par Isaac Blümchen.
« Enfin, le peuple juif est maître de la France.
Les gouvernements et les nations reconnaissent le fait officiellement.
Alphonse XIll, roi d’Espagne, de la maison de Bourbon, est venu en France au mois de novembre 1913, il est allé chez le président Poincaré, pour une partie de chasse à Rambouillet. Mais il est allé chez notre Edouard de Rothschild pour traiter des affaires de l’Espagne avec la France » …
« Notre conquête est désormais un événement accompli » …
« J’ai expliqué que nous ne voulions pas « faire sortir de France les Français » comme l’ont dit témérairement quelques-uns des nôtres, exaltés par la victoire. Nous ne supprimons que les Français rebelles à notre domination, c’est-à-dire une poignée d’énergumènes.
La masse docile et laborieuse des indigènes nous est nécessaire, ainsi que les Ilotes étaient nécessaires aux Spartiates en Laconie et que le Hindous sont nécessaires aux Anglais en Hindoustan ».
« Il nous suffit de tenir en main les rouages directeurs du pays et d’exercer le commandement.
Nous pouvons l’exercer au grand jour.
Nous régnons sur la France en vertu du même droit qu’ont invoqué les Européens pour anéantir des Peaux-Rouges et pour asservir les Cafres ou les Congolais : le droit de la race supérieure sur une race inférieure. C’est une loi de nature.
La supériorité de la race juive et son droit à la domination sont établis par le fait même de cette domination. Les vaincus s’ inclinent devant l’évidence.
L’indigène français ne manque pas d’une certaine intelligence. Il commence à comprendre ce qu’il peut gagner en acceptant l’inévitable. Il sollicite nos enseignements, nos conseils, nos impulsions dans tous le ordres d’activité politique, économique, artistique, philosophique, littéraire.
C’est à l’école primaire, au lycée, à la Sorbonne, dans les grands établissements d’enseignement supérieur, que se forment toutes les classes de la nation, que la plèbe acquiert les quelques notions sur lesquelles elle vivra toute sa vie, et que la bourgeoisie amasse les idées qu’elle tient ensuite pour définitives.
Sagement, nous nous étions emparés de l’lnstruction publique à tous les degrés, avant de démasquer notre dessein politique.
L’Université, ses conseils, ses programmes, sont entre nos mains ; les plus modestes manuels de l’école primaire comme les chaires les plus orgueilleuses des Facultés subissent notre censure. À l’École normale supérieure comme à l’École polytechnique, nos hommes contrôlent tout, décident de tout. Une grande partie des éditeurs qui publient les livres scolaires sont juifs, et les professeurs indigènes qui travaillent à leurs gages doivent se conformer à notre pensée. La Sorbonne entière nous est dévouée, le Collège de France tremble devant nous : dans la scandaleuse affaire Curie, les pontifes et les maîtres de la culture « française » ont fait bloc contre la mère de famille française pour servir notre sœur Salomé Slodowka.
Nous avons expurgé l’histoire française de ses fastes. Par notre volonté, les indigènes français ignorent ou renient les siècles de leur passo qui précédèrent notre événement.
Ils croient que la France était plongée dans la barbarie, dans le fanatisme, dans la servitude, dans la misère avant l’époque où les juifs affranchis se dévouèrent à l’affranchir.
L’histoire de France n’est plus que l’histoire de la conquête de la France par Israël, commençant par l’intervention des Loges maçonniques à la fin du XVIIIe siècle, s’achevant en apothéose au XXe siècle.
En même temps que nous effaçons des programmes ou que nous supprimons de l’enseignement effectif ces inutiles légendes – ces absurdes réveils du passé, disait Joseph Reinach dès 1895 – nous proscrivons ce que les Français appelaient naïvement l’Histoire sainte, c’est-à-dire l’histoire de nos tribulations, le tableau de nos superstitions, le récit de nos fureurs et la mémoire de nos origines.
… « ils ne pourront pas dire que les juifs arrivent de Palestine par les ghettos de Russie et d’Allemagne : car deux cent mille instituteurs, surveillés de près, leur enseignent qu’un juif est un Normand , un Provençal ou un Lorrain de religion particulière, aussi bon et vrai Français que les autochtones ».
Nous avons ouvert à Paris une École des Haules Études sociales, pour enseigner à la jeunesse bourgeoise « la morale, la philosophie, la pédagogie, la sociologie, le journalisme » et tout ce qui touche à la vie publique. Les administrateurs, avec un général qui porte le nom prédestiné de Bazaine, s’appellent Théodore Reinach et Bernard ; le conseil de direction comprend nos Juifs Eltrgène Sée, Félix Alean, Dick May (juive, secrétaire générale), Diehl, Durkheim, Joseph Reinach, Félix Michel.
Les professeurs pour 1913-1914 – avec quelques indigènes dont la soumission aveugle nous est garantie – s’appellent Théodore Reinach, Léon, Friedel, Cruppi-Crém icux, Dwelshauvers, Hadamard, Brunschwig, Milhaud,Meycrson, Blaringhem, RosenthaJ, Lévy- Wogue, Gaslon -Raphaël, C. Bloch, G. Bloch, Hauser,Mantoux,Moch,Worms ,Yakchtich,Weyll-Raynal Lévy-Schneider, Bergmann,Zimmermann, Rouff, Leon Cahen, Caspar,Georges-Cahen Bassh, Mandach, Boas-Boasson,Mortier, Bluysen, Elie May, Edmond Bloch, etc.
Tous remplissent d’ailleurs des fonctions importantes, des postes de commandement, dans la haute Université ou dans les Administrations centrales.
Nous a-t-on assez jeté il la face, autrefois, le nom de nos ghettos !
Eh bien nous avons fait de la Sorbonne un ghetto, de l’Université un ghetto, des grandes Écoles françaises autant de ghettos.
C’est dans le ghetto des Hautes Études sociales que les jeunes Français de la classe aisée ou riche viennent. apprendre à penser, apprendre à vivre la vie publique, modeler leur pensée sur la pensée juive, abolir leurs instincts héréditaires devant la volonté juive, s’exercer nu seul rôle que nous leur permettions d’ambitionner : au rôle de zélés serviteurs, de parfaits valets d’Israël.
Mais nos jeunes juifs gardent toujours la préséance. Quand Lévy-Brühl, présidant les jurys de philosophie, décerne les diplômes à la Sorbonne, il nomme d’abord les élèves Abraham, Durkheim , Fligenheimer, Gintzberg, Israël, Lambrecht, Kaploun, Lipmann , Guttmann et Spaïer.
Ensuite, les indigènes.
Notre Joseph Reinach vice-preside la commission de l’armée. La commission chargée de fouiller les archives de la Révolution, la commission chargée d’explorer les documents diplomatiques du second Empire et d’éclairer les causes de la guerre franco-allemande, ont à leur tête Joseph Reinach. Tous les secrets militaires, tous les dossiers historiques, sont à la merci de Joseph Reinach.
Au Congrès de l’Enseignement, c’est Théodore Reinach qui propose contre les pères de famille indigènes des déchéances civiques, politiques, et des peines infamantes, s’ils ne livrent pas leurs enfants à l’instituteur approuvé d’Israël. C’est Théodore Reinach qui prend la peine de rédiger de petits Traités de grammaire pour enseigner aux Français leur propre langue. Et Joseph Reinach encore révèle aux lecteurs du Matin (entre Blum, Porco-Rico,Weyll et Saüerschwein) que Corneille est l’auteur de Phèdre !
Nous aurions pu, dans ces rôles divers, employer un plus grand nombre des nôtres ; nous avons des Herr à l’Ecole Normale, des Carvalho à Polytechnique, des Bloch, Cahen et Lévy dans toutes les chaires supérieures. Mais nous avons pensé qu’il fallait répéter partout le nom de Reinach, qui a subit tant d’outrages en diverses conjonctures. Plus les indigènes français montrèrent alors d’insolence, plus il importe de les humilier, de les prosterner devant la famille juive qu’ils avaient osé salir.
Lorsque nos savants juifs auront enseigné le français aux indigènes de France, ils leur enseigneront encore l’hébreu et le yiddisch. Car il faut que les vaincus parlent la langue du vainqueur.
D’autre part, il est logique d’apprendre notre langue aux Français comme les Français apprennent leur langue aux Annamites et aux Malgaches. C’est même indispensable, puisque le yiddish et l’hébreu deviennent la langue des réunions politiques (salle Wagram, présidence Jaurès), des meetings professionnels (Bourse du travail, convocations spéciales par l’Humanité), et des campagnes électorales (élections municipales de Paris, IVe arrondissement, candidature socialiste par affiches en caractères hébraiques).
L’accomplissement de nos desseins souffrirait un fâcheux retard, si les juifs importés d’Allemagne, de Russie, de Roumanie et du Levant étaient obligés d’apprendre le français avant d’obtenir la naturalisation et les droits de citoyens français. Nous avons besoin qu’ils soient tout de suite à l’abri d’une expulsion et tout de suite électeurs, éligibles, admissibles aux premières fonctions du pays.
C’est pourquoi nous avons placé à la Direction de la Sûreté générale, comme chef du service des Déclarations de résidence, Permis de séjour, Admissions à domicile et Naturalisations notre Grümbach , soigneusement choisi par l’Alliance israélite.
C’est pourquoi aussi nous avons imposé au Parquet et au Tribunal de la Seine, pour nos immigrants juifs, une procédure spéciale.
Pour les juifs, et pour les juifs seulement, le Tribunal et le Parquet acceptent comme pièce
d’identité suffisante, suppléant à tout état civil, un acte de notoriété fabriqué par n’importe quel rabbin et certifié par sept de nos frères. Ainsi nos juifs prennent en arrivant les noms qui leur plaisent, dissimulent leur passé, leurs condamnations, les raisons pour lesquelles ils cherchent refuge en France. Le Parquet va jusqu’à dispenser les juifs, les juifs seuls, de toute légalisation pour les pièces qu’ils veulent bien produire. Une signature de rabbin, lequel n’a même pas à prouver qu’il est rabbin, est un talisman devant lequel tout s’incline.
Voilà comment nous avons pu installer dans Paris une armée de cinquante mille juifs ignorant le français, mais citoyens français.
Des circonscriptions électorales presque entières ne parlent que notre langue : en Algérie, par exemple ; à Paris, dans les 3e 4e et 18e arrondissements.
La liste électorale de Constantine se compose, pour plusieurs milliers de noms, de nos Zaouch, Zemmour, Zammit, Zerbola, Kalfa (fils) de Simon, Kalfa de Judas, Kalfa d’Abraham, Mardochée d’Abraham, Monchi de Mardochée, Nessim de Mardochée, Rahmin d’Abraham, Samuel d’Aaron, Salomon d’Isaac, Chloumou de Simon, Chloumou de Moise, Elie d’Isaac, etc.
Et nos frères, qui donnent ainsi à la France ses législateurs et ses ministres (Étienne, Thomson), ne savent pas le français.
Donc les Français doivent savoir le yiddish.
Il n’y a pas d’instituteurs juifs dans les écoles primaires publiques : le salaire est trop maigre ; mais l’État-Major de l’enseignement primaire est peuplé de nos hommes.
Dans les lycées de Paris, comme Janson-de-Sailly et Condorcet, nos juifs règlent tout.
Jamais nous n’admettrions qu’un Français professât dans les écoles juives, qu’il enseignât l’histoire d’Israël et qu’il commentât nos Livres saints devant les petits juifs. Les petits Français reçoivent les leçons de nos juifs et sont modelés par la pensée juive.
Notez bien ce trait, qui résume la situation des deux races : dans aucune famille française vous n’avez de domestiques juifs, de servantes juives. Toutes nos familles juives sont servie par des domestiques français : la race supérieure, servie par la race inférieure.
Arrêtez-vous devant la banque Rothschild, rue Laffitte, ou devant l’hotel Rothschild, rues des Rivoli et Saint-Florentin : vous y verrez des agents de police en tenue, qui veillent sur notre chef, sur le maître de la France. Pas un crime, pas une catastrophe ne les détournerait un instant de leur devoir. C’est le symbole de la France, vouée au service d’Israël.
Voici un Congrès des Jeunes Républicains qui se réunit. Sur l’estrade, comme hôtes d’honneur, des Reinach, Strauss, Roubinovitch. Les présidents, secrétaires, orateurs, sont nos juifs Hirch, Storra, Lévy, Cahen, etc. Les jeunes indigènes écoutent et ils obéissent.
Voici une Association de Jeunes filles républicaines : au comité, Mlles Klein, Halbwachs.
Aux conférences des Annales, à l’œuvre du Secrétariat féminin, dans les Ligues pour le Droit des femmes, pour le Suffrage des femmes, à la tête des œuvres philanthropiques et des œuvres pédagogiques, à l’École normale de Sèvres, à l’École normale de Fontenay, dans toutes les réunions féminines ou féministes de Paris et de Province, qui préside, inspire, dirige ? Nos juives, nos modernes Judiths, nos Esthers dévouées : Mme Cruppi-Crémieux, Mme Moll-Weiss, Mme Dick May, Mme Léon Braunschweig, Mme Boas, Mlle Marguerite Aron …
Et les femmes françaises, les jeunes filles françaises, dociles, conscientes de l’infériorité de leur race et de leur infériorité personnelle, se tiennent modestement devant la présidente juive, la conférencière juive, la directrice juive, comme les petites Annamites et les petites Malgaches autour d’une institutrice européenne.
Race supérieure, race inférieure !
Ainsi trente-huit millions d’indigènes français ne lisent que des revues et des journaux rédigés par nos juifs ou par des hommes à nous ; ils n’étudient leur histoire que dans des manuels fabriqués sous notre contrôle, et leurs auteurs classiques que dans des éditions annotées, commentées par nos scribes. Morale, psychologie, politique, journalisme, art ou finance, ils ne connaissent rien que par nous.
Et quand ils croient boire de la bière française dans une brasserie « Pousset », ils boivent en réalité de la bière juive dans une brasserie Lévy (des familles Lévy, Jacob et Reiss).
Ou s’ils croient armer leurs bateaux avec de l’artillerie française, ils achètent en réalité leurs canons dans une usine Lévy (Commentry).
Pour seconder la Synagogue et le Comité de l’Alliance israélite, nous avons fondé dans Paris des Loges maçonniques où nos frères délibèrent seuls, à l’abri des profanes. Toutes les Loges maçonniques sont peuplées de nos juifs ; mais nul ne pénètre dans nos Loges juives, telles que la Loge Gœthe, fondée en 1906 par les frères Dubsky, Fischer et Bouchholtz. On n’y parle que l’allemand et le yiddish.
De là partiront les ordres qui jetteront dans la rue nos cinquante mille immigrés, browning au poing, pour la grande Pâque, au son des canons allemands.
J’assistais à cette audience de la IXe chambre où notre Lévy-Oullmnan, défendant quelques juifs de la basse pègre arrivés fraichement d’un ghetto russe, clamait avec assurance : « Mes clients sont de bons Français ; ils sont aussi bons Français, meilleurs Français que n’importe qui dans cette enceinte ! » Les avocats indigènes, aussi bien que le substitut et les trois juges, restaient muets sous l’outrage.
Voilà comme il faut traiter les Français. Le temps de la prudence est passé. De l’audace, frères ! de l’insolence! Les vaincus baissent le nez.
À la Chambre, que le président s’appelât Brisson ou Deschanel, il n’a jamais été permis de prononcer le nom sacré de Rothschild ni d’incriminer un juif.
Du socialiste Jaurès au radical Clemenceau,il n’y a pas de politicien gras ou maigre qui ne soit à nos gages. Nous les surveillons par leurs secrétaires juifs et leurs maîtresses juives, filles de théâtre ou de tripot, baronnes d’aventures ou marchandes à la toilette.
La haute bourgeoisie, nous la tenons en laisse dans les conseils d’administration.
Ce qui reste de l’aristocratie, nous l’avons acheté.
Les bourgeois qui prétendent à quelque avenir dans la. vie publique sont réduits à devenir nos gendres ou nos estafiers.
« Déroulède, subventionne (200 000 fr) de Rothschild, intime ami d’Arthur Meyer, ancien acolyte d’Alfred Naquel ; MM. Galli et Dausset, futurs associés de notre Isaac Weiss (de Buda-Pest) à l’Hôtel de Ville ; M. Barrès, ornement des salons Willy Blumenthal ; et les dix-neuf juifs du Gaulois, les vingt juifs du Figaro, les duifs de l’Echo de Paris, les juifs de tous les journaux, de toutes les revues, de toutes les agences, jouaient notre jeu même quand ils feignaient de nous résister. Arthur Meyer nous répondait de l’État-Major nationaliste comme il nous avait répondu de l’État-Major boulangiste : intimidant les uns, achetant les autres (à nos frais), les espionnant tous, il nous les livrait à merci.
Le parti nationaliste et la loi « Patrie française » n’ont pas pesé lourd.
Les bourgeois qui prétendent à quelque avenir dans la vie publique sont réduits à devenir nos gendres ou nos estafiers.
Les descendants (plus ou moins authentiques) des anciennes grandes familles épousent aussi nos filles ou vivent à nos crochets.
S’il y a mésalliance, elle est de notre côté.
Nous sommes la première aristocratie du monde !
C’est pour nous donner une apparence française que nous usurpons les signes extérieurs de la noblesse française.
Nous avons le choix entre plusieurs procédés.
Le plus simple et le moins coûteux consiste à prendre de notre propre autorité un nom de terre, une particule, un titre, comme font une multitude de courtisanes et d’aigrefins. Par exemple, notre Finckelhaus achète un château à Andilly et signera successivement Finkelhaus (d’Andilly) Finkelhaus d’Andilly, F. d’Andilly. Noble demoiselle Carmen de Raisy, l’une des poules à Rostand (Chantecler), est notre sœur Lévy.
Ou bien Bader et Kahn des Galeries Lafayette deviendront Bader et Kahn de Lafayette, B. et K. de Lafayette, baron et comte de Lafayette.
D’autres, embarrassés de scrupules, acquièrent un vrai parchemin de quelque monarque besogneux : ainsi les Rothschild.
Ou du pape : ainsi le comte Isidore Lévy, qui a payé comptant le bref pontifical du 8 janvier 1889.
Le gouvernement de la République nous rend le même service à meilleur marché : pour moins de cinquante louis, notre Wiener est devenu, par décret présidentiel, Monsieur de Croisset.
Enfin, si nous n’avons de vanité que pour nos petits-enfants, nous achetons simplement à nos filles des gentilshommes de bonne souche. N’est-il pas meilleur pour eux de redorer leur blason en épousant une honnête juive qu’en épousant une vieille catin, comme ils ne manqueraient pas de le faire ?
Le prince de Bidache, duc de Gramont, allié aux Ségur, Choiseul-Praslin, Montesquiou-Fézensac, Lesparre, Conegliano, etc, etc., a épousé une Rothscild.
Le prince de Wagram et de Neuchatel (Bertier) a épousé une Rothschild.
Le duc de Rivoli (Masséna) a épousé une Furtado-Heine, qu’avait épousée auparavant le duc d’Elchingen (Ney) et dont la fille a épousé le prince Murat.
Le prince de Chalençon-Polignac a épousé une Mirès.
Notre Marie-Alice Heine, avant d’épouser le prince de Monaco, était la femme du duc de Richelieu.
La duchesse d’Estampes est une juive Raminghen ; la marquise de Breteuil, une juive Fould ; la vicomtesse de la Panouse, une juive Heilbronn ; la marquise de Salignac-Fénelon, une juive Hertz ; la marquise de Plancy, une juive Oppenheim ; la duchesse de Fitz-James (des Stuarts, ma chère) une juive Lœvenhielm ; la marquise de Las-Marimas, une juive Jacob, échappée peut être de Turcarel ; la princesse Della-Rocca, une juive Embden-Heim ; la marquise de Rochechouart-Mortemart, une juive Erard ; la vicomtesse de Quelen, la baronne de Baye et la marquise de Saint-Jean de Lentilhac sont trois sœurs, trois juives Hermann-Oppenheim.
La duchesse de La Croix-Castries est une juive Sena. Veuve, elle s’est remariée au comte d’Harcourt : elle entrait ainsi chez tous les d’Harcourt, les Beaumont, les Guiche, les Puymaigre, les Mac-mahon, les Haussonville. Personnellement, les d’Haussonville ont eu d’autres occasions de s’allier aux juifs Ephrussi.
(Voir un fameux roman de Gyp).
La marquise du Taillis est une juive Cahen ; la princesse de Lucinge-Faucigny, une autre juive Cahen ; la comtesse de la Rochefoucauld, une juive Rumbold ; la marquise de Presle n’est pas une demoiselle Poirier, comme le croyait le naïf Augier, mais une juive Klein ; la comtesse de Rambervilliers, une juive Alkein ; la marquise de Grouchy, la vicomtesse de Kerjégu, la comtesse de Villiers sont quatre sœurs juives Haber ; la marquise de Noailles, juive Lackmann ; la comtesse d’Aramon, une juive Stern …
Et cœtera. Tout l’armorial y passerait.
Notre Finckelhaus publia jadis un travail fort étendu du vicomte de Royer sur cet important sujet.
Depuis lors, ces familles « de la vieille roche » ont pullulé, leurs enfants ont grandi ; d’autres familles « de la vieille roche » affamées de l’argent juif, ont suivi le mouvement.
Aussi, nous nous faisons une pinte de bon sang, quand nous voyons les néo-royalistes de l’Action française prodiguer leur énergie, leur talent et leur éloquence pour rétablir en son rang l’antique noblesse, de rendre la France à ses destinées.
L’antique noblesse se compose maintenant de nos gendres, petits-fils, neveux, cousins germains : tous demi-youpins ou quarts de youpins.
Elle est signée de nous, la belle aristocratie française ! Nos filles ou nos sœurs l’ont pondue.
La Vie parisienne raconte que, « dans un salon des plus aristocratiques, M. Tristan Bernard était aux prises avec un noble vieillard » et le noble vieillard disait :
– Mon grand-père fut tué pendant la conquête de l’Algérie; mon bisaïeul fut guillotiné par Robespierre; un de mes arrière-cousins fut assassiné par Henri de Guise; un autre de mes aïeux mourut glorieusement à Pavie …
– Ah ! monsieur,interrompit le célèbre ironiste, en prenant un ton de sincère condoléance, croyez que je prends bien part à ces deuils si cruels et si répétés.
Bravo ! bon juif Bernard ! Tu as bien fait d’insulter ce noble vieillard. Sa noblesse et sa vieillesse méritaient l’insulte, chez les nobles hôtes qui accueillent les juifs et de qui le luxe est probablement payé par une dot juive ou par un entreteneur juif !
Chacune de nos familles fournit la chronique de la « Vie nationale », en France, plus que mille familles indigènes.
Où ne trouvez-vous pas nos Bloch ? Jeanne Bloch, la grande artiste ; Bloch, le satyrequi enfonçait des épingles dans les seins des petites Françaises ; Bloch, le fonctionnaire qui a subtilisé un demi-million dans la souscription pour les victimes du Mont-Pelé (Martinique) ; Bloch-Levallois, qui dépèce toutes les vieilles propriétés et dépècera le Palais-Royal. Qui est le représentant des auteurs dramatiques français ? Bloch. Qui préside les grands cercles boulevardiers ? Bloch. Qui dirige les Droits de l’homme ? Bloch. Qui détroussait, au 14e hussards, le petit de Quinsonnas ? Une deuxième Jane Bloch. Qui a tué Minnie Bridgemain ? Notre Rachel Bloch. Qui professe la morale et la sociologie au Collège des Hautes Études sociales ? Trois maîtres Bloch.
Je peux continuer durant dix pages. Et si je prends la famille Lévy ou la famille Cohen, j’emplirai deux volumes. Il n’y a que nous !
Il n’y a que nous. Allez place des Victoires, autour de la statue de Louis XIV et du bas-relief qui rappelle le passage du Rhin. Les maisons de commerce ont pour patrons Bloch, Lippmann, Weill , Klotz, Kahn, Lévy, Wolff, Alimbourg-Akar, Cohn … C’est nous qui l’avons passé, le Rhin !
Il n’y a que nous. De qui se compose le Comité directeur de la Société des commerçant et industriels de France ? de MM. Hayem (secrétaire général) ; Klotz (adjoint) ; Cohen (secrétaire administratif) : Sachs, Schœn, Sciama,Zébaum, etc. Les bureaux sont balayés par des Français.
Il n’y a que nous. Quels sont les conseillers du commerce extérieur de la France préposés par la République à la surveillance des intérêts nationaux ? M. Amson, Bachruch, Moïse Bauer, Moise Berr, A.Bernheim, J.Bernheim, G. Bernheim, Aaron Bloch, Louis Bloch, Meyer Bloch, Raoul Bloch, Isidore Blum , Brach, Brunswick, F. Cahen, L. Cahen, A. Cahen, H. Callen, Jules Callen , Joseph Cahen, A. Dreyfus, Moïse Dreyfus, Dreyfus-Bing, Dreyfus-Rose, et ainsi de suite par ordre alphabétique jusqu’à Weil, Weill, Weiss et Wolff. Les Français collaborent à l’exportation en clouant les caisses d’emballage.
Lisez les « Communiqués de la Vie Mondaine » et de notre organe le Matin : rien que les deuils et les unions de nos Aron, Abrahm , Gobsek, Schowb, Meyer, Worth, Kuhn, etc ….
Ouvrez Excelsior : photographie des splendides salons de Mme Navay de Foldeak, ex-dame Dreyfus, née Gutmann.
Accidents d’automobile ? Voici M. Bodenschatz qui entre en collision avec M. Gutmann, Mme Gutmann , Mlle Gutmann et Mme Rosenstein : « une famille parisienne » assure notre Matin.
Ou bien c’est notre Théodore Reinach qui écrabouille sous sa 60 HP une vieille Française ; tous les journaux se taisent, et le tribunal estime la vie de la femme indigène à 15 000 fr.
*
À nous la France
par Isaac Blümchen.
1913
La France est désormais à nous.
La République, c’est nous.
Ces Sternbach, Goldmann, Kahan, ces Schuffenecker, Sohamann, Oberweisf, Taksen, ces Scholak, Ruchla, Merovitz et Guelbtrunk qui nous renforcent chaque année par vingtaines de mille et que les présidents de la République déclarent aussitôt Français « de première zone », peuvent paraître un peu dépaysés d’abord.
Ils ignorent la langue et les mœurs, l’histoire et les traditions, les hommes et les choses de France ; c’est bien naturel. Mais ils se mettent vite au fait, lorsque toute l’organisation politique et tous les pouvoirs sociaux sont à leur service. Naturalisés en 1912, en 1913, hier casquettiers (comme mon vénéré père), fourreurs marchands ambulants au fond de la Tartarie, de l’Ukraine, de la Galicie, de la Pologne, de la Souabe, de la Prusse, de la Moldo-Valachie, nous les verrons avant dix ans préfets, députés, rédacteurs des grands journaux, professeurs en Sorbonne, concessionnaires des domaines coloniaux et des monopoles métropolitains, chevaliers, officiers de la Légion d’honneur, propriétaires des forêts et des châteaux historiques, seigneurs incontestés de la France.
Et la populace française les saluera bien bas.
Ils n’ont qu’une nationalité réelle : la nôtre, la nationalité juive.
Nous sommes des étrangers, hostes, hostiles, en tout pays ; et du même coup, nous nous trouvons chez nous en tout pays, quand nous y sommes les maîtres.
La France est aujourd’hui l’épée et le bouclier d’Israël.
Nous pouvons mettre sous les armes quatre millions de Français pour soutenir nos spéculations internationales, pour recouvrer nos grandes créances, pour délivrer nos frères opprimés, pour réaliser notre politique nationale.
Comment ose-t-on contester notre amour pour la France ?
Nous l’aimons comme un riche propriétaire aime son domaine, comme un chasseur aime son chien, comme un épicurien aime sa cave et sa maîtresse, comme un conquérant aime ses prétoriens d’élite.
Des juifs « hystériques », de ceux qui compromettent quelquefois nos affaires par leurs maladresses, ont menacé les Français « de les faire sortir de France ».
Ils voulaient parler des très rares Français qui osent encore se dresser contre nous : une poignée de fous, sans crédit, sans ressources, que leurs congénères lapideront à notre premier signe.
Mais que ferions-nous, par Jéovah ! de la France sans son bon peuple, bétail facile à tondre, docile au fouet, laborieux, économe, humble devant ses maîtres, productif au-delà de ce qu’on pouvait espérer de la Terre promise ?
Nous aimons les indigènes de France comme nous aimons la France ; ils sont le cheptel de notre ferme.
Le tout était de les mater.
C’est fait, et bien fait.
Les plus grands, les plus puissants journaux de France n’osent même plus imprimer le mot de juif, qui leur semble un peu rude, presque agressif. Pour eux, il n’existe plus de juifs.
En cas d’absolue nécessité, avec mille précautions, ils écrivent timidement : Israëlite.
Nous avons imposé le silence absolu sur notre domination, sur tout incident qui pourrait rappeler aux indigènes le fait de notre domination.
Cette merveilleuse discipline de la presse française vaut un chapitre à part. Je l’écrirai.
Notre victoire est si complète, notre conquête si définitive que nous ne permettons pas même aux Français de se souvenir qu’il y a eu bataille, qu’ils ont été jadis les maîtres du pays, que ce qui est n’a pas toujours été.
Et nous ne permettons pas qu’on le leur rappelle.
À vingt-cinq louis, à dix louis, nous trouvons tant que nous voulons des coupe-jarrets français pour intimider nos détracteurs, ou des juges pour les condamner, pour les bâillonner.
Tous les indigènes de France tremblent devant le maître juif comme les indigènes de l’Inde tremblent devant le maître anglais.
Non pas que le Français craigne de répandre le sang humain. Il a le même goût que les autres peuples pour le massacre, surtout pour le massacre des faibles et des vaincus.
À Madagascar, au Soudan, au Maroc, les Français ont fait et font encore de belles tueries.
En Chine, ils ont égalé ou dépassé l’épouvantable sadisme des Allemands et des Russes.
En France même, ils s’égorgent les uns les autres, à l’occasion, avec une implacable férocité ; la Révolution a exterminé méthodiquement près d’un million de Français en Vendée ; Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux ont vu des guillotinades, mitraillades, noyades, septembrisades qui font frémir.
En juin 1848, la bourgeoisie a détruit la moitié du vieux peuple de Paris, et elle a détruit le reste en mai 1871 ; de telle sorte que la grande ville intelligente, remuante, généreuse, n’étant plus peuplée que d’immigrés, qui accourent pour s’enrichir en exploitant les vices des oisifs et des rastaquouères, est tombée au niveau de Byzance : tourbe de baladins, de bouffons, d’entremetteuses, de catins et de valets ; proie facile pour les conquérants que nous sommes.
Mais ces mêmes Français, impitoyables aux autres, impitoyables entre eux, sont pris de terreur panique en présence du juif, leur maître.
Ils tueraient cent mille des leurs, plutôt que de faire tomber un cheveu de la tête du juif, leur maître.
Non seulement dans les assemblées, dans les cafés, dans les lieux publics, mais dans les salles de rédaction, chez eux, à leur propre table, les indigènes baissent la voix quand ils parlent de nous : comme faisaient les Italiens à Milan, sous la terreur autrichienne.
Ah ! France, chère France ! précieux Chanaan ! de quelles revanches et de quelles jouissances tu devais être pour nous la source !
C’est bien notre tour !
Depuis vingt siècles, nous avons enduré la violence et l’outrage ; nous avons courbé l’échine ; nous n’avons opposé que la bassesse à la brutalité.
Enfin nous avons trouvé plus résignés que nous, plus rampants que nous, plus couards que nous : les indigènes de France.
À nous de manier le fouet et le bâton ! À nous de dépouiller le vaincu et d’insulter l’esclave !
En attendant les belles nuits rouges du massacre, nous avons su déjà l’avilir, cet orgueilleux pays.
Notre frère Grümbach, que l’Alliance israélite a placé à la tête du service des naturalisations françaises, ne se contente pas de naturaliser par dizaines de mille nos compatriotes d’Allemagne, de Russie, de Pologne, de Roumanie, de Turquie, les hommes de renfort dont nous avons besoin pour occuper Paris ; non ; Grümbach naturalise aussi par fournées toute la lie de l’Europe, les repris de justice, les contumax, les bandits de tous les pays, dont il fait des citoyens français, des magistrats français, des diplomates français, des législateurs français et les principaux rédacteurs des principaux journaux français, pour présider aux destinées de la France et pour éclairer l’opinion française.
Ah! nous lui en fourrons, des poux dans le poil, au vieux lion avachi, avant de l’abattre !
Ah! nous l’aurons traînée sur le fumier, la belle France, la grande France, la glorieuse France, avant de l’achever!
Notre peuple – ignorant le temps, le siècle et l’heure,
Parmi les nations qui passent, SEUL DEMEURE.
NOTA. BENE. – Le gouvernement de la France conquise est exercé, pour le compte d’Israël, par deux organes dont les noms devraient être aussi familiers aux indigènes français que les noms de la Chambre et du Sénat.
1° Le Comité central de l’Alliance israélite universelle, composé de MM.
LEVEN (Narcisse), président, 9, rue d’Aumale.
NETTER (1e docteur), vice-président, 104, boulevard Saint-Germain.
SÉE (Eugène), 17, place des États-Unis.
MACHIELS (Jacques), trésorier, 90, avenue du Bois-de-Boulogne.
BERR (Ch.), 97, boulevard Haussmann.
BLOCH (Richard), 103, boulevard Malesherbes.
CAHEN (Albert), 53, rue Condorcet.
CARVALLO (Jules), à Tortose (Italie).
DREYFUSS (J.-H.), grand rabbin, 95, rue Taitbout
HANNAUX (Emmanuel), 174, boulevard Saint-Germain.
HESSE (Lucien), 350, rue Saint-Honoré.
LAZARD (Lucien), 1.9, rue Rochechouart.
LEVEN (Georges), 1, rue Lincoln.
LÉVI (le rabbin Israël), 54, rue La Bruyère.
LÉVI (S.), 9, rue Guy-de-la-Brosse.
LÉVY (Alfred), grand rabbin, 32, place Saint-Georges.
LYON (Camille), 89, boulevard Berthier.
MASSE (Édouard), 97, avenue Victor-Hugo.
MAYER (Gaston), 3, avenue Montaigne.
MEYER (Ferdinand), 22, rue de Lisbonne.
MONTEFIORE (Raoul), 5 bis, rue de Berri.
REINACH (Salomon), 4, rue de Traktir.
RICHTENBERQER (Eug.), 29, boulevard Malesherbes.
RODRIGUES-ELY (Camille), 2, boulevard Henri IV.
SÉE (Jacques), 132, avenue Victor-Hugo.
M.BIGART, chef du secrétariat.
2° Le Consistoire central, composé de MM.
LÉVY (Alfred), grand rabbin du Consistoire Central, 32, place Saint-Georges.
ROTHSCHILD (le baron Édouard de), président, délégué de Bordeaux, 2, rue Saint-Florentin.
LYON (Camille), C., vice-président, délégué de Lyon, 89, boulevard Berthier.
LEVYLIER (Emile), vice-président, délégué do Nancy, 116, avenue des Champs-Élysées.
LÉVY (Raphaël-Georges), trésorier, délégué de Marseille, 3, rue de Noisiel.
DREYFUS (René), secrétaire, délégué de Paris, 31, rue Octave-Feuillet.
ABOUCAYA(Léon), délégué d’Alger, 40, rue de Monceau.
ARON (Henri), délégué de Paris, 10, rue Auber.
ARON (Dr Léonard), délégué de la Meuse, 29, rue de Ponthieu.
BAZE (Armand), délégué de Besançon, 45, rue de Maubeuge.
BERNREIM (Marc), délégué de Rouen, à Elbeuf.
BERNREIM (A.), délégué de Lille, à Lille.
BICKART-SÉE (Edm.), délégué de Nancy, 19, place des États-Unis.
BLOCQ (Julien), délégué de Lunéville, 33, rue de la Bienfaisance.
COHEN (Samuel), délégué d’Oran, 31, aven. Victor-Hugo.
DEUTSCH (de la Meurthe) (Émile), délégué de Paris, 54, avenue d’Iéna.
DEUTSCH (de la Meurthe) (Henry), délégué de Constantine, 4, place des États-Unis.
FOULD (Alphonse), délégué de Nancy, 38, rue Pierre Charron.
GOLDSTADT,délégué de Nice, 60, faubourg Poissonnière.
GUGENHEIM (Bernard), délégué de Dijon, 10, place de la Banque, à Dijon.
HELBRONNER (Jacques), délégué de Paris, 132, avenue Henri-Martin.
KAHN (Nathan), délégué de Lyon, 7, place des Célestins à Lyon.
LANG (Ernest), délégué d’Épinal, 10, avenue Hoche.
LEHMANN (Joseph), délégué du rabbinat, 9, rue Vauquelin.
LEVEN (Narcisse), délégué de Paris, 9, rue d’Aumale.
LEVI (Israël), délégué du rabbinat, 54., rue La Bruyère.
LEVY (Raoul), délégué de Paris, 71, rue du Temple.
LEVYLIER (le Commandant Roger), délégué de Marseille, 29, rue Octave-Feuillet.
MASSE (Edouard), délégué de Paris, 97, avenue Victor Hugo.
MIRTIL (Eugène), délégué d’Oran, 6, rue de la Victoire.
MOCH (Fernand), délégué de Reims.
NAQUET-LAROQUE (le général Paul), délégué de Nîmes, 174, boulevard Haussmann.
PEREIRE (Gustave), délégué de Belfort, 35, rue du Faubourg-Saint- Honoré.
PICARD (Achille), délégué de Lyon, La Terrasse, à Écully (Rhône).
POETUS (J.), délégué de Sedan, 82, boulevard des Batignolles.
RODRIGUES-ELY (Camille), délégué de Bayonne, 2, boulevard Henri-IV.
ROTHSCHILD (le baron Edmond de), délégué de Paris, 41, rue du Faubourg-Saint-Honoré.
ROTHSCHILD (le baron Robert de), délégué de Paris, 43, avenue Friedland.
SAUPHAR (Lucien), délégué de Constantine, 31, rue Octave- Feuillet.
SCHWARTZ(Michel), délégué de Nantes, 14, rue Crébillon, Nantes.
SÉE (Eugène), délégué de Paris, 17, place des États-Unis.
LÉVY-VALENSI (Simon), délégué d’Alger, 109, rue de Courcelles.
CAHEN (Ab.), grand rabbin, secrétaire général de l’Union 9, rue Vauquelin.
Il est inconcevable que, dans les écoles de la République, on n’enseigne pas aux petits Français les noms de leurs maîtres et la composition du vrai gouvernement de la France.
références
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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