Alors que la bien-pensance est vent debout pour dénoncer de prétendus contrôles au faciès visant les gentils dealers de cités, pas un mot ou presque sur la mise en place d’une société dans laquelle la restriction devient la règle et la liberté, l’exception.
Car le pass sanitaire crée bien un apartheid entre vaccinés et non-vaccinés, un apartheid basé non pas sur la couleur de peau comme en Afrique du Sud mais sur l’orientation médicale des personnes, sur l’usage de leur libre arbitre en matière de choix de santé.
Pour la Macronie, il y a d’un côté les gentils vaccinés qui sauvent des vies et de l’autre, les méchants non-vaccinés qui tuent les gens..
Les populations à haut risque Covid ont toutes été vaccinées ou, du moins, elles ont eu la possibilité de recevoir les deux injections. Nous devrions donc pouvoir reprendre une vie normale..
Et bien non ! L’obsession du gouvernement est désormais de vacciner 100 % des Français pour écouler les doses de vaccins achetées à coups de milliards.
Et comme piquer de force des millions de gens pose quelques problèmes éthiques, techniques et logistiques, on rend la vie impossible aux non-vaccinés pour les obliger à se faire injecter l’élixir du bonheur..
En prime, malgré les millions de vaccinés, on nous remet petit à petit un masque sur la figure.. Le peuple est tellement plus mignon quand il ferme sa gueule et laisse s’exprimer les sachants..
Et bien sûr, c’est aux services de police et de gendarmerie qu’on confie cette noble mission de fliquer nos concitoyens pendant que les dealers vendent leur merde dans des supermarchés à ciel ouvert, bénéficiant de toute l’inertie de Dupond-Moretti, plus préoccupé par ses démêlés judiciaires personnels que par l’efficience de son ministère.
Soyons clairs. Notre syndicat de police est favorable au vaccin. Et la majorité de nos adhérents se sont fait vacciner. Ce n’est pas pour autant que nous considérons que ceux qui refusent le vaccin doivent faire l’objet d’une ségrégation au sein de leur propre nation.
Le point numéro quatre de la Charte du patient hospitalisé prévoit qu’un acte médical ne peut être pratiqué qu’avec le consentement libre et éclairé du patient.. Nos élites politiques et scientifiques feraient bien de relire ce texte avant de restreindre encore un peu plus les libertés de nos compatriotes..
Source : France Police
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