De deux choses l’une : soit les soignants qui œuvrent sur le terrain mentent, soit la hiérarchie médicale ment. On aurait tendance à plus croire ceux qui sont en bas, les mains dans le cambouis, plutôt que les hiérarques qui pérorent dans les émissions de télé mainstream et qui tentent du matin au soir de refiler la trouille aux Français, une trouille qui permet d’abaisser l’immunité des plus fragiles et de les exposer à toutes les maladies qui traînent dans l’air. En gros, il y a ceux qui soignent, et ceux qui affaiblissent, ce n’est pas exactement la même engeance.
La France, après la fuite en Suisse dans les instances mondialistes de la très troublante Agnès Buzyn, c’est un petit ambitieux, sorti des écuries Bachelot pendant sa période H1N1 – le premier test mondialiste de fabrication médiatique d’une pandémie au profit des grands labos –, qui est devenu ministre de la Santé.
Mais comme nous sommes en 1984, ministre de la Santé veut plutôt dire ministre de la Santé du Big Pharma, ou ministre de la mauvaise Santé. L’homme énonce tout et son contraire selon les besoins du moment, à l’image de son modèle Emmanuel macron, le Petit Dictateur de l’Élysée, posé là par la puissance rothschildienne.
Et à propos des Fabius, cette famille de l’aristocratie socialiste (Jaurès fait 1200 tours/minute dans sa tombe), nous avons retrouvé cette archive d’un vieil imitateur, aujourd’hui disparu :
Olivier Véran se retrouve donc à transmettre aux Français les ordres des ordures mondialistes qui veulent piquer six ou sept milliards d’êtres humains, enfants et femmes compris, sans oublier les anciens qui risquent gros. Et aussi les gros, selon cet homme :
Imperturbable, Véran entretient la confusion dans la tête des Français déjà bien déboussolés par le déversement migratoire ininterrompu, les frappes terroristes opportunes et la crise économique qui n’en est pas une pour le CAC40 (record de bénéfices cette année pour ces amis de la Sociale)
En visite à l’hôpital d’Aix-en-Provence, l’employé du Big Pharma lance ses dernières salades :
Et pendant que des Français malades ou blessés qui n’ont pas été vaccinés se demandent comment ils vont être soignés, sans le passeport intérieur inventé par les ingénieurs sociaux du mondialisme, Véran, tranquille, contre toute évidence, ose :
Le ministre de la désinformation meurtrière nous chante le tube de l’été : « Si j’avais su ».
Pour inciter les 20 ou 30 millions de Français qui n’ont pas été vaccinés ou qui ont peur d’une deuxième, voire d’une troisième dose, celle qui enrichit les escrocs du Big Pharma liés à la finance internationale (ben ouais), qui peuvent ainsi s’acheter n’importe quel gouvernement, Véran farfouille dans sa boîte à éléments de langage et nous sort le plus fort d’entre eux : « tsunami » !
Pour nous, et pour des millions de Français encore lucides, le tsunami, il est déjà là, et il monte, vague après vague, samedi après samedi : ce sont les courageux défenseurs de la liberté, les manifestants contre le pass sanitaire et la vaccination rendue obligatoire par chantage, cette saloperie mondialiste qui ne tiendra pas devant le réel. Mais il faut tenir bon !
Le #PasseSanitaire obligatoire dès ce lundi. Relire #Macron (29 avril) : « Le passe sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres, cinémas »..
— Ivan Rioufol ن (@ivanrioufol) August 9, 2021
L’histoire retiendra les mensonges, le sadisme et la dangerosité de ceux qui sont aujourd’hui aux commandes. Le virus le plus mortel, ce n’est pas le corona, le delta ou le robusta (on propose ce nom pour le nouveau variant qui vient de Colombie), mais la rage des zombies mondialistes qui détruisent la santé des hommes pour remplir les poches des malfrats de la Banque.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation