Le Régime montre toutes ses dents et elles sont bien pourries. Lundi 14 juin à Bruxelles, Mitsotákis le faux Grec, a rencontré Erdogan… le vrai Turc dont la grand-mère serait-elle pourtant une hellène de la région du Pont-Euxin. Le grand jeu géopolitique est d’ailleurs arrêté depuis longtemps, situé entre Washington, Londres et Berlin.
Le cliché est suffisamment parlant. Le pion d’Athènes se fait photographier aux côtés du… fou du roi d’Ankara, car même Erdogan n’est pas un roi authentique ; les Turcs finiront par le découvrir tôt ou tard. Échec et mat.
Sinon pour le reste, le factice domine, le délire se généralise. La nouvelle taxinomie entre les vaccinés et les non-vaccinés occupe presque toute la sphère du vivant devenu invivable. Et d’abord, elle occupe toute la sphère du médiatique. Le Régime pavoise comme prévu. On a oublié Socrate, on tire à boulets… injectables sur les récalcitrants, la machine alors s’emballe… sauf qu’elle tient lieu et place de paravent percé, dissimulant à peine la machinerie planétaire.
Déjà en son temps, Luigi Alamanni l’humaniste florentin du XIVe siècle désireux de restituer Antigone de Sophocle au sujet de l’inusable nature humaine, n’avait guère trop hésité. « Parmi tous les autres animaux que la nature… créa jamais, sous aucun climat personne si l’on en juge bien n’est, plus que l’homme, nuisible et pervers ». Donc acte.
Ce n’est pas pour rien que la para-culture dite « Cancel », entend interdire nos classiques pour sitôt les effacer de notre patrimoine commun et ensuite de notre manière de cogiter. Nous ne pouvons déjà plus grand-chose pour ceux tombent dans ce panneau… Adieu théâtre !
La comédie du quotidien occupe encore tant les esprits définitivement défaits, mais en réalité, c’est leur dernière tragédie qui s’y déroule. Le XXIe siècle est d’emblée celui de la peur sans fin et des mutations génétiques humaines. C’est ce siècle, où l’avertissement jusque-là intemporel de Sophocle, aboutira à l’avènement d’un « avenir » dans lequel, cet avertissement deviendra au mieux… un truisme superflu. Car l’homme n’existera plus, tel en tout cas que nous le connaissons depuis tant de milliers d’années. Bienvenue dans l’enfer du méta-réel… quand il n’y aura plus d’échappatoire.
Grèce, année 2021, premier aperçu du nouveau siècle. Dans leur majorité, les… sujets de l’Empire, vaccinés ou pas d’ailleurs peu importe, vivent sous le régime de la logique inversée, celle du 2+2=5 bien chère aux initiés… mais toujours payée par tous les autres. Voilà par exemple une maladie bien difficile, échappée d’un laboratoire « Chinique », contre laquelle on ne « prévoit » pratiquement que les « vaccins », ou plus exactement les thérapies géniques sous licence provisoire.
Ensuite il y l’étrange calendrier des faits et des gestes. À Athènes, la… succursale de la gouvernance globale sous le psychopathe et nazillon Mitsotákis, avait déjà fait passé une loi datant du 11 mars 2020, c’est-à-dire quelques jours seulement avant le premier confinement général, pour rendre la vaccination obligatoire sous certaines conditions, suivant une certaine catégorisation des sujets… à traiter.
Et voilà que le dit « comité scientifique médical COVID-19 » toujours à Athènes, se permet de menacer ouvertement les sceptiques des vaccins, comme d’entretenir la psychose de l’ultime division sociétale… sans doute avant le clash prévu. Comité en réalité mafieux, désormais « protégé » par une récente loi, devant toute future et possible action en justice visant ses membres, dont le nombre exact reste au demeurant inconnu.
On ne rase plus gratuitement dans la boutique du Grand Reset et le COVID-19 n’est que le premier grand leurre plutôt réussi, dans l’entreprise de dissimulation de l’organisation panurgique comme « pénurique » du monde actuel défait, au profit des parasites et de leurs sbires.
Des damnés de la terre, aux damnés… de la tarte, il n’y a qu’un tout petit siècle d’écart. La boutique est en train de fermer… mais l’homme occidental court pour se faire vacciner car encore jeune actif par exemple, il doit « pouvoir se faire » ses deux voyages par an, si possible au-delà des frontières.
Des amis Belges nous ont-ils dit, qu’après leur vaccination, ils se sont mis à pleurer, car ils ont agi sous la pression et à contre-cœur. Comme dans tout totalitarisme, la frontière de l’abject tombe ainsi la première. Et sous notre régime de la démocrature, les frontières sont presque partout abolies… déjà au profit de la geôle.
Le temps historique s’accélère, sauf pour nos concitoyens décervelés. En 2010, c’était comme on disait alors « l’arrivée de la crise grecque » et un peuple alors fut tant malmené dès le départ dans cette première mutation primo-COVIDienne avant l’heure. Ni pseudo démocratie, ni partis, ni gauche, ni droite, ni syndicats et désormais, ni Église orthodoxe non plus.
L’autre jour dans la grande cathédrale d’Athènes, un ecclésiaste recevant deux fidèles a ouvert la discussion de la manière suivante. « Avez-vous été vaccinés, sinon il faut vite y aller ». « Le diable et la loge sont passés par là » comme l’estiment alors certains moines encore atypiques.
Plus terre à terre, une certaine imagerie populaire à Athènes d’il y a quelques années, avait déjà conceptualisé la dite Assemblée nationale comme relevant d’un univers, plutôt extraterrestre. Mais actuellement, c’est bien pire que cela ; car nous voilà donc dans le ventre du monstre ; et ce n’est d’ailleurs pas pour la première fois dans l’histoire.
Le totalitarisme, c’est d’abord le régime qui ne tolère aucun contre-pouvoir, ni contrôle. Par exemple, parmi les quelque trois mille juges que compte actuellement la Grèce, seule la juge de Paix Argyró Tégoutsik, a osé désapprouver publiquement la présente décrépitude du Logos.
« Dans une République démocratique, la Constitution ne permet aucune discrimination fondée sur des critères arbitraires, comme par exemple la participation ou non des citoyens à la pratique à grande échelle, d’une préparation injectable expérimentale », radio Focus FM de Thessalonique.
Bonne blague. Ou sinon, comme l’avait discerné Eunape en son temps, « il est plus difficile de comprendre les oracles que de les obtenir ».
Au passage, le Régime « extermine » autant Thucydide, et en même temps il impose sa dalle de béton coulée autour du Parthénon pour sitôt… louer l’Acropole à la société Dior… pour le tournage de sa publicité et cela, pour 21 100 euros. Il y a à parier que sous peu, on cédera Delphes et son Aurige à Coca-Cola, en lieu et place de l’eau jadis purifiante de la source de Castalie. Elle jaillissait comme on sait des pentes des Phédriades, mais c’était il y a bien si longtemps.
Delphes, ce n’est désormais qu’un site parmi d’autres pour nos touristes et encore, tandis que dans un cheminement parallèle depuis près de deux siècles, la médecine Rothschildienne s’est progressivement imposée partout, et d’abord en Occident. Et en ce siècle ultime qui est le nôtre, le Régime montre ses crocs quand Hippocrate… n’a visiblement plus toutes ses dents.
Nous vivons actuellement sous un déluge de l’insignifiance sans précédent. Cette dernière, depuis sa montée à travers un processus déjà analysé il y a près de quarante ans par Cornelius Castoriadis, atteint désormais de nouveaux sommets. Ainsi, les médecins inféodés au Régime, omniprésents sur les télés poubelles, incarnent le rôle de geôliers terroristes, officiels, mandatés et qui plus est, grassement payés par les alchimistes mondiaux du médicament réellement existant.
Les médecins, les juges, les universitaires, les dignitaires de l’Orthodoxie vampirisée et d’abord les politiciens actuels, qui deviennent manifestement les chiens de garde des leurs vrais patrons, ces éternels… Domini Canis, et la boucle est ainsi bouclée.
Le reste, ce n’est que de la propagande à consommer avant sa crémation finale avec Netflix, au besoin avec du pop-corn pour tous ceux dont le Logos est débranché depuis un moment déjà.
Les devises et autant faux dilemmes imposés par le Régime sont du type « le vaccin ou mort », mort, soit par le coronavirus soit par la privation des libertés pour les non-vaccinés mais en réalité pour tous, faisant délibérément référence à l’autre devise tristement célèbre des camps allemands, « le travail rend libre ».
Comprenons-le, la chronologie œcuménique actuelle, celle du dernier eugénisme a été finalement largement organisée et préparée.
On se rappellera par exemple qu’Axel Kahn, le généticien et essayiste, avait déjà constaté dans les années 1990 que le Code de Nuremberg, le fameux Nürnberger Kodex avait été pleinement violé en matière d’expériences médicales avec des humains, à commencer par certains athlètes. Désormais, Axel Kahn nous dit en substance, que les expériences sur les humains seront non seulement possibles mais alors inévitables.
Le corps humain n’appartient plus à l’ordre de la nature, de même que la réalité, elle n’appartient plus à la scène de la vie… devenue désormais marginale. L’avenir imposé entend se référer à un corps cyborg artificiellement humanoïde, intégré au sein d’une évidence virtuelle en réseau, et c’est ce dont les lobbies internationaux travaillent en ce moment pour édifier la condition de la post-humanisation à tous les niveaux… pendant que les gens se croient assaillis par… le seul COVID-19.
Du COVID donc, un peu de pain, des jeux et des spectacles. Dans les récentes petites affaires grecques, il a été question de tennis dans les médias, rien déjà que pour amuser la galerie… des galeux. Au-delà d’ailleurs de la finale de Roland-Garros, disputée entre le Grec Stéfanos Tsitsipás et le vainqueur serbe Novak Djokovic, la clique de la vomissure journalistique en vogue à Athènes et bien au-delà parfois, a cru bon nous informer de l’idylle entre la championne de tennis María Sákkari et le fiston de Mitsotákis, le jeune Konstantínos.
Puisque le pion Mitsotákis vient de rencontrer… le fou du roi d’Ankara, rappelons à cette occasion que Kóstas Sákkaris, le père de María Sákkari n’est autre que le propriétaire de la société Victory Enterntainment, initiatrice et gérante exclusive en Grèce de l’ensemble des séries télévisées turques. Un… Cheval de Troie parmi tant d’autres, de la propagande néo-ottomane depuis près de vingt ans.
Pour parfaire cette propagande qui est en même temps une bien juteuse affaire, sa fille, María Sákkari a rencontré à maintes reprises les protagonistes et les producteurs des dites séries, tout ce beau monde dépêché depuis Ankara ou depuis Constantinople. Avant de tomber tout naturellement, dans les bras de la progéniture de Kyriákos Mitsotákis. Une affaire comme on dit de famille, voire… de la mafia. Car, le clan des Mitsotákis, est également lié à celui de la famille Erdogan. Agents comme on dit, bien dystopiques.
Revenons pourtant à l’autre versant de l’essentiel. Le Régime organise désormais la bagarre allant jusqu’à l’anthropophagie, entre les vaccinés et… les sceptiques. Et pendant ce temps, la poussé totalitaire avance aussi vite que la putréfaction généralisée.
Athènes par exemple, à travers son centre-ville renommé que l’on montre encore avec tant d’amour meurtri et de nostalgie… aux rares touristes est déjà un cadavre en état de décomposition avancée. Boucherie humaine et viande avariée alors s’y mêlent, parfois même sous la mélodie du dernier bouzouki, celui aux mains de Grecs paupérisés et déracinés… pourtant chez eux. Échec et mat !
Le Régime montre donc toutes ses dents, en Grèce, comme ailleurs. En mars dernier, tirant la sonnette d’alarme devant la dystopie totalitaire émergente, Mattias Desmet, psychothérapeute et professeur de psychologie clinique à l’université de Gand a accordé un entretien intéressant à Patrick Dewals.
« Peu de phénomènes ont eu un impact profond au niveau mondial aussi rapidement que l’actuelle épidémie de Coronavirus. En un rien de temps, la vie humaine a été complètement réorganisée. Aujourd’hui, le virus crée la peur nécessaire sur laquelle repose le totalitarisme. La découverte d’un vaccin et la campagne de vaccination qui s’ensuivra permettront-elles d’apaiser cette peur et de mettre fin à cette flambée totalitaire ? »
« Mattias Desmet : Un vaccin ne résoudra pas l’impasse actuelle. Car en vérité, cette crise n’est pas une crise sanitaire, il s’agit d’une profonde crise sociale et même culturelle. D’ailleurs, le gouvernement a déjà annoncé qu’après la vaccination, les mesures ne disparaîtront pas comme ça ».
« Je prévois plutôt ce scénario : malgré toutes les études prometteuses, le vaccin n’apportera pas de solution. Et l’aveuglement qu’entraîne le conditionnement social et la totalitarisation fera porter le chapeau à ceux qui ne suivent pas la narration officielle et/ou refusent de se faire vacciner. Ils serviront de boucs émissaires ».
« On tentera de les faire taire. Et si cela réussit, le point de basculement redouté dans le processus de totalitarisation arrivera : ce n’est qu’après avoir complètement éliminé l’opposition que l’État totalitaire montrera sa forme la plus agressive. Il devient alors – pour reprendre les termes d’Hannah Arendt – un monstre qui mange ses propres enfants. En d’autres termes, le pire est peut-être encore à venir ».
Le factice domine, le délire se généralise. On a oublié Socrate… et pourtant des sceptiques, il y en a qui se trainent encore entre l’Agora et les Propylées.
Hermès, bien de chez nous, se montre aussi sceptique parfois. Il y a de quoi en ce moment, y compris dans sa vie de chat. L’autre jour par exemple, la campagne de stérilisation visant ses frère et sœurs adespotes, n’a pas été toujours exemplaire. C’est le moins que l’on puisse dire. Affaire accessoirement de sous et d’ONG… votre blog, au besoin animalier, reviendra bien entendu prochainement sur cette triste affaire.
Rosa, une chatte mal soignée a été amenée d’urgence chez un autre vétérinaire, cette fois-ci près d’Épidaure. « Parmi tous les autres animaux que la nature… créa jamais, sous aucun climat personne si l’on en juge bien n’est, plus que l’homme, nuisible et pervers ».
Sauvons donc Rosa sous les auspices d’Esculape. Oui, Épidaure ; enfin Épidaure. Quand l’écrivain américain Henry Miller se rendit sur place à la fin des années 1930, il fut si enthousiasmé par le paysage qu’il écrivit dans « Le colosse de Maroússi ».
« La route d’Épidaure est celle de la création. On ne cherche plus. On se tait, peu à peu réduit au silence par la paix qui descend des commencements mystérieux ».
À la fin des années 2030, aurons-nous encore le choix de nos derniers moments, entre la route de la création et celle… de la dystopie ? Mais d’abord, sauvons donc Rosa.
source : http://www.greekcrisis.fr
envoyé par Nicolas Bonnal
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