Une petite pépite cet article qui regroupe plusieurs études (avec les liens) qui démontrent :
- Qu’il y a des Infections à percée vaccinale, ce sont des infections Sars-Cov-2 qui surviennent après avoir terminé le cycle de vaccination. Les anticorps, bien que présents en quantité, n’ont pas empêché la maladie et rendre les personnes très contagieuses.
- Ceux qui contractent l’infection et sont contagieux, peuvent infecter à la fois les non vaccinés et les vaccinés. Deux autres études américaines confirment que les personnes vaccinées qui tombent malades contractent à la fois les variants et le virus d’origine.
- Selon 71% des scientifiques, la cause de l’absence d’immunité collective ne peut être le refus de vaccination mais, précisément, l’absence d’immunité.
- Cela invalide le Pass Sanitaire vaccinal qui est en discussion en ce moment.
- Si les données scientifiques montrent que les vaccins n’arrêtent pas la transmission du virus, pourquoi les États prétendent-ils révoquer nos droits naturels ?
Questions que l’on va poser aux députés et sénateurs….
Appelées “Vaccine-breakthrough infections” (VBI), ce sont les infections par le virus Sars-Cov-2 qui surviennent après avoir terminé le cycle de vaccination. L’étude concerne les personnes qui ont reçu des vaccins à ARNm.
Toutes les personnes qui ont été infectées et malades après la vaccination complète présentaient des taux élevés d’anticorps dans leur sang, et étaient donc considérées comme immunisées.
Cependant, les anticorps, bien que présents en quantité, n’ont pas empêché 24 militaires et membres du personnel médical de tomber malades sur un total de 1547 participants infectés dans l’étude. Protection nulle contre la souche originale du virus et ses variantes.
Voici l’étude. Le magazine fait autorité mais n’est pas le seul à en parler, confirme l’épidémiologiste Stefano Petti.
Heureusement, 24 personnes sur 1547 semblent être peu nombreuses.
” Cela représente 1 % des cas de Covid suivis dans l’étude. Nous parlons d’un petit pourcentage des militaires et du personnel médical suivis (âge moyen de 38 ans), mais ils étaient aussi très contagieux (certains n’ont pas développé de symptômes, ils étaient asymptomatiques) : ils avaient une grande quantité du virus dans leur oropharynx. Les chercheurs nous disent aussi que chacun d’entre eux gardait toujours une distance de sécurité d’au moins deux mètres avec ses interlocuteurs”.
Certains étaient asymptomatiques mais d’autres ont eu, en moyenne, des symptômes pendant une semaine. Certains avaient une forme grave de la maladie. Aucun n’a été hospitalisé.
“Ce qui ressort, c’est que 1 % des infections surviennent chez des personnes qui ont été entièrement vaccinées et qui ont démontré la production d’anticorps qui concernent également le même type de virus contre lequel elles ont été vaccinées, et pas seulement des variantes contre lesquelles elles peuvent penser ne pas être protégées. Ainsi, les personnes infectées et contagieuses peuvent infecter aussi bien les personnes non vaccinées que les personnes vaccinées. Deux autres études américaines confirment que les personnes vaccinées qui tombent malades contractent les deux variantes et le virus original. Cliquez ici et ici.”
Pourquoi n’est-il pas fait mention d’infections touchant les personnes vaccinées ? Et pourtant, ce serait pertinent, vu l’hypothèse du lancement d’un Pass Vert…
” La discussion émerge des journaux scientifiques. Les VBI sont démontrés par des données provenant du monde entier, non seulement aux États-Unis, mais aussi au Canada, en Grande-Bretagne et en Israël, cliquez ici. Cet autre travail nous apprend que dans un RSA canadien, les vaccinés infectés étaient plus nombreux que les infectés non vaccinés, cliquez ici. (Voici la situation à bord du HMS Queen Elisabeth, où 100 membres du personnel ont été infectés et doublement vaccinés).
Ce qui est nouveau, en revanche, ce n’est pas le fait que les personnes vaccinées puissent être infectées par le Covid-19, puisque les essais cliniques sur les vaccins eux-mêmes montrent que la protection conférée par le vaccin n’est jamais de 100% des personnes vaccinées, mais de 60%, 70% et même plus de 90%. Ce qui est nouveau ici, c’est que jusqu’à présent, nous pensions que ce pourcentage de personnes vaccinées pouvait être infecté pour deux raisons possibles, soit parce qu’elles ne produisaient pas une quantité suffisante d’anticorps malgré la vaccination, soit parce qu’elles avaient été en contact avec une variante non couverte par le vaccin. La nouveauté ici est que l’étude a montré que l’on peut être infecté soit en ayant produit des anticorps en grande quantité, soit en ayant été en contact avec le virus avec lequel le vaccin a été fabriqué.
Si ce vaccin ne protège que contre les symptômes graves de la maladie et non contre l’infection, l’immunité collective ne sera-t-elle jamais atteinte ?
“Il est difficile d’obtenir une immunité de groupe. Les personnes qui se font vacciner ont moins de chances de tomber malades, mais elles ne peuvent pas protéger les autres. Pour reprendre les termes de Nicky Phllips dans Nature en février dernier, “l’élimination totale du virus de la surface de la terre n’est qu’un rêve merveilleux”. Même à l’époque, 89 % des scientifiques pensaient qu’il était peu probable que cela se produise. Selon 71% d’entre eux, la cause de l’absence d’immunité collective ne serait pas le refus de la vaccination, mais le manque d’immunité.
Ces considérations devraient nous inviter à repenser ce que nous avons cru naïvement jusqu’à présent sur la réalisation de l’immunité de groupe, et sur le fonctionnement des vaccins à ARNm. La nécessité d’une vaccination obligatoire de certains groupes disparaît.
Conclusions
Cela rend nul et non avenu un instrument tel que le Passeport Vert qui est discuté en ces heures. De plus, le laissez-passer pourrait créer un faux sentiment de sécurité, encourageant la circulation du virus.
Le vrai danger
Si les données scientifiques montrent que les vaccins n’empêchent pas la transmission du virus, pourquoi les États prétendent-ils révoquer nos droits naturels ?
Lisez l’excellente réflexion de Vittorio Macioce (ici) que tous les étudiants (et nos politiciens) devraient connaître et approfondir : les droits de l’homme passent avant les pactes sociaux, les lois, les passeports. Ils sont inaliénables, et aucun État ne les décide ou ne les certifie.
Source : (original en Italien) Il Giornale It
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