Après que le CDC ait dû reconnaitre le fait que le vaccin n’empêche pas la transmission, « La guerre a changé » : de nouvelles données sur le variant Delta poussent les scientifiques américains à modifier leur stratégie : Les personnes vaccinées peuvent autant transmettre le virus que les personnes non-vaccinées, expose cette nouvelle étude », le mythe du vaccin solidaire « pour protéger les autres » et de l’immunité de groupe vaccinale s’effondre. Déjà en mars, un article publié dans Nature nous expliquait que l’éradication du virus par le vaccin était sans-doute impossible : « Five reasons why COVID herd immunity is probably impossible », une des raisons est que l’on craignait que les vaccins n’empêchent pas la transmission.
Le mythe de l’immunité vaccinale, meilleure que l’immunité naturelle s’est également effondré
« L’infection par le SRAS-CoV-2 produit des réponses des cellules B qui continuent d’évoluer pendant au moins un an. Au cours de cette période, les cellules B mémoires expriment des anticorps de plus en plus larges et puissants qui sont résistants aux mutations trouvées dans les variantes préoccupantes. Nous examinons ici l’évolution des lymphocytes B mémoire 5 mois après la vaccination avec les vaccins Moderna (mRNA-1273) ou Pfizer-BioNTech (BNT162b2) à ARNm dans une cohorte de personnes naïves du SRAS-CoV-2. Entre la phase d’amorçage et la phase de rappel, les cellules B à mémoire produisent des anticorps qui développent une activité neutralisante accrue, mais il n’y a plus d’augmentation de la puissance ou de la portée par la suite. Au contraire, les cellules B à mémoire qui émergent 5 mois après la vaccination d’individus naïfs expriment des anticorps qui sont équivalents à ceux qui dominent la réponse initiale. Nous concluons que les anticorps mémoire sélectionnés au fil du temps par l’infection naturelle sont plus puissants et plus étendus que les anticorps induits par la vaccination. Ces résultats suggèrent que le renforcement des individus vaccinés avec des vaccins ARNm actuellement disponibles produirait une augmentation quantitative de l’activité neutralisante plasmatique mais pas l’avantage qualitatif contre les variantes obtenu en vaccinant des individus convalescents ».
Il y a maintenant de nombreuses publications scientifiques qui montrent que l’immunité naturelle fonctionne au moins 17 mois (and counting), et devrait être plus résistante aux variants que celle du vaccin, car polyclonale sur tout le virus et non monoclonale et uniquement sur la protéine S hautement mutable du Virus dans le cas du vaccin… ce que l’on observe d’ailleurs maintenant avec le variant delta. L’immunité acquise par une infection naturelle protège, elle, de la transmission car, en plus des Ig-G, elle produirait aussi des Ig-A dans les muqueuses nasales, ce que ne font pas les vaccins.
- « SARS-CoV-2 infection induces long-lived bone marrow plasma cells in humans » : nature.com/articles
- « Had COVID ? You’ll probably make antibodies for a lifetime »: nature.com/d41586-021-01442-9
- « Quit Ignoring Natural COVID Immunity » : medpagetoday.com/covid19
- « SARS-CoV-2 infections may trigger antibody responses against multiple virus proteins ! I.e. vaccines, therapeutics, and diagnostics should not be limited to spike protein ; natural immunity appears broader than vaccine induced ! » : journals.plos.org/journal.pbio.3001265
Le mythe de l’efficacité se fissure également
L’efficacité du vaccin sur le variant delta a été revue à la baisse à 39% en Israël. Les données récentes du Ministère de la Santé israélien semblent donner une efficacité même moindre :
Ce phénomène s’observe également dans d’autres pays comme l’Angleterre, bien que pour le moment la mortalité et les décès du variant delta restent globalement faibles, ce qui pourrait être le signe d’un variant plus contagieux mais moins dangereux, mais pourrait aussi être lié à un effet de saisonnalité, comme observé durant l’été 2020. Rappelons que l’un des risques des vaccins contre les coronavirus pourraient être d’aggraver la maladie par un renforcement dépendant des anticorps ou effet ADE (Antibody Dependent Enhancement), dû à des anticorps peu neutralisants, spécialement sur des infections ultérieures et des nouveaux variants. Cet effet ADE n’est spécifique que pour certains virus comme celui de la Dingue, Ebola, le HIV, RSV et justement la famille des coronavirus. Il faudra sans doute attendre l’automne pour y voir plus clair.
Rappelons encore, que de nombreuses zones d’ombres et inconnues existent sur la sûreté et les effets à long terme de ces vaccins. À court terme, une mortalité inédite et de nombreux effets secondaires ont été reportés sur les bases de données de pharmacovigilences (par ex : myocardites, thromboses, embolies pulmonaires, cécités, chocs anaphylactiques, paralysies faciales, zona, qui est typiquement lié à une immuno-suppression, un risque potentiel avec les vaccins, qui peut être passager, ce qu’on espère, c’est d’ailleurs une raison pour laquelle on ne vaccine normalement pas durant une épidémie… Une immuno-suppression pourrait expliquer pourquoi, à court terme en tout cas, les statistiques des hospitalisations et de décès semblent avoir augmenté dans de nombreux pays après le début des campagnes de vaccinations massives). Certains de ces effets, comme les thromboses par exemple, pourraient être liés à la protéine de spike. Contrairement à ce que l’on croyait initialement, cette protéine, que le corps fabrique en très grande quantité pendant environ deux semaines après chaque injection, n’est pas inoffensive, et est, sans doute, la partie la plus toxique et dangereuse du virus. Elle pourrait bien être la cause de dommages endovasculaires :
Des études semblent montrer d’ailleurs que, contrairement aux croyances initiales, la protéine de Spike ne resterait pas localement au point d’injection mais circulerait bien dans le sang :
La proteine de Spike du vaccin circulant dans le sang pourrait également créer des micro-caillots dans les capillaires sanguins (non détectables au scanner mais apparents avec un test D-dimère) et créer des dommages dans les poumons, le cœur et le cerveau. Ceci entraînerait, entre autre, une perte de performance physique permanente et à plus long terme des problèmes cardiaques… C’est effet pourrait être fréquent d’après le Dr. Charles Hoffe.
Finalement le mythe de l’utilité des mesures comme le confinement et le port du masque généralisé pour enrayer l’épidémie est mis à mal :
– Par la Suède qui n’a pas connu de 3ème vague, ni de décès et aurait déjà atteint l’immunité de groupe car 50 à 60% de la population serait naturellement immunisée, sans doute par immunité croisée avec d’autres Coronavirus ou, simplement, par une immunité innée forte (la notion du terrain vs. virus, que l’on peut renforcer par une bonne hygiène de vie, des vitamines et des minéraux…) ; cette immunité initiale aurait été complétée par une immunité acquise naturelle spécifique d’environ 10% par vague épidémique :
- « Estimating the herd immunity threshold by accounting for the hidden asymptomatics using a COVID-19 specific model » : journals.plos.org/plosone
– Par le manque de corrélation positive observé dans la vie réelle du confinement sur la diminution des hospitalisations et des décès par des études scientifiques de plus en plus nombreuses (aier.org/lockdowns-do-not-control-the-coronavirus-the-evidence) et également en Amérique où des États totalement ouverts et sans aucune restriction, comme au Texas, ont vu leurs cas et leurs décès chuter de façon spectaculaire au cours de la même période :
– En Angleterre, où depuis Freedom day, les contaminations baissent : Alors que l’Angleterre a levé ses dernières mesures de restriction sanitaire, laissant craindre une flambée épidémique, c’est tout le contraire qui s’est passé avec la chute brutale des contaminations. Ce phénomène que l’on observe dans d’autres pays laisse les scientifiques incrédules et Neil Fergusson semble en perdre son latin : « Nous nous orientons inévitablement vers les 100 000 cas par jour », affirmait le 18 juillet dernier le célèbre épidémiologiste Neil Ferguson à la BBC. Le ministre de la Santé Sajid Javid expliquait lui aussi que les dernières levées des restrictions sanitaires (Freedom Day) allaient entraîner une flambée des infections. Le pays connaissait alors une flambée endémique fulgurante, avec un nombre de cas quotidiens multiplié par cinq en un mois. Pourtant, 12 jours après le pic de 54 183 contaminations constaté le 17 juillet, le nombre de cas positifs est retombé comme un soufflé à 27 734 cas le 28 juillet. Une chute aussi brutale que l’ascension foudroyante de cette quatrième vague, et ce en plein relâchement des mesures sanitaires et notamment la fin du port obligatoire du masque en intérieur.
source : https://auxamescitoyennes.com
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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