par Charles André.
Afin que le feuilleton Covid-19 ne s’étiole pas et puisse nous offrir une troisième saison plus dramaturgique que les deux précédentes, l’exécutif a mandaté le professeur Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique, pour tenir les assiettes au chaud. Celui-ci s’est donc invité dans la matinale de RTL, mardi dernier 8 juin. Pour quelle annonce majeure ? Et bien, l’arrivée du variant indien, pardi, qui surclasse désormais le variant anglais ! C’est prévu pour la rentrée, nous dit-il, « à l’horizon de septembre-octobre ». Le décor est planté, les acteurs sont prêts, on attend les trois coups du brigadier…
À moins, à moins, souligne notre émissaire du gouvernement, « que le niveau de vaccination des Français soit très élevé ». Nous y voilà ! Et de prédire que la vague à venir sera différente « car on aura la vaccination ». Ben voyons ! Le méchant variant indien est bien plus virulent que ses comparses mais « il va trouver en face de lui une population avec des vaccins qui vont la protéger en partie ». Nous voilà donc rassurés… À condition de croire à l’efficacité des vaccins contre les différents variants, qui vont se multiplier, et à l’absence d’effets secondaires – tous ces vaccins étant expérimentaux jusqu’en 2023, faut-il le rappeler. D’où la restriction du professeur Delfraissy, sans doute.
Tout ça pourquoi ? Pour appuyer l’annonce faite par le président de la République concernant le port du masque « qu’il sera très difficile de garder après le 30 juin ». Tout le monde avait fort bien compris que nous serions délivrés de la muselière durant l’été, était-il nécessaire de nous mettre les points sur le « i » ? Affirmatif : il fallait donner des gages de plus pour que les les Français vaquent sans souci et, surtout, pour que le tourisme puisse tourner à plein régime. Alors, allez‑y allègrement, bonnes gens, faites circuler les virus afin que l’on puisse vous servir, à l’automne, un psychodrame plus angoissant que les précédents.
Dans le même temps, comme dirait l’autre, on découvre que la prétendue pandémie a permis de monter une spectaculaire opération de désinformation et d’intoxication pour soumettre les gouvernements et anesthésier les peuples. Quand tout à commencé à Wuhan, il était très politiquement incorrect d’insinuer que le virus avait pour origine une erreur de manipulation en laboratoire. Quant à se hasarder à soupçonner une opération programmée, c’était direct le pilori pour conspiratonnisme. Aujourd’hui le voile commence à se déchirer.
Aux USA, le docteur Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (une des 27 agences du Département de la Santé), est l’homme qui est parvenu à s’imposer outre-Atlantique comme le gestionnaire en chef de la prétendue pandémie.
Cet agent patenté du globalisme avait pour mission de protéger la Chine en martelant que l’origine du virus était naturelle, mais aussi de traumatiser les populations par des informations anxiogènes et de dramatiser systématiquement la situation pour justifier le confinement dur ainsi que l’emprise de l’État sur la vie des gens.
Toutefois, ce suppôt de Biden n’a pas su empêcher que des petits curieux mettent leur nez dans ses affaires. Et ces fouineurs sont tombés sur 3 000 pages de courriels révélant son rôle d’avocat du parti communiste chinois et l’avalanche de mensonges qui en est résultée. Les sénateurs Marsha Blackburn et Marco Rubio ainsi que le député Kevin Mc Carthy accusent désormais à Fauci d’être à l’origine du rejet ferme et définitif de toute enquête sur le fameux laboratoire chinois de Wuhan. Ils lui reprochent en outre d’avoir grossièrement surestimé le taux de létalité du Covid-19, d’avoir étouffé toute information sur les remèdes efficaces – qui auraient pu sauver 85% des victimes – et d’avoir condamné le gouverneur de Floride, premier État à s’être libéré des contraintes sanitaires.
Pourquoi Fauci a‑t-il déployé ces efforts démesurés pour innocenter la Chine ? Tout simplement parce que le « Deep State » sait que la Chine est incontournable, voire indispensable, dans la logique du Nouvel Ordre mondial. Fauci a donc bataillé ferme – et continue à le faire – pour sortir l’Empire du Milieu d’un très mauvais pas. Selon Sir Richard Dearlove, ex-chef des services de renseignements britanniques, les preuves irréfutables qui mettraient la Chine au banc des nations ont été détruites dans les jours qui ont suivi la machination. En innocentant la Chine, Fauci se prémunit aussi d’accusations de complicité dans le financement du laboratoire de Wuhan par les contribuables américains car, si ce dernier s’avérait être la cause de la mort de plusieurs centaines de milliers de concitoyens, ce serait, aux yeux des Yankees, absolument impardonnable.
Pour l’instant, Fauci bénéficie du soutien de son président Joe Biden. Mais pour combien de temps encore ? L’étau se referme sur lui. Cet agent du bolcho-globalisme, maître des manœuvres, des mots à double sens, des annonces à tiroirs, des déclarations « fadées », affirmant tout et son contraire avec aplomb, est désormais dans le collimateur des Républicains qui exigent des explications, une audition devant le Congrès et sa démission. D’autant que le scepticisme à son égard a gagné les rangs démocrates. Affaire à suivre de très près, donc.
Ceux qui s’imaginent que cette affaire américaine ne nous concerne guère, ou de très loin, font gravement erreur. Cette affaire remet en cause la gestion de la crise sanitaire par l’Europe, et la France en particulier, résultant d’une attitude, a minima suiviste, au pire complice, dont les dégâts dans tous les domaines, mais surtout économiques et psychologiques, sont considérables. Les stratèges internationaux du bolcho-globalisme sont à la manœuvre avec les vieilles méthodes d’intoxication destinées à perturber les esprits pour mieux les soumettre. Les Français devraient se méfier au lieu de se bousculer dans les vaccinodrômes.
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir ».
Illustration : « Le déchirement du voile » (1869), tableau de William Bell Scott (1811−1890)
source : https://www.nice-provence.info
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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