Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Matthew Henry/Burst
Le système pénitencier californien, dans la section féminine, a mis en place de nouvelles mesures et des « ressources de grossesse » (de vraies : soins prénataux, adoption ; et de fausses : préservatifs, contraception, avortement), en prévoyance du transfert d’hommes se prétendant « femmes » vers leurs établissements, permis par une nouvelle loi de l’État. Ces mesures sont un aveu implicite que ces « femmes transgenres » n’en sont pas de vraies femmes et qu’il en résultera des incidents fâcheux. Selon le Women Liberation Front (un site féministe que je ne citerai pas souvent) :
Les femmes incarcérées dans la plus grande prison pour la gent féminine de Californie décrivent leurs conditions comme « le pire des cauchemars » après l’introduction de nouvelles ressources de grossesse dans les cliniques du Central California Women’s Facility (CCWF). Ces nouvelles ressources constituent un aveu tacite de la part des responsables que les femmes doivent s’attendre à être violées lorsqu’elles sont logées en prison avec des hommes, où toute relation sexuelle est considérée comme non consensuelle par défaut dans le système.
De nouvelles affiches sont récemment apparues dans les salles médicales, décrivant les options disponibles pour les « personnes enceintes » en prison, notamment les soins prénataux, l’avortement et l’adoption. L’affiche déclare également que les femmes ont droit à « des conseils offerts par un prestataire de soins de santé agréé sur la contraception et le choix des méthodes de régulation des naissances dans les 60 à 180 jours précédant la date de libération prévue ». Cependant, les seules méthodes disponibles pour les femmes incarcérées afin de prévenir une grossesse sont les préservatifs, qui sont apparus peu après les hommes, et les contraceptifs d’urgence Plan B.
« Personnes enceintes » ! L’idéologie du genre, à l’origine du transfert d’hommes se prétendant « femmes » dans les établissements destinés à ces dernières, se rencontre jusque sur les affiches s’adressant aux futures victimes… (Au passage, les « contraceptifs d’urgence Plan B » sont en fait des abortifs, mais ceci n’est pas le sujet de mon billet.)
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