2009-1657 du 24 décembre 2009 relatif au conseil de défense et de sécurité nationale et au secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale.
- Sachez que cette instance définit les orientations en matière de programmation militaire, dissuasion, planification des réponses aux crises majeures, renseignement, sécurité économique et énergétique, sécurité intérieure.
- Utilisées par « Jupiter 1er» depuis le début de la crise « Covidesque », ses réunions sont classées « secret défense », notion définie à l’article 413-9 du Code pénal.
Tout cela dans le plus profond mépris du droit constitutionnel français. En effet, le premier alinéa de l’article 16 de la constitution française dispose :
« Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.
Une simple lecture permet de constater qu’un certain « Corona – embrouillaminus », toujours présenté comme le prétexte à toutes « les mesures sanitaires » qui sont imposées… est loin, très loin, mais alors très très loin de relever des motifs retenus par la constitution, pour l’instauration de ce fameux « état d’urgence sanitaire ».
Valérie BUGAULT a parfaitement raison, au niveau juridique, l’état n’existe plus. Dès lors, quelle est la légitimité des décisions politiques prises par le pouvoir actuellement en place ? Quelle est la validité « des ordres » donnés aux policiers et gendarmes, aux fonctionnaires et à tous les Français en général ?
Livrons-nous à quelques anticipations, hélas parfaitement réalistes, croyez-moi : diminution drastique des libertés fondamentales (se déplacer librement, se réunir, critiquer le pouvoir en place, décider librement des moyens de sa santé…). Le contrôle total de tous les flux financiers est la prochaine étape planifiée… de longue date. Hubert vous a longuement décrit tout cela et depuis longtemps. Il continuera de le faire avec toujours autant d’amour, dès le 1er septembre prochain.
« Si seulement nous avions été solidaires contre la menace commune, nous aurions pu facilement la vaincre.
Alors, pourquoi ne l’avons-nous pas fait ?
Nous n’aimions pas assez la liberté. De plus, nous n’avions pas conscience de la situation réelle…
Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. »
Le monde entier regarde ce qui se passe en France qui est, de fait, « bêta testeur » du logiciel politique de demain voulu par une oligarchie mondialiste qui ne se cache plus.
« Plus l’effondrement d’un empire est proche, plus ses lois sont folles »
(Cicéron)
Il faut bien comprendre que de vos réactions face à la gouvernance mondialiste qui se met en place, dépendra votre avenir, celui de vos enfants et aussi, celui du monde dans son ensemble.
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »
Il n’est plus l’heure de dire « à mon niveau, que voulez-vous que j’y fasse ». La volonté de chacun de « vivre debout » doit être exprimée par tous moyens licites et non-violents.
« L’establishment va tout faire pour vous irriter, tirer votre barbe, vous frapper au visage, pour vous forcer à vous battre.
Parce qu’une fois qu’ils ont réussi à vous rendre violent, ils savent comment vous manipuler.
Les seules choses qu’ils ne savent pas manipuler, c’est la non-violence et l’humour. »
Informez-vous, réunissez-vous, prenez enfin le temps nécessaire pour réellement « faire le point » de la situation actuelle telle qu’elle est et non telle que les « marionnettistes » en place tentent de le faire accroire.
« Toute l’histoire du contrôle sur le peuple se résume à cela : isoler les gens les uns des autres,
Parce que si on peut les maintenir isolés assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi »
Maintenant, vous ne pourrez plus dire « Je ne savais pas ». L’humanité dans son ensemble est à l’heure du choix : vivre debout ou bien continuer de s’enfoncer dans l’avilissement.
« Personne ne peut nous sauver, à part nous-même. Personne ne peut et ne le fera pour nous.
Nous devons nous même marcher dans notre propre voie »
Voilà, c’était mon « conseil d’ami » de l’été. Je suis content de moi, car j’ai mis dans mon texte davantage de citations que « mon patron » n’en met habituellement .
Chers amis lecteurs du blog d’Hubert, faites-vous confiance, le merveilleux monde de demain est à votre portée. Pour cela, il faut et il suffit… de s’engager. C’est Madri qui vous le dit. Je vous aime
Source : Sérénité Patrimoniale
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