Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Chers amis,
En tant que Président de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie, je reçois de nombreux courriels et appels téléphoniques de personnes qui veulent empêcher le décès par euthanasie d’un membre de leur famille ou d’un ami.
J’ai été choqué lorsque j’ai reçu un appel de l’épouse d’un ancien leader pro-vie qui avait demandé l’euthanasie.
L’euthanasie est devenue légale au Canada en juin 2016 et en mars 2021, le gouvernement fédéral du Canada a élargi la loi sur l’euthanasie en adoptant le projet de loi C-7.
L’homme auquel je fais référence était un militant pro-vie dans les années 1990.
Sa femme m’a dit qu’il était proche de la mort et qu’il était soigné dans un établissement catholique de soins palliatifs, mais qu’il avait demandé à mourir par injection létale et que sa demande avait été approuvée. Comme il était soigné dans un établissement catholique dont les médecins ne voulaient pas participer à l’acte, il était prévu de le transférer.
Après une longue conversation et, je l’espère, quelques conseils utiles pour éviter sa mort par homicide, cette situation m’a amené à réfléchir davantage à la nature de la personne humaine et à la façon dont la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté menace évidemment la vie de chacun
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