par Patrick Reymond.
« Apparemment les pompiers guadeloupéens ont demandé aux quelques dizaines de pompiers métropolitains envoyés en renfort de retourner chez eux. Ils réclament du matériel, pas des hommes.
On apprend au passage que les pompiers guadeloupéens sont tellement débordés par tous ces cas de malades que leurs 1 200 réservistes ne sont pas sollicités ou font des gardes réduites.
Il ne se passe rien en Guadeloupe, en Martinique ou à la Réunion, il n’y a pas de 4ème vague. Il faut juste éteindre l’incendie social, mais l’État commence à manquer de munitions.
Quant aux fameux témoignages de patients intubés et qui posent devant une équipe TV ou aux prétendus victimes car non injectés qui se repentent sur leur lit de mort, c’est tellement invérifiable que l’on peut qualifier ça d’invention pure et simple.
Soit le système va s’écrouler par le poids des mensonges accumulés, soit il va s’entêter et peut déboucher sur des manœuvres sidérantes afin d’arracher le consentement.
Nous ne sommes plus dans une opposition pro/anti masque, pro/anti vaccin, pro/anti pass. Nous sommes dans un affrontement entre deux visions du monde totalement irréconciliables. D’un côté ceux qui ont vécu toute leur vie dans une illusion et veulent à tout prix la continuer et ceux qui sont sortis de l’illusion et ont décidé de voir la réalité en face. La majorité des personnes de la première catégorie appartiennent à la classe moyenne occidentale, ils seront utilisés jusqu’à ce qu’ils ne servent plus et seront totalement lessivés. Il va y avoir du dégât et qui sait quelles réactions auront ces gens s’ils se rendent massivement compte qu’ils ont été floués ? Pour l’instant ces personnes essaient d’emporter le plus de gens possible dans leur délire et deviennent agressives quand on les contredit ».
D’autres nous disent, « sages baby-boomers » (de 70 à 74 ans), bicoze ils sont cons et pétochards vaccinés à 93,9%. Ils devancent même les plus de 74 ans, dont certains résistent vaillamment avec cannes et déambulateurs, au coup de la piquouze fatale. D’ailleurs, on peut en voir certaines dire sans sourciller aux bleus que boches et tartares à une autre époque étaient plus sympas qu’eux. Avec le privilège de l’âge, il apparait difficile de verbaliser les presque 90 balais parce qu’elles leur ont fait honte.
Certains bredins évoquent la vaccination du BCG. Je m’en rappelle. 1/4 de la classe en primo-infection. Qui dit mieux ? Et à l’époque, les généralistes défendaient leurs patients. 1/4 dispensés. 1/3 de casse, pas mal pour le BCG de 1970. La polyo, il a fallu aussi attendre des vaccins moins agressifs pour éradiquer le problème…
Là aussi, on oublie le problème de l’efficacité des prétendus vaccins covid, et de leur innocuité, et on compare avec des vaccins qui ont mis longtemps à le devenir…
Là aussi, maints médecins ont défendus leurs patients enfants contre la vaccination obligatoire BCG, et leur ont fait avec des vaccins plus fiables par la suite. Peut on dire qu’ils avaient des couilles et un avis ?
Pour les boomers de 70 à 74 peut être cela vient il du fait que le système ne les a pas trop maltraités (enfin, pour la plupart, la césure des carrières venant à la génération née en 1959). Ils lui font confiance.
Comme beaucoup, d’ailleurs, qui ne regardent que la télé.
Aux Antilles, c’est davantage l’effondrement d’un système de santé, d’habitude au bord de la rupture, pendant la période de vacances où la population explose qui est en cause.
30 pompiers en renforts pendant qu’il y a 1200 réservistes qui ne branlent rien ? Éloquent… Quelle crise ! Les Antilles sont une partie périphérique de la France, et l’on ne s’en occupe, justement, que pendant les vacances.
source : http://lachute.over-blog.com
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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