Monsieur Alain Soral tient un discours qui encourage les Français à penser par eux-mêmes, et leur rappelle qu’ils ont une volonté propre qui leur a été subtilisée à coup d’ingénierie sociale, en proposant une lecture des évènements politiques en contradiction avec la réalité collective médiatiquement induite.
Le discours soralien permet au bétail électoral de comprendre qu’il est « tenu » et bien tenu en laisse, et il est interdit de le dire, car comme on disait jadis : « si cela se dit, c’est que cela se peut ».
Pour ma part, Monsieur Soral a toute ma considération, car il m’a permis de me libérer en m’aidant à prendre conscience du conditionnement dont j’étais victime, en m’expliquant que la réalité collective ce n’est pas la réalité, et surtout que j’avais le droit de douter et le devoir de m’interroger sur le discours officiel.
C’est ce qui m’a permis de comprendre combien ce pays est aimable, et de m’évader du camp des bourreaux de la France pour me ranger du côté des vraies victimes des intégristes du gauchisme alternant.
Dans une démocrature oligarchique, le bétail productif n’est pas autorisé à tirer sur sa laisse, tout comme il n’est pas autorisé à réfléchir sur l’existence même de sa laisse démocratique, surtout au moment où on lui enfile un collier anti traction, un masque anti aboiement, et une laisse sanitaire automatique rétractable à volonté.
Tel un sacrifice rituel adressé par un prêtre universitaire, cette thèse goguenarde et veule, n’est pas juste une attaque de plus contre Alain Soral c’est une confirmation de déclaration de guerre du monde universitaire contre les Français, elle porte lâchement l’estocade à un peuple mis à genou de fractures sociales en fractures numériques, cela me rappelle un proverbe arabe : « celui qui veut faire le bien cherche des solutions, celui qui ne veut rien faire cherche des coupables ou des raisons de ne rien faire ».
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