Les États-Unis ont décidé de conserver leurs bases militaires en Allemagne et Belgique.
L’armée américaine en Europe et en Afrique a déclaré vendredi qu’elle conserverait six sites qui devaient auparavant être renvoyés en Allemagne et en Belgique dans un contexte de demande croissante d’installations sur le continent, rajoutant : Un septième site, en Allemagne, sera transféré à l’armée de l’air, indique Military.com.
La fermeture des bases militaires avait initialement été annoncée en 2015 et, dans un cas, en 2010. Mais la décision a été réévaluée car la demande d’installations a dépassé la construction et la rénovation.
Les sites retenus en Allemagne sont les Barton Barracks, Ansbach ; la caserne Pulaski, Kaiserslautern ; Caserne Coleman, Mannheim ; l’entrepôt Weilimdorf, Stuttgart et le Centre Amelia Earhart, Wiesbaden.
En Belgique, l’armée des États-Unis reste à la caserne Daumerie.
La caserne Husterhoeh à Pirmasens, en Allemagne, sera remise aux forces aériennes américaines en Europe-Afrique.
Le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, a ordonné un examen de la « position mondiale » d’un mois, quelques jours seulement après son entrée en fonction en janvier. Cet examen n’est pas terminé et devrait être terminé à l’automne, informe Military.com
Les États-Unis ont clairement indiqué qu’ils considéraient la Chine – et non les groupes militants comme al-Qaida ou le groupe État islamique – comme le principal défi à la sécurité nationale. Et l’examen de la posture pourrait impliquer un mouvement supplémentaire de troupes et d’actifs américains vers la région du Pacifique.
Cependant, d’autres hauts commandants ont également affirmé qu’ils étaient confrontés à des défis similaires de la part de l’Iran, de la Chine et de la Russie sur leurs continents, y compris l’Europe et l’Afrique.
source : http://www.observateurcontinental.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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