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.Après son action dans près de 200 maladies parasitaires chez l’animal, action également toujours chez l’animal dans quelques cancers, dans nombre d’infections bactériennes, virale comme le virus de la pseudo rage porcine, (virus à ARN comme le Sars-Cov-2), l’ivermectine n’a pas fini de nous étonner et mérite bien son prix Nobel. Je l’avais mise sur le podium des meilleurs médicaments depuis des siècles, au même titre que l’aspirine et la pénicilline, je confirme avec une nouvelle découverte.
Voilà que l’ivermectine serait un médicament prometteur contre la Sclérose en plaques ! En favorisant l’activité d’un récepteur appelé P2X4R qui est présent dans les cellules microgliales du système nerveux central, l’ivermectine a atténué les manifestations cliniques de l’encéphalomyélite expérimentale de la souris, maladie auto-immune induite similaire à la SEP chez l’homme.
« Les résultats de notre étude identifient P2X4R comme un modulateur clé de la polarisation microglie/macrophage et soutiennent l’utilisation de l'[ivermectine pour potentialiser un commutateur microglie/macrophage qui favorise la remyélinisation dans la SEP », ont conclu les chercheurs. Plus précisément, ces chercheurs ont vu des preuves suggérant que l’ivermectine était « un candidat potentiel parmi les médicaments actuellement utilisés pour favoriser la réparation des dommages à la myéline », ont-ils écrit.
Le traitement, administré après le début de la maladie, s’est avéré induire un soulagement rapide et significatif des symptômes moteurs de la maladie. Ces changements étaient accompagnés de preuves d’une récupération efficace de la myéline avec remyélinisation ainsi qu’une diminution significative des facteurs pro-inflammatoires et une augmentation des agents anti-inflammatoires.
Une réponse microgliale exacerbée est connue pour contribuer à la progression de la SEP en soutenant un état inflammatoire dommageable, et lorsque les chercheurs ont bloqué l’activité de P2X4R chez les souris EAE avec un inhibiteur chimique, les symptômes de la maladie se sont progressivement aggravés. D’autres tests ont montré que le P2X4R augmentait l’inflammation et empêchait les cellules nerveuses de récupérer la perte de leur gaine protectrice de myéline.
Aucun médicament au monde ne présente une telle palette de thérapeutiques possibles, avec de plus aussi peu d’effets indésirables. Je suis persuadé que ce n’est pas fini (savez vous par exemple que les moustiques porteurs de palu et autres cochonneries qui viennent piquer une vache traitée, en meurent ?). Elle n’est pas sur la plus haute marche du podium, elle est totalement hors catégorie. C’est sans doute pour cela que tous les laboratoires cherchent à la disqualifier. Elle fait trop d’ombre aux autres traitements.
Un autre miracle est la confirmation jour après jour de ce qui s’est passé en Inde, dans les États qui ont utilisé l’Ivermectine, avec résolution très rapide d’une vague annoncée par tous les médias comme une catastrophe qui allait faire des ravages, médias qui depuis se taisent sur ce qui se passe. Black-out total. L’Uttar Pradesh est passé à moins de 1 000 cas/jour, 3 fois grand comme la France, cela ferait 300 cas chez nous, à l’heure où on se félicite de passer en dessous des 5 000 cas/jour ! Idem dans les États comme Delhi et Goa. Ces 3 États ont réduit de 98% les cas par rapport au pic de fin avril (37 000 cas pour Uttar Pradesh, 28 000 pour Delhi).
Depuis c’est la guerre dans ce pays entre les différentes instances médicales nationales sous pression de l’OMS et de Merck, à coup de communiqués qui autorisent ou interdisent l’ivermectine. Ils sont devenus fous de voir ces résultats, mais les États responsables, eux, ne bougent pas et maintiennent la ligne. Le Ministère de la Santé, après avoir autorisé dans un protocole, interdirait maintenant tout traitement précoce. Signalons au passage que le ministre de la Santé est président du Conseil Exécutif de l’OMS depuis mai 2020, et que l’OMS a de suite fait des communiqués pour déconseiller l’Ivermectine dès le début des traitements, plainte a d’ailleurs été déposée à ce sujet, la non-assistance à personne en danger est caractérisée. On a ensuite eu droit à un communiqué de l’OMS se félicitant d’être intervenue dans cet État pour réduire l’épidémie, en supervisant 2 000 équipes et en distribuant des kits de traitements, se gardant bien de dire ce qu’il y avait dedans. De l’ivermectine, bien sûr, mais ce produit n’existe pas à l’OMS. Et plus récemment, on a eu droit à un autre communiqué de victoire après la supposée interdiction (pas encore très clair). L’OMS qui se félicite quand on ne traite pas, se félicite que l’on interdise les traitements qu’elle a distribué. On aura tout vu !
Pour terminer, un petit comparatif entre un pays qui utilise l’ivermectine, et un pays qui le refuse pour ne pas gêner sa campagne vaccinale.
Les chiffres viennent de l’Université John Hopkins, ce sont les chiffres journaliers moyennés sur 7 jours pour éviter les cassures de WE. Ces chiffres sont rapportés par million d’habitants, pour comparer 2 pays à population inégale. On peut voir aussi que la vague indienne, comme je l’ai dit depuis le premier jour, est très inférieure en intensité à ce que connaissait la France. On voit aussi que l’ivermectine a bien marché sur le variant indien. Enfin certains vous diront que les chiffres indiens sont minorés, si c’est le cas, cela n’a ici aucune importance pour suivre une évolution sur plusieurs mois, les conditions de recueil étant les mêmes sur toute la période.
source : https://blog-gerard.maudrux.fr
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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