Si j’ai bien compris l’objet de cette polémique, la question est celle du devenir en Pologne, des biens en déshérence que leurs propriétaires juifs n’ont pu léguer.
Je vais transposer cette situation à la France.
Si je ne me trompe pas ; le droit commun stipule que les biens tombés en déshérence reviennent à l’état français quelle que soit la religion du propriétaire décédé. Ledit propriétaire peut parfaitement les léguer, avant son décès, à la personne physique ou morale de son choix y compris un état étranger.
Si on suit le raisonnement israélien, les « biens juifs » en déshérence devraient automatiquement revenir à « l’état juif ».
Cela signifierait-il que les Français « juifs » ne sont pas des Français comme les autres…
Reste que, avant la « récupération » par l’état de tels biens ; la recherche des ayant droits doit avoir échoué.
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