par Strategika 51.
Le porte-avions à propulsion nucléaire US Gerald. R. Ford (CVN-78) a subi le premier test de résistance en Atlantique. Le test, le premier du genre depuis 34 ans, a été effectué le 18 juin 2021 à plus de 160 km au large de Palm Coast, en Floride.
Une charge de près de 20 tonnes d’un très puisant explosif mais rien n’est moins sûr. L’explosion de la charge aurait causé une secousse tellurique d’une magnitude de 3,9 sur l’échelle ouverte de Richter.
Ce test est le premier d’une série de trois tests visant à évaluer la résistance de la coque et des structures du porte-avions à un choc dans un scénario de combat relevant d’un conflit de très haute intensité avec un ennemi disposant de forces équivalentes. En d’autres termes la Fédération de Russie et la République populaire de Chine.
Des informations convergentes indiquent que les militaires US disposent de nouveaux types d’explosifs induisant de nouveaux phénomènes physiques, assez méconnus jusqu’ici. On ne sait pas si un explosif de ce type aurait été utilisé en Atlantique ou même ailleurs car les effets de ces explosifs de nouvelle génération ne ressemblent pas, à priori, à ceux des explosifs connus. Ce sujet est fort sensible et continue de relever du secret défense.
Ce qui est certain est que tout autre pays qui aurait conduit un test similaire aurait déclenché une gigantesque campagne médiatique synchronisée de dénigrement mettant en avant la destruction de la vie et de la faune marine, une détérioration de l’environnement des oiseaux migrateurs et même une atteinte au champ gravitationnel dans la zone de test.
Ces tests démontrent que le Pentagone prend très au sérieux la menace réelle pesant sur les groupes de l’aéronavale US et qu’il se prépare en conséquence en simulant des tirs d’armes nucléaires tactiques contre des portes-avions en plein océan. Ce qui pourrait par ailleurs survenir si un groupe aéronaval US tentait de s’approcher un peu trop des côtes nord-coréennes.
Un scénario de plus en plus probable avec la propension de certaines élites dirigeantes dépourvues d’expérience militaire à la provocation dangereuse. La récente provocation navale britannique contre la Russie en Ukraine, non loin de Sébastopol, aurait pu aboutir à l’envoi par le fond du destroyer britannique HMS Defender (D36) à coup de missiles Air-Surface d’avions d’attaque russes de type Su-24.
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