Alexandre et le complotisme décomplexé : scénario pour une apocalypse et une extermination maîtrisées

Alexandre et le complotisme décomplexé : scénario pour une apocalypse et une extermination maîtrisées

Le pass sanitaire est destiné à détruire l’économie, pas à la relancer.

Nous allons explorer un scénario de pure spéculation. Comme qui dirait, on est dans le complotisme décomplexé.

Il me paraît important d’insister sur le fait qu’il s’agit ici d’un scénario de science-fiction, comme Soleil Vert ou Children of Men, et pas de notre futur. Pas la peine de paniquer.

L’hypothèse de départ est que les vaccins anti-Covid et les mesures prises pour les imposer et les disséminer n’ont de sens que dans un contexte d’effondrement. Ces mesures ont alors une fonction de démolition contrôlée de l’économie, de la société voire de la population.

Le scénario conspirationniste du type « Children of Men » (les vaccins stérilisent la population) est sans doute trop lent pour réduire rapidement la population. Comme dans le film, il amènerait toutefois une déstabilisation forte des sociétés, ce qui est intéressant, mais il resterait encore trop de monde opérationnel, très motivé, non seulement pour freiner l’effondrement mais surtout pour empêcher la mise en place d’un nouvel ordre techno-féodal.

Le scénario « Age of Cancer » (comme « Age of Aquarius », c’est un truc à moi, je viens de l’inventer) permettrait de précipiter les choses dans le sens voulu : une chute brutale de la population, une désorganisation fatale de la société, l’établissement d’une nouvelle société plus primitive.

La modélisation d’un tel scénario ressemblerait beaucoup à des modélisations plus anciennes, celles liées à la guerre nucléaire, où là aussi il y aurait eu une large proportion de personnes mourant du cancer (radiations, radioactivité) en même temps.

Il existe déjà une liste considérable de troubles médicaux associés aux vaccins (etouffoir.blogspot.com/2021/08/l-hecatombe-post-vaccinale-dans-lue-au) mais, bien qu’ils « pourrissent la vie » de beaucoup de monde, ne sont pas rapidement léthaux et se déclarent rapidement. Le cancer, lui, peut mettre du temps avant qu’il ne devienne détectable, et il peut parfois être foudroyant (quelques mois à vivre entre sa détection et le trépas).

1- Correspondance avec la situation actuelle

Un tel scénario impliquerait que les symptômes apparaissent de manière relativement groupée. On comprend alors pourquoi les autorités insisteraient sur une vaccination aussi complète que possible dans un temps restreint, quitte à agir avec brutalité, avant que l’accumulation des symptômes parmi les premiers vaccinés ne devienne impossible à cacher.

Cette accumulation pourrait apparaître aux professionnels de la santé, ainsi bien sûr qu’aux victimes, mais la communication de ces informations resterait étouffée aussi longtemps que possible, tout en maintenant un trouble sur les « rumeurs » par exemple par l’utilisation de faux « lanceurs d’alerte » peu crédibles, ainsi bien sûr que par diverses pressions et chantages.

Ce sont des manœuvres dilatoires mais elles permettent d’inoculer autant de personnes que possible avant que, finalement, la rumeur devienne évidente et fasse alors boule de neige, à une vitesse quasi immédiate par le truchement de la technologie de communication.

2- Aspects sanitaires à court terme

Dès lors que l’on se rendrait compte de la situation, plusieurs phénomènes se déclencheraient simultanément.

Sur le plan médical, même s’il n’y avait pas eu une telle réduction de moyens médicaux au fil du temps (qui correspond bien aux besoins du scénario), une irruption soudaine de millions de cas de cancers engorgerait immédiatement toutes les capacités de détection, créant une panique à l’échelle de la moitié du pays (ou plus encore, selon la réussite du plan vaccinal).

On verrait alors des réflexions intéressantes naître dans la population, à propos de qui devrait être prioritaire, qui aurait une espérance de vie résiduelle… Tout cela, bien sûr, entre vaccinés, tout d’un coup plus si privilégiés que ça. Face à cette nouvelle urgence, la crise du Covid disparaîtrait aussitôt.

L’engorgement passerait naturellement de la détection au traitement. Il y aurait sans doute pas mal de monde pour acheter les traitements de Big Pharma, même « expérimentaux », car le désespoir supplanterait la mémoire chez beaucoup.

On peut bien sûr s’attendre que les autorités tapent du poing sur la table et qu’un dirigeant de Big Pharma genre « Richard Johnson » soit remplacé par un « John Richardson » pour repartir sur de bases saines, tant qu’il existe des capacités et des employés. Il n’est pas dit que Big Pharma ne serait pas nationalisé dans ce processus, mais sur le front médical cela ne ferait plus de différence.

3 – Un effondrement sélectif

Imaginons, dans ce scénario de science-fiction, qu’une personne inoculée avec ce produit cancérigène meure douze mois plus tard. Selon les pays, ce serait entre 60% et 80% de la population qui disparaîtrait en 2022 en l’espace de quelques mois, après une maladie qui les rendrait rapidement non opérationnels.

Si l’on s’intéresse un peu plus au profil des vaccinés, il y a :

a- les personnes vulnérables, les personnes âgées

b- les personnes crédules mais aussi

c- les personnes disciplinées, habituées à travailler dans des structures complexes

d- beaucoup de personnes que l’on a forcées à accepter l’inoculation par divers chantages et harcèlements, autrement dit des personnes qui n’avaient pas une forme de « souveraineté économique » leur permettant de s’affranchir de ces contraintes.

D’un point de vue post-effondrement, les catégories a et b sont les victimes classiques, la catégorie c n’est plus nécessaire car il n’existera plus de grandes structures complexes (entreprises, administrations, flux d’approvisionnements etc.), et la catégorie d n’est pas désirable au sens où elle n’a rien à apporter avec elle du « monde d’avant » (elle a montré « qu’elle n’était pas à la hauteur », n’oublions pas que derrière la planification de génocides il y a aussi une certaine vision des choses)

La superposition de la carte de la vaccination dans la région parisienne et de la carte du revenu montre que ceux qui survivraient à l’inoculation seraient les populations pauvres ou méfiantes envers le pouvoir comme la Seine Saint-Denis, qui sans les structures complexes de l’État-Providence auraient bien du mal à survivre et à commercer avec les campagnes, sources de nourriture. Ce sont des populations que l’on s’imagine multiplicatrices de chaos, car déracinées des modèles culturels résilients, comme tous les urbains d’ailleurs.

Sans doute restera-t-il une grande proportion d’enfants, encore peu inoculés malgré les grands efforts des autorités et des différents ministres de l’Éducation, ce qui se rapproche beaucoup de la situation présentée dans la série « Jeremiah » (2002-2004) librement inspirée de la BD belge du même nom (une catastrophe tue les adultes et épargne les enfants, qui doivent s’organiser dans un monde post-apocalyptique). Ces enfants peuvent parfaitement représenter un « monde d’après » puisqu’ils ont bien moins de références culturelles, techniques et politiques, sont déjà largement illettrés et seraient de surcroît traumatisés par les événements.

Bien sûr chacun peut s’imaginer sa propre situation selon ce qu’il sait de l’inoculation autour de lui et dans sa famille. Cet exercice d’imagination, de science-fiction doit toutefois nous faire réfléchir aux questions de prudence et de protocole médical lorsqu’il s’agit d’expérimentations médicales à grande échelle.


envoyé par Nicolas Bonnal
Adblock test (Why?)

Alexandre et le complotisme décomplexé : scénario pour une apocalypse et une extermination maîtrisées

Source : Lire l'article complet par Réseau International

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You