ntroduction
Si nous sommes pris par les « élites » pour les imbéciles que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.
Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.
Je vous offre l’ensemble de mes billets, pour aiguiser votre curiosité, élargir l’étendue de vos réflexions et ainsi augmenter le « champ des possibles », concernant votre patrimoine, aussi bien spirituel que matériel.
Ceux qui souhaitent dépasser le simple constat et sont décidés à agir, les « Rendez-vous d’Hubert » vous apportent la compréhension de l’effondrement en cours. Vous apprendrez comment vous y préparer, humainement et matériellement, afin de surmonter au mieux les évènements actuels et à venir.
Dans mes différents billets, je cite très souvent « mon ami Madri ». Pour savoir de qui il s’agit et quelle est son histoire, c’est ici.
Sujet du jour : un journal de premier plan demande le pardon de ses lecteurs pour un traitement « inadapté » le la crise sanitaire.
Coucou, les amis, bonjour, c’est Madri . J’ai besoin de votre complicité pour faire une blague au « patron Hubert ». Je compte sur vous pour ne rien dire, promis ? Avez-vous remarqué à quel point le titre de son billet du jour n’est pas écrit en bon français ? Le voilà qui arrive. Chuuut !!!
Mon cher Madri, je te connais par cœur et tu sais que j’adôôôre ta façon d’être, toujours aussi efficace dans tes remarques et conseils… sans jamais te prendre au sérieux. Curieusement, je sens que tu me caches quelque chose, n’est-ce pas ?
Tu connais ma dureté à l’endroit des médias en général et là, j’avoue que je suis tombé sur une nouvelle qui est de nature à me réconcilier avec une partie d’entre eux. il est vrai qu’en l’occurrence, cela concerne un média allemand, mais je reconnais que « j’en perds mon latin ». Comment ? Tu confirmes que j’ai perdu mon latin ? Plus que mon latin ? Dis-moi tout, s’il te plait, Madrilou…
Effectivement, tu as raison. Mon titre n’est pas bien formulé. C’est d’autant plus surprenant que je reprends systématiquement les étudiants, lorsqu’ils me disent « Monsieur, je m’excuse ». Je leur rappelle que, si ce sont eux qui s’excusent… il ne me reste plus rien à faire !!! Je leur suggère alors de me demander de bien vouloir les excuser.
De plus, « s’excuser de demander pardon » est quelque peu redondant, je le reconnais. Cette affaire d’excuses m’a réellement désarçonné. D’autant plus facilement que je n’ai jamais fait de cheval . Revenons à la cause de tout cela.
Le quotidien allemand Bild, qui revendique la plus forte diffusion en Allemagne et en Europe occidentale, est spécialisé dans le traitement de l’actualité et de la vie privée des personnes publiques et des célébrités. Les titres chocs et les photos à scandale sont leur lot quotidien.
Bien évidemment, la crise sanitaire a été l’occasion de publier, de manière outrancière, toutes les « vérités officielles », amplifiant ainsi la peur et la stigmatisation de certains de ses lecteurs.
Le croirez-vous, dans une vidéo postée le 28 mai dernier sur le site Internet du journal, le rédacteur en chef reconnait ne pas avoir été assez critique sur la politique sanitaire du gouvernement fédéral envers les enfants pendant l’épidémie de Covid19. Il leur en demande pardon. Les mots employés sont forts :
« Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société.
Des millions d’enfants dans ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, je voudrais dire ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons pardon. Nous vous demandons pardon.
Aux victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Car la politique et les médias rapportent cela à ce jour, comme un poison, et vous donnent le sentiment que vous êtes un danger mortel pour notre société. Vous ne l’êtes pas, ne vous laissez pas persuader de cela ».
Pensez-vous un seul instant que des journalistes français soient capables de pareils écrits ?
Il faut dire que l’exemple avait déjà été donné par la chancelière Merkel. En effet, fin mars dernier, après avoir projeté des mesures de confinement draconiennes pour Pâques, face à la réaction populaire, elle a abandonné ce projet en véritable « femme d’état », dans sa forme méliorative.
Retenez ses termes :
« J’assume l’entière responsabilité de cette erreur de jugement ». Demandant pardon pour ce plan, elle a déclaré que le confinement avait été « élaboré avec les meilleures intentions du monde », mais qu’il était tout simplement impossible d’en appliquer les dispositions.
Pensez-vous un seul instant que le président français soit capable de pareilles paroles ?
Reconnaitre ses erreurs et oser demander le pardon aux personnes lésées par ses propos ou ses actions, grandit celui ou celle qui en est capable. Soyons bien conscients, chers lecteurs, que cela s’applique aussi à nous, individuellement.
Pour acquérir tous les bienfaits du pardon, je vous invite à pratiquer assidument l’Ho’ oponopono et de vous inspirer des écrits d’Olivier Clerc et notamment « Le don du pardon », véritable cadeau que lui a fait Don Miguel Ruiz. Les abonnés aux Rendez-vous d’Hubert bénéficient de ces précieuses informations depuis déjà longtemps.
« Ceux quoi peuvent vous faire croire en des absurdités, pourrons vous faire commettre des atrocités »
(François-Marie Arouet dit Voltaire)
Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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