Il a lancé les termes de « démonocratie » et d’ »idéaste ».
Comme exemple de démonocratie, il cite le Vénézuela et autres pays latino-américains comme la Bolivie. La démonocratie selon lui, c’est la fausse démocratie dans laquelle le pouvoir, s’appuyant sur le suffrage universel, chauffe à feu lent le peuple comme une grenouille dans une casserole jusqu’à le cuire à son goût.
Contre les démonocrates (nationalistes ou latino-communistes ?), il exalte l’idéaste. Ce dernier est créatif et a des idées révolutionnaires en permanence. Grâce à son activité cérébrale, l’économie fonctionne et le peuple bosse (vraiment) content et sans moufter.
Roemer a été couvert d’honneurs par les instances mondialistes : Centre Simon Wiesenthal, pour avoir revendiqué Jérusalem « juif et chrétien » en 2016 ce qui lui fit perdre son emploi à l’Unesco, la banque, Microsoft, la république d’Autriche, les droits de l’homme, les séfarades de New York, Berkeley, la culture, les médias tant mexicains qu’états-uniens, etc.
Il a beaucoup écrit, et donné des conférences dans tous les endroits du monde mondialiste, sur de nombreux sujets d’intérêt mondialiste.
Il n’a pas de métier défini ni de diplôme réellement scientifique. Il est conseiller, intellectuel, conférencier, ambassadeur honorifique… Apparemment ne sait rien faire de ses dix doigts, sauf des tripotages.
Il est donc important qu’il soit l’objet d’un mandat d’extradition, lancé par un président latino-américain sympathisant de Chavez. AMLO, le président mexicain, a-t-il la moindre chance de voir extradé ce personnage ? Israël n’extrade pas. Cependant des forces supérieures sont-elles à l’origine du mandat ?
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