Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Walters Art Museum/Wikimedia Commons
Désolation et renouveau
Il y a une dizaine d’années, l’ouragan Juan frappa la ville de Halifax de plein fouet causant des dommages importants. J’étais, à l’époque, un résident de Halifax et j’ai vu, sur place, ce déchaînement de la nature (c’est une autre météo quand des deux par quatre volent dans les airs !).
Quelques jours plus tard, j’ai visité un terrain boisé des environs. C’était une scène de désolation. Presque tous les arbres avaient été déracinés par la tempête. Quelques îlots d’arbres tassés restaient encore debout. On devinait qu’ils avaient résisté parce qu’ils étaient ensemble, leurs branches entremêlées les avaient mutuellement renforcis. Un peu plus loin, un petit carré boisé semblait presqu’intouchée. Sa masse compacte et homogène l’avait probablement épargné. Ici et là, enfin, on voyait des arbres isolés qui avaient tenu. Ils se dressaient là, amochés et un peu décharnés mais toujours enracinés, alors que les autres, autour d’eux avaient été couchés.
Ce qui restait de ce bois était l’image même de la désolation. Un cataclysme soudain avait fauché une population saine ne laissant derrière lui que quelques îlots épars et des individus, isolés mais encore debout parmi les décombres.
En mars 2020, un cataclysme a frappé nos sociétés libres, paisibles et prospères. Ce cataclysme n’est pas cette épidémie virale plus virulente que les autres qui nous préoccupe tant. C’est l’agression mondiale fasciste, orchestrée par une poignée de milliardaires et de bureaucrates, qui a instrumentalisé cet événement sanitaire pour s’emparer des démocraties occidentales et asservir leurs populations. Il s’agit d’un putsch, planifié de longue date, qui se déploie avec la collaboration honteuse de gouvernants, de médias et d’églises qui font semblant de nous représenter tout en servant les intérêts d’un cartel mafieux.
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