Alors que le gouvernement français rêve d’imposer la vaccination dès 12 ans sans se soucier de la balance bénéfice/risque pour les populations, les médecins de plateau ont réussi l’exploit de faire croire aux parents qu’une myocardite est équivalent à une petite fièvre.
Les mêmes qui, souvenez-vous, au printemps 2020 ont fait paniquer tous les parents de France avec les quelques cas de syndrome inflammatoire (PIM’S), apparenté à la maladie de « Kawasaki », et provoqués par le SARS-CoV-2 chez certains enfants.
Les médias et les khmers blancs ont fait les gros titres pour empêcher la réouverture des écoles, pointant les rares cas de myocardites provoquées par le virus et en insistant, à juste titre, sur la dangerosité des myocardites pour les enfants, sans toutefois préciser que ce syndrome ne touchait qu’une très faible proportion d’enfants avec de lourdes comorbidités, et souvent d’origines asiatique ou africaine.
Les mêmes aujourd’hui poussent à la vaccination de masse sur des enfants et des ados en bonne santé qui ne risquent rien de virus, et nous expliquent à présent sans aucune honte que les myocardites sont bénignes, légères et qu’il est très facile de soigner les enfants qui en développeraient après le vaccin.
À les entendre, les myocardites provoquées par les vaccins sont plus acceptables que celles provoquées par le virus ?!
Et comme si cela n’était pas suffisant, les vaccins provoquent aussi des péricardites.
Mais pourquoi soumettre les enfants et les ados en bonne santé à un tel risque, jusqu’à s’apprêter à les priver (ou plutôt « évincer ») de scolarité s’ils ne se soumettent pas à ce vaccin ?
Et là on ne parle pas de quelques cas mais de milliers d’enfants.
Une myocardite n’est pas légère, elle laisse des cicatrices sur le muscle cardiaque et détruit des cellules cardiaques qui ne se régénèrent jamais. C’est la garantie de problèmes cardiaques chroniques sur le long terme sans compter d’autres effets secondaires à long terme non encore connus.
Qu’est-ce qu’une myocardite ?
Il s’agit d’une inflammation du muscle cardiaque (Ref. 1, 2). Cette inflammation grossit et affaiblit le cœur, crée des tissus cicatriciels et l’oblige à pomper plus fort pour faire circuler le sang et l’oxygène dans tout le corps. Cela mène à une arythmie (rythme anormal du cœur) et peut aussi conduire à la formation de caillots dans le cœur suivi d’AVC et arrêt cardiaque.
Cette condition peut toucher les jeunes jusqu’aux nourrissons. Le plus souvent la population la plus à risque va de la puberté au début de la trentaine, affectant les hommes deux fois plus que les femmes. La myocardite est la 3ème cause de mort subite chez les enfants/ados et les jeunes adultes.
Les myocardites peuvent être traitées mais une partie des patients gardent des problèmes cardiaques à vie avec des traitements et parfois la nécessité de transplantation cardiaque. Souvent les efforts sportifs de compétition ou exercices rigoureux sont proscrits.
Aux États-Unis, ces transplantations liées aux myocardites correspondent à 45% des transplantations. Le risque de mort ou de besoin de transplantation cardiaque persiste jusqu’à 12 ans après une myocardite chez les enfants/ados ! Bon courage pour aller prouver la causalité avec le vaccin aussi longtemps après.
Donc non, ce n’est pas sans conséquences potentiellement graves contrairement au narratif porté par les des politiques et des ayatollahs du vaccin.
Ref.1 : myocarditisfoundation.org/about-myocarditis
Ref.2 : mayoclinic.org/myocarditis
Qu’est-ce qu’une péricardite ?
Il s’agit d’une inflammation du sac cardiaque (tissu mince entourant le cœur) qui peut conduire à une condition grave s’appelant la tamponnade cardiaque (constriction aiguë du cœur) = épanchement de liquide (souvent du sang) sous pression entre les deux feuillets du péricarde. Ceci conduit à une chute de la pression artérielle qui peut être fatale. (Ref. 3, 4)
Ref. 3 : myocarditisfoundation.org/pericarditis
Ref. 4 : mayoclinic.org/pericarditis
Comparaison myocardites post COVID19 vs. Post vaccination
Le narratif dominant vous dit que les enfants/ados risquent plus de faire une myocardite en attrapant le SARS-CoV-2 qu’avec le vaccin. Encore une fausse assertion (Ref. 6) !
- Les myocardites post infection au SARS-CoV-2, sont extrêmement rares ne concernent quasiment que les ados et les jeunes adultes ayant des comorbidités telles que diabètes, obésité et problème cardiovasculaires.
- Les myocardites post vaccination touchent des ados et des jeunes en pleine santé et sans aucune comorbidité avec une incidence de 1/3000 à 1/6000 selon l’âge, ce qui est ÉNORME !
Les deux groupes ont donc des risques différents vis-à-vis du vaccin et le calcul du bénéfice/risque doit être analysé en tenant compte de ces deux différences fondamentales. C’est ce qu’ont fait les comités en charge de la vaccination en Allemagne, en UK ou encore en Suède qui n’ont recommandé le vaccin qu’aux seuls ados à risques. Aucune vaccination en-dessous de 18 ans sur les ados ne présentant aucune comorbidité.
Il est donc non éthique de vouloir imposer la vaccination aux ados et jeunes adultes sans comorbidité et non à risque face au SARS-CoV-2, pour un hypothétique bénéfice pour la société car le risque pour eux de développer une myocardite/péricardite est bien supérieur au bénéfice attendu du vaccin (nul).
De plus, beaucoup sont déjà immunisés mais cette obsession de la vaccination nie le principe même d’immunité naturelle bien plus robuste que l’immunité vaccinale.
Il n’est donc pas concevable de mettre la santé des ados et des jeunes en danger alors qu’ils ne tirent aucun bénéfice de la vaccination. Ce qui serait un vrai bénéfice pour la société c’est que les jeunes et les ados rencontrent le virus et s’immunisent naturellement.
Ref. 6 : sanjayverma-66740.medium.com/myocarditis-after-vaccination-against-covid
Dans le BMJ du 13 Juillet 2021 (Ref. 7), Peter Doshi explique aussi les raisons pour lesquelles le risque de vacciner les enfants pour protéger les adultes est bien supérieur au risque qu’ils encourent face au virus sans mentionner les considérations éthiques !
Mécanismes responsables des myocardites post vaccination
Le mécanisme inflammatoire responsable des myocardites est dû à la Spike produite post injection et est décrit en détail ci-dessous :
Protéine Spike et Myocardites – Explications
Des chercheurs du « Masonic Medical Reasearch Institute » NY et du « Boston Children’s Hospital » ont essayé de comprendre comment la protéine spike pouvait endommager le cœur (Ref. 8, 9).
Ref. 8 : biorxiv.org/2021.06.20.448993v1
Ref. 9 : biorxiv.org/2021.06.20.448993v1
Observations : les malades graves du Covid19 ont souvent des dommages cardiaques conduisant à une plus forte mortalité.
Hypothèse : le SARS-CoV-2 abîme le cœur en activant une réponse immunitaire au niveau des cardiomyocytes (cellules du muscle cardiaque) Þ myocardites.
Expérience : ils ont étudié l’effet de la protéine spike du SARS-CoV-2 sur le cœur de souris. Ils ont pour cela infecté le cœur d’un groupe de souris avec la spike du SARS-CoV-2. Pour le groupe contrôle, ils ont fait la même chose mais ils ont utilisé un autre coronavirus humain (HCoV-NL63) qui utilise aussi le récepteur ACE2 pour rentrer dans les cellules mais qui ne cause que des symptômes respiratoires modérés.
Résultats : la protéine Spike du SARS-CoV-2 en infectant les cardiomyocytes (principales cellules cardiaques), non seulement :
- perturbe les fonctions de l’endothélium (tissus tapissant l’intérieur des vaisseaux, artères, veines)
- mais interagit aussi avec le récepteur TLR4 qui est crucial pour reconnaître les pathogènes qui arrivent au niveau du cœur.
Le rôle de TLR4 est de sonner l’alarme afin de déclencher une réponse immunitaire, via l’activation de NF-kB qui contrôle entre autres la production de cytokines, au niveau du cœur pour le protéger.
Ce mécanisme de défense inné est exacerbé par la toxicité de la protéine Spike ce qui conduit à une cascade d’inflammations agressives au niveau du muscle cardiaque provoquant ainsi les myocardites.
Ces phénomènes d’orage cytokinique et d’inflammation cardiaque n’ont pas été observés dans le groupe control infecté par le coronavirus HCo-NL63 ! Ce coronavirus naturel ne perturbe pas l’endothélium et n’infecte pas les cellules cardiaques alors qu’il utilise aussi le récepteur ACE2 pour entrer dans les cellules.
C’est donc bien la protéine Spike en circulation dans le sang qui est responsable des inflammations cardiaques (myocardites) par action sur les cardiomyocytes provoquant un orage cytokinique au niveau du cœur. Cela se manifeste aussi par une dilatation des cellules cardiaques conduisant à un remodelage hypertrophique cœur ! La protéine Spike peut aussi endommager directement le cœur par action sur les recteurs ACE2 qui provoque des micro-thromboses veineuses.
Dilatation des cellules cardiaques/cardiomyocytes :
Remodelage hypertrophique du cœur : à gauche – cœur normal ; à droite cœur gonflé suite à l’effet agressif de la Spike
L’hypertrophie du cœur est permanente = la forme du cœur change et ses cellules ne dégonflent pas pour revenir à leur état « normal » ! Ce sont des dommages cardiaques permanents avec des risques pouvant aller de la mort en passant par la nécessité de greffe ou à long terme des complications cardiaques chroniques. Il n’y a rien de bénin ou de « soignable » après une myocardite. On ne fait que cacher les dommages comme mettre du vernis sur des ongles sales.
C’est ce phénomène qui se passe dans le corps des jeunes et ados suite à la vaccination et qui conduit aux myocardites qui peuvent être fatales alors que les agences corrompues (FDA, CDC, EMA, ansm, HAS, Académie de médecine etc..), les MMS et les ayatollahs du vaccin cathodiques continuent de faire croire que les myocardites sont bénignes et se soignent ! Et ils envisagent même de commencer à vacciner dès la naissance.
L’injection vaccinale introduit des trillions de copies d’ARNm dans le corps qui vont produire autant de protéine spike. Une étude a montré récemment que la spike protéine circulent pendant au moins 15 jours post vaccination et jusqu’à 1 mois chez certains vaccinés (Ref. 10).
Ref. 10 : t.co/FBZlFehclP?amp=1
Le Dr Bridle a également appelé à l’arrêt des vaccinations à cause de la toxicité de la protéine spike vaccinale et sa large bio-distribution dans tous les organes importants (Ref. 11) :
Ref. 11 : francesoir.fr/nous-avons-fait-une-erreur-la-proteine-spike-est-elle-meme-toxique-et-dangereuse-pour
Ces études sur les animaux auraient dû être effectuées avant toute injection à l’homme et sur la base de ces données, ces vaccins n’auraient jamais dû être injectés à l’homme. Avec la complicité de la FDA et de l’EMA, Pfizer et Moderna n’ont jamais fait les essais précliniques sur animaux qu’ils auraient dû faire.
Ceux qui ont fabriqué ce virus savaient exactement ce qu’ils faisaient. Pfizer, Moderna & Co savent exactement ce qui est en train de se passer mais gardent le silence pour protéger leurs profits le plus longtemps possible.
Tout ceci pourrait s’arrêter demain si tous les personnels soignants, les pompiers qui sont en première ligne pour voir les effets secondaires dévastateurs de ces produits sur les gens et les jeunes se mettaient enfin à parler. C’est leur devoir de parler pour que toutes cette folie cesse. Sinon, ils seront complices.
Prévalence myocardites post vaccination chez les ados – Analyse du « bénéfice/risque » pour les 12-24 ans
Comme nous n’avons pas de données consolidées en France, regardons ce qui se passe ailleurs.
Israël : Le ministère de la santé Israélien déclarait début juin que l’incidence chez les moins de 30 ans était de 1 cas sur 3 000 à 1 cas sur 6 000 suivant l’âge avec 2 morts post myocardite vaccinale (Ref. 12). Bizarrement aujourd’hui qu’ils vaccinent en masse les enfants de 12-15 ans, ils n’en parlent simplement plus.
Le taux d’incidence doit être encore plus dramatique.
États-Unis : Alors que les premiers signaux de myocardites avaient été rapportés dès le début de la vaccination chez les jeunes de plus de 16 ans début 2021, la FDA sous la pression du Dr Fauci et du CDC, a quand même étendu l’AMM conditionnelle pour les 12-15 ans le 10 mai 2021.
Le CDC américain, dans sa folie vaccinale, minimise ou simplement ignore l’explosion des effets secondaires graves et des morts post vaccinaux tous âges confondus. Ils ont mis des mois avant de reconnaître le problème de myocardites chez les jeunes car ils ne peuvent concevoir l’idée qu’une partie de la population puisse échapper à ce vaccin. Et malgré ce danger pour les jeunes, le CDC maintient sa recommandation de vacciner tout le monde dès 12 ans et demain dès la naissance quand Pfizer en aura décidé.
Au 23 juin 2021, le CDC dénombrait déjà 323 cas de myocardites liées aux vaccins chez les moins de 19 ans dont 96% hospitalisés. 148 cas étaient en cours d’investigation. Notons que les déclarations se font de manière passive via le système VAERS connu pour ne représenter qu’environ 1% des cas.
Tout comme en France, les professionnels de santé sont encouragés par le CDC et le gouvernement à tout faire pour ne pas lier les myocardites et autres effets secondaires aux vaccins. Avec ce jeu de sous-déclarations, de données tronquées et en utilisant au dénominateur les données de vaccination des 16-24 ans ayant débuté en janvier 2021 bien avant la vaccination de 12-15 ans, le CDC annonce un taux d’incidence de myocardites de 1/15000 voire 1/20000 chez les 12-24 ans.
Donc avec ce taux d’incidence sous-évalué et en ne faisant pas la distinction entre jeunes/ados à risques d’être hospitalisés à la suite d’une infection SARS-COV-2 (bcp sont obèses, diabétiques etc..) et ceux non à risques, le CDC a fait une comparaison fallacieuse entre le nombre de myocardites post vaccin et les hospitalisations « potentiellement » évitées. Effectivement dans ces conditions le bénéfice semble être supérieur au risque (Ref. 13).
En corrigeant tous ces paramètres frauduleux avec les données consolidées, le résultat est tout autre. Des scientifiques ont stratifié les hospitalisations par âge pour les ados/jeunes sans comorbidités et en prenant le taux d’incidence observé en Israël, plus proche de la réalité. Le graph change considérablement ! Pour les moins de 25 ans sans comorbidités, le risque de faire une myocardite potentiellement mortelle est bien plus important que le risque d’hospitalisation après infection au Sars-COV-2. Le rapport bénéfice risque est surtout défavorable pour les 12-17 ans. Il ne faut pas les vacciner !!!
Rappelons que 96% de myocardites enregistrées aux US ont conduit à une hospitalisation. Si c’est cela la définition de légère, nous n’avons pas la même définition…
Ref. 13 : medium.com/weighing-myocarditis-cases-acip-failed-to-balance-the-harms-vs-benefits-of-2nd-doses
Les fortes reprises épidémiques à Gibraltar, en Islande ou encore en Israël, pays fortement vaccinés avec Pfizer, prouvent que les vaccins ne protègent pas du tout de l’infection.
En outre, les dernières études présentées par le CDC américain et le Dr Fauci le 29 juillet 2021 (Ref. 14) prouvent sans ambiguïté que les vaccinés infectés ont la même charge virale que les non vaccinés.
Un mensonge de plus de l’Institut Pasteur qui se basant sur des modélisations fallacieuses a fait croire aux Français que les vaccinés infectés avaient 12 fois moins de chance de contaminer les autres que les non vaccinés infectés.
C’est l’argument unique qu’Emmanuel Macron a utilisé dans son discours autoritaire du 12 juillet 2021 pour justifier l’imposition du pass sanitaire et de la vaccination obligatoire pour beaucoup de nos concitoyens.
Le Conseil d’État a également validé la loi liberticide que nos politiques ont votée en quelques jours sur la base de ce mensonge !
Aujourd’hui que les données de transmission sont claires, cette nouvelle donne rend complètement caduc tout argument « altruiste » voulant que les personnes non à risques se vaccinent pour protéger les « autres vaccinés ». C’était le seul et unique argument qui leur restait pour justifier d’une vaccination obligatoire pour tous.
À la lumière de ces dernières données, il est d’autant plus inacceptable de faire prendre un quelconque risque aux jeunes et aux ados.
Ref. 14 : lefigaro.fr/la-guerre-a-change-des-documents-americains-sonnent-l-alarme-face-au-variant-delta
Les gouvernements des pays de l’OCDE qui se sont lancés dans des politiques liberticides pour imposer de manière autoritaire la vaccination de masse à leur population doivent stopper cette course folle.
Ils sont sourds à tout raisonnement ou à toute preuve scientifique qui pourraient faire dérailler leur narratif pro-vaccination. Les effets secondaires explosent, les morts ont atteint des chiffres jamais atteints pour d’autres vaccins mais on continue (Ref. 15).
Ref. 15 : francesoir.fr/laurent-mucchielli-alerte
Ils ont réussi l’exploit de faire croire aux gens qu’on leur injecte de l’eau sucrée. Même le très sérieux Wall Street Journal (Ref. 16), qu’on ne peut taxer de complotiste, soulevait en juin dernier la question des effets secondaires graves et du silence assourdissant des gouvernements et des médias dominants.
Ref. 16 : wsj.com/are-covid-vaccines-riskier-than-advertised
Ils oublient tous que le taux de survie pour cette maladie est de plus de 99.9%, et qu’elle ne concerne qu’une proportion de la population bien définie aujourd’hui. Au lieu de s’en occuper et de la protéger ils utilisent le prétexte de cette pandémie pour installer un système de surveillance généralisé qui nécessite que tout le monde soit vacciné, QR-codisé, passe sanitarisé.
Aucun bras ne doit manquer à l’appel quitte à mentir et dévoyer la science pour y arriver.
Les vies de nos enfants, de nos ados, de nos jeunes ne comptent pas pour eux. Ce ne sont que des pixels dans leur tableau de vaccination. Nous devons donc nous battre pour les protéger, pour empêcher cette ignominie jamais vue dans l’histoire de l’humanité qui voudrait sacrifier les plus jeunes non à risques pour un dieu nommé Pfizer.
Les myocardites sont un effet secondaire grave avec un taux d’incidence élevé. Personne ne peut imposer un tel risque à une population qui n’a aucun bénéfice à se faire vacciner. Personne ne peut faire de chantage pour les pousser à se vacciner.
source : https://www.francesoir.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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