Atteindre et rester au plus haut niveau est terriblement difficile et astreignant
Se préparer aux compétitions nationales ou internationales exige un entraînement intense et parfaitement dosé. Pour des organismes au top de leur forme, le moindre incident se paie en baisse des performances. Quelques secondes ou dixièmes de secondes sont parfois décisifs pour rater une sélection, une médaille, voir une carrière. Ont-ils mérité cela ?
Contagion de la vaccination à l’aveugle sans évaluation bénéfices/risques, sous pression politique
La ministre des Sports a donné l’exemple (le mauvais) le 25 mai. Pandémie de coronavirus : « sans vaccin, pas de retour à la normale pour le sport » a affirmé la ministre des Sports Roxana Maracineanu. (RTL).
Si le sanitaire avait eu quelque chose à voir dans les vaccinations de masse, les responsables auraient commencé par doser les anticorps de leurs athlètes avant d’injecter la substance génique, et auraient réfléchi avec les médecins du sport à la meilleure période pour les vacciner, éventuellement, loin de l’épidémie, et surtout à distance des compétitions pour qualification et championnat et/ou JO.
Tout geste médical a des effets négatifs potentiels. Faire croire le contraire pour les pseudovaccins anticovid est mensonge et dangereux.
Les effets secondaires de la vaccination anticovid font partie de ces « incidents » imprévus par les organisateurs qui ont imposé des vaccinations en masse d’équipes, sous prétexte de droit à participation aux compétitions, imposée par les fédérations et / ou les Etats.
Combien de ces décideurs ont-ils eu en main les informations sur ces substances aux effets à court, moyen et long terme inconnus ? Ce qu’ils auraient dû savoir est que la population jeune dont ils ont la charge morale et sportive ne risquait rien du covid, eux sans comorbidité et à la vie saine.
Mais les organisateurs ont probablement entendu le discours lénifiant des télés et obéissent à la pression médiatique et sociale contre un virus inoffensif, sauf comme toutes les grippes à partir de 80 ans, et ont foncé dans le mur de la propagande. Comme s’ils allaient protéger les autres, alors que ces vaccins ne protègent ni le vacciné d’attraper le covid, ni la transmission via le vacciné du covid et même des effets toxiques du vaccin.
Une constatation terrible, la baisse de forme à la suite du « vaccin »
Beaucoup de sportifs qui se vaccinent et testent ensuite leurs performances constatent une baisse de celles-ci. Il faut en tenir compte, avant de chercher de multiples explications médicales qui viendront plus tard. En attendant, pensons à protéger nos sportifs.
L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique[1][2]
Jacques Borlée,[3] entraîneur belge des frères Borlée et de nombreux autres athlètes belges médaillés, a tiré la sonnette d’alarme. Selon lui, le vaccin réduirait les performances plusieurs jours après une injection. Et c’est une surprise : « Pour Jacques Borlée, c’était une véritable surprise de constater cette perte de puissance.
« On n’a pas du tout été informé de la chose. Au départ, on n’avait pas d’explications, mais ensuite, on a vu que tous les athlètes vaccinés avaient cette perte de puissance. »
Les 170 athlètes olympiques et 55 paralympiques qui représenteront la Belgique aux prochains Jeux olympiques de Tokyo ont reçu le vaccin Pfizer. La 2e dose est donc prévue début juin, alors que les JO se disputeront du 23 juillet au 8 août.
« Une fois vacciné, on voit dans le système lactique qu’il y a vraiment des perturbations… J’ai une dizaine de coureurs de 400 m et nous voyons cela de manière générale, de façon récurrente. J’ai contacté le médecin du comité olympique, qui a constaté cela dans tous les systèmes en aérobie, ce qui est perturbant ». « Nous avons une deuxième dose, qui est théoriquement plus forte. Cela risque de nous impliquer dans toute la période des minimas pour les Jeux Olympiques ».
Sur le plateau de LN 24, Jacques Borlée a évoqué le sujet et s’est montré pour le moins inquiet. « On a de gros problèmes avec la vaccination, car sur le premier vaccin, pendant 10 jours, nous avons constaté une perte de puissance entre 10 et 20 % », a évoqué le coach des Tornados. « Pour la 2e dose prévue dans 3 semaines, on parle aussi d’une perte de puissance, mais sur une période allant jusqu’à 21 jours. On est en ce moment dans la course aux minima pour les Jeux olympiques et c’est une grande difficulté pour les athlètes de voir leur performance diminuée. » (mis en ligne le 18 mai).
Marc Francaux, professeur de physiologie de l’exercice précise : « nous avons un faisceau d’observation qui laisse penser que certains athlètes sont impactés par cette vaccination. C’est quelque chose qui n’est pas étonnant, quand on voit comment fonctionne un vaccin, on peut s’attendre à ce que l’on soit un peu fatigué pendant 48 à 72 heures. Ce qui est plus étonnant, c’est de voir la durée pendant laquelle ces athlètes voientleur performance diminuer, de l’ordre de 5 % à peu près ».
« Nous avons trop d’athlètes qui, systématiquement, dans les jours qui suivent la vaccination, performent moins bien. Cela pouvait être attendu, mais c’est le moyen terme qui est plus inquiétant. Cela ne veut pas dire que les athlètes ne doivent pas être vaccinés ! Mais il faudrait tenir compte de leur programme d’entraînement et de compétition pour trouver la bonne période pour les vacciner ».
Yves Van Laethem, porte-parole interfédéral pour la lutte contre le covid-19 en Belgique et grand avocat de la vaccination reconnaît, mais minimise les conséquences. « Des conséquences de deux semaines sur le métabolisme, c’est quelque chose qui n’est pas clairement établi. Ils ont besoin de 100 % de leurs activités, vous enlevez 2 %, ça fait la différence ». « Je ne suis pas inquiet pour leur santé, mais effectivement, je peux être inquiet pour leur performance. »
« C’est problématique, en fonction de critères qui peuvent être différents en fonction des sports, cela ne se ressentira que chez les athlètes de haut niveau, soumis à des performances bien plus importantes qu’un sportif amateur. »
Et dans le football aussi
Sur RTF,[4] Philippe Rosier directeur du département Santé et Performance de l’équipe belge de football, lui aussi partisan de la vaccination complète confirme chez les vaccinés « une légère baisse de performance des joueurs après leur vaccination et que celle-ci ne libérera pas les athlètes ni de la distanciation ni du masque ni des autres mesures » adoptées sans preuves scientifiques de leur utilité.
« Ça me semble logique, l’objectif est que le corps réagisse au vaccin et active donc le système immunitaire. La science dit que, dans les premiers jours, il y a une possibilité de faire de la fièvre, de faire une réaction. On peut avoir une diminution de performances pendant plusieurs jours ».
« Mais ce n’est pas parce que les joueurs seront vaccinés que les protocoles ne seront plus là. On est testés tous les deux, trois jours, on garde la distance et les masques, il n’y a pas de changement à ce niveau-là. »
En France, nos athlètes voient leurs performances chuter et leur espoir de médaille compromis
Le douloureux renoncement de Christophe Lemaitre en athlétisme
À la suite de sa vaccination Christophe Lemaitre Médaillé de bronze du 200 m à Rio en 2016, a été contraint de déclarer forfait pour les Championnats de France d’athlétisme devant se disputer à Angers fin juin, rendant très incertaine sa participation aux JO de Tokyo.[5] Christophe Lemaitre ne défendra donc pas ses chances ce week-end à Angers. Cette décision a été prise avec son staff technique, car l’athlète « n’est pas à 100 % de ses moyens physiques, suite notamment à de mauvaises réactions au vaccin contre la COVID-19 », a-t-il fait savoir dans un communiqué.[6] « Il y a eu une période où ses tests étaient excellents, au même niveau qu’avant et puis il s’est fait vacciner, on ne l’a plus reconnu », explique Pierre Carraz, l’un de ses entraîneurs.
Cette situation est critique pour le médaillé de bronze du 200 m des Jeux de Rio : auteur d’une saison pour l’instant ratée, il n’a pas réussi les minima internationaux exigés sur 200 m (à réaliser jusqu’au 29 juin). Sa seule chance de voir les Jeux de Tokyo (23 juillet-8 août) est désormais d’être repêché pour le relais 4×100 m, mais il n’est que le 16e Français au bilan sur la distance. « Ça ne sert à rien d’aller aux Jeux pour se faire éliminer en séries », ajoute Thierry Tribondeau, son autre coach.
« C’est difficile pour moi de prendre ce type de décision » dit Christophe Lemaitre. Imaginez-vous la détresse de ce sportif qui rêve depuis quatre ans de ces JO et pour lequel tout s’écroule à la suite d’une piqûre pour une maladie à risque zéro pour lui ?
Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse ne seront également pas de la partie.
Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue et inquiète à un mois des Jeux olympiques de Tokyo (23 juillet — 8 août).
Certains joueurs résistent et parlent
Henry Slade[7]:
« Je ne vais pas avoir de vaccin Covid — je ne suis pas d’accord avec tout cela… Slade est le premier sportif britannique de haut niveau à parler publiquement de ses préoccupations, qui défient l’avis du gouvernement et des cliniciens. »[8]
Slade s’intéresse particulièrement au déploiement du vaccin contre le Covid, à la fois en tant que personne répertoriée comme cliniquement vulnérable et en tant qu’acteur dont le monde a été bouleversé par la pandémie. Pourquoi défie-t-il les conseils du gouvernement ? « Je ne pense pas que vous puissiez lui faire confiance, n’est-ce pas ? Je ne pense pas que les tests du vaccin aient duré longtemps. Il n’y a aucun moyen de savoir ce qui pourrait en arriver à l’avenir. Je suis en parfaite forme et en bonne santé. Je n’en ai pas du tout envie », explique-t-il.
« J’ai reçu des vaccins dans le passé et je suis tombé assez mal avec eux par la suite. Je ne sais pas si cela a quelque chose à voir avec le diabète ou non. Je vais rester à l’écart de celui-ci. »
Le fait que Slade dépende de son corps et de sa santé physique a-t-il influencé sa décision ? « Ce n’est pas vraiment à cause de cela, c’est à cause de mon corps et de ma vie, je suppose, je pense juste qu’il n’y a pas eu assez de tests pour le juger sûr », répond-il.
Et il n’a pas été sélectionné…
Conclusion
Les sportifs de haut niveau dont l’âge jeune, le bon état de santé (ou leur excellent suivi) et l’hygiène de vie parfaite, les protègent totalement des complications du covid, n’ont aucun bénéfice personnel à espérer de prétendus vaccins.[9] Comme ces injections n’empêchent pas la possible transmission du virus,[10][11] il n’y a non plus aucune raison altruiste de les recevoir.
Accepter ces injections expérimentales[12] d’ARN messager, substance génique jamais utilisée chez l’Homme et dont les essais ne seront pas terminés avant 2023, c’est prendre un risque de complications graves et accepter une baisse de leurs performances susceptible de les empêcher de se qualifier aux compétitions nationales et internationales pour lesquelles ils se sont préparés depuis plusieurs années.
Il faut souligner qu’il semble apparaître que les effets secondaires graves sont de plus en plus fréquents à mesure que l’âge des vaccinés est bas. Les myocardites touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les 15 – 18 ans. Les explications scientifiques viendront plus tard, mais en leur absence cela vaut-il de prendre un risque létal et en tous cas définitif pour les survivants avec un cœur définitivement malade ? La FDA vient de reconnaître le lien entre vaccin anticovid et myocardites et l’ajouter dans la liste des évènements graves éventuels à signaler.
L’éventuel consentement des sportifs souvent vaccinés par équipe, avec la pression du « groupe » à cette thérapie génique expérimentale a-t-il été libre et véritablement éclairé ?
Ce ne sont ici que quelques exemples que nos lecteurs enrichiront de leur expérience, nous l’espérons.
Nicole et Gérard Delépine
Notes :
[3] le coach des Belgian Tornados a pu constater que ses athlètes vaccinés ont connu une diminution de performance.
[6] Christophe Lemaitre forfait pour les Championnats de France à Angers — L’Équipe (lequipe.fr)
à
[7] Henry Slade est le joueur de rugby le plus en vue atteint de diabète.
[9] Pasteur a défini le vaccin comme l’injection d’antigène destinée à susciter la production d’anticorps spécifique contre la maladie à prévenir. Les soi-disant vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais un ARN messager
[10] Olivier Véran dans son mémoire de défense au Conseil d’État fin mars, affirme la vaccination « n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ». Curieusement ce constat du ministre de la Santé n’est pas repris.
[11] Même les personnes qui ont reçu le vaccin pourraient infecter d’autres personnes, a prévenu le Dr Soumya Swaminathan scientifique en chef de l’OMS
[12] Ces produits sont totalement expérimentaux tant par leur technique jusqu’ici jamais utilisée pour un vaccin humain que par l’absence de résultats des essais (l’essai phase 3 le plus avancé, celui de Pfizer ne se terminera qu’en janvier 2023)
Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca
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