Me Di Vizio ne fait pas le travail car le Code pénal français donne la définition suivante du génocide :
« Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :
– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.
Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. » (Art. 211-1)
La gestion de la Covid par le régime de Macron correspond parfaitement à cette définition. Le point le plus intéressant est l’absence de la notion d’intention ou volontaire ou préméditation dans la définition française.
L’article 211-1 parle de « plan concerté ». Le « plan » a été dévoilé par le Pr Perronne. Le régime de Macron a empêché le peuple français d’accéder aux médecins et aux traitements existants pour permettre la vaccination dérogatoire avec des vaccins expérimentaux, dérogation qui n’est possible que s’il n’existe pas de traitement existant. Toutes les décisions prises par le régime de Macron sont allées dans ce même sens. Il n’y a jamais eu de décisions contradictoires (comme revenir sur l’interdiction de l’hydroxychloroquine suite à la révélation de la falsification du Lancet et de Surgisphere par exemple) : le cap a été maintenu, le plan a été suivi. Et la « concertation » est établie puisque toutes les décisions ont été prises collectivement.
« Plan concerté », « destruction partielle d’un groupe national », « soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction du groupe » : le régime de Macron coche toutes les cases.
Interdire à une population frappée par une épidémie d’accéder aux médecins et aux traitements existants, c’est la même chose que d’interdire à une population frappée par une famine d’accéder aux produits alimentaires, c’est un génocide.
Et l’article 211-1 du code pénal français ne demande de prouver aucune intention, volonté ou préméditation pour établir le génocide, la distinction entre génocide volontaire ou génocide involontaire n’a pas de sens pour lui, seuls les faits concrets sont pris en compte.
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