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<figure id="thumbnail" style="display:none"><img src="https://i1.wp.com/xn--tl-bjab.fiatlux.tk/wp-content/uploads/sites/6/2021/08/passe-sanitaire-et-surveillance.jpg?fit=1280%2C720&ssl=1" style="display:none"></figure><div class="jetpack-video-wrapper"><iframe loading="lazy" title="Passe sanitaire et surveillance sociale - Sur les origines du Virus - Un autre regard sur Greenpeace" width="650" height="366" src="https://www.youtube.com/embed/r8OL9QFs5lQ?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></div>
En France, le passe sanitaire a été validé dans les grandes lignes par le conseil constitutionnel et entre en fonction aujourd’hui.
Les manifestations ont logiquement gagné en importance samedi dernier, malgré la saison estivale.
L’association médicale Médecins du monde a condamné fermement le passe sanitaire, jugeant qu’il s’agit d’une« obligation vaccinale déguisée ».
Selon elle, cette mesure est « discriminatoire » et s’y oppose, inquiète d’un risque de glissement vers certaines pratiques de techno-surveillance.
Aux Etats-Unis, la Maison Blanche avait clairement indiqué en avril que l’administration Biden n’exigerait pas que les Américains présentent une preuve de vaccination pour voyager ou assister à des événements.
Mais il semble plutôt que ce que l’administration Biden ne veut pas, c’est la responsabilité et le fardeau de la mise en œuvre d’une telle mesure à l’échelle nationale.
Ainsi, la Maison Blanche a annoncé qu’elle soutenait les nouvelles exigences de vaccination de la ville de New York.
La semaine dernière, le représentant américain Michael McCaul de la commission des affaires étrangères de la Chambre a publié un rapport mis à jour sur l’enquête républicaine sur les origines du COVID-19.
McCaul a déclaré qu’il était temps de rejeter complètement le marché humide comme source de la pandémie, comme le révèle leur nouveau rapport : « une prépondérance des preuves prouve que toutes les routes mènent à l’Institut de virologie de Wuhan ».
Le rapport a détaillé de nouvelles preuves soutenant la théorie des fuites de laboratoire.
En juillet 2019, un campus de l’institut de virologie a eu un projet inhabituel de refonte de son système de traitement des déchets.
Le 12 septembre, une base de données publique d’échantillons et de séquences virales du laboratoire a été mise hors ligne sans explication.
Même si le PCC a signalé le premier cas de COVID-19 en décembre 2019, le patient zéro a probablement été infecté entre septembre et octobre.
Pendant cette période, 5 des 6 hôpitaux adjacents au laboratoire ont connu le taux d’occupation des parkings le plus élevé sur une période de deux ans, ce qui suggère une augmentation significative des malades.
Pourtant, le régime a fait tout ce qu’il a pu pour dissimuler l’épidémie.
Le 4 août, l’administration a approuvé sa première vente d’armes de 750 millions de dollars à Taïwan, une décision qui ne manquera pas de provoquer la colère de la Chine.
Des policiers infiltrés en Floride ont arrêté 17 prédateurs d’enfants la semaine dernière.
Une opération d’infiltration de six jours, baptisée "Opération Child Protector" s’est déroulée du 27 juillet au 1er août.
Concernant la fraude électorale aux Etats-Unis, Ron Watkins, également connu sous le nom de CodeMonkeyZ sur Internet, a publié plusieurs documents qu’il a obtenues le 3 août d’un employé présumé de Dominion Voting Systems.
Les documents montrent que les machines Dominion ont des connexions réseau et que la société peut avoir un accès à distance à son équipement.
Patrick Moore n’avait que 24 ans lorsqu’il a cofondé Greenpeace au début des années 1970.
« Cela a commencé en 1971 avec le premier voyage que nous avons fait pour arrêter les essais de bombes à hydrogène en Alaska », a déclaré Patrick Moore.
Greenpeace a ensuite lancé la campagne « Sauvez les baleines » en 1975, suivie d’une campagne visant à mettre fin à la chasse des bébés phoques pour leur fourrure en 1976, et, plus tard au cours de la même décennie, d’une campagne visant à mettre fin aux déversements de produits toxiques dans les rivières par les usines en Europe.
Mais au fur et à mesure que Greenpeace gagnait en influence, M. Moore dit qu’il commençait à voir l’organisation être détournée, par ce qu’il caractérise comme des personnes ayant une idéologie politique de gauche.
« Initialement, aucun des membres du groupe n’était là pour gagner de l’argent. Nous étions tous bénévoles », dit-il.
« Mais les ultra-gauchistes ont pris le contrôle de mon organisation lorsqu’ils ont réalisé qu’il y avait beaucoup d’argent et de pouvoir à en tirer. »
« Assez rapidement, c’est devenu une entreprise où la collecte de fonds a commencé à devenir de plus en plus importante. »
Selon M. Moore, c’est là qu’ont commencé les histoires alarmistes de catastrophes et de malheurs imminents.
« Cela commence avec les politiciens et leurs bureaucrates qui financent les scientifiques en qui on peut avoir confiance pour leur donner une bonne histoire d’épouvante. »
En ce qui concerne le changement climatique, le récit continu du dioxyde de carbone comme étant une « mauvaise chose » et « détruisant le monde » est contraire à ce que la communauté scientifique a trouvé, dit M. Moore.
M. Moore est actuellement directeur de la Coalition CO2, créée en 2015 pour créer du matériel éducatif sur l’importance du dioxyde de carbone.
Source : Lire l'article complet par Carrefours du monde
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