Pour commencer, quelques informations supplémentaires sur le docteur Fauci et son éthique dans la recherche scientifique.
David Daleiden, fondateur de l’organisation Center for Medical Progress a témoigné le 4 mai devant le Pennsylvania Health Committee.
Daleiden a décrit l’utilisation de nourrissons avortés lors d’expériences à l’Université de Pittsburgh.
Dans une étude récente, des scientifiques de l’université ont utilisé des bébés avortés de 5 mois, les ont scalpés et ont greffé leur cuir chevelu sur le dos de rats de laboratoire, vivants, pour les faire grandir.
Ce type d’étude éthiquement incompréhensible s’est produit grâce à plusieurs subventions, dont une subvention de 430 000 $ du bureau du NIAID du Dr Fauci au NIH.
Daleiden a également témoigné que dans une autre étude, le Dr Jorg Gerlash prélevait les foies les plus frais de bébés avortés de 5 mois afin d’isoler un nombre massif de cellules souches pour des greffes expérimentales.
Cette technique nécessite l’avortement de fœtus tardifs vivants via le déclenchement du travail.
Le scientifique a reçu 3 millions de dollars de financement du NIH.
Sans surprise, Planned Parenthood, un organisme de planification familiale aux États-Unis, a été le principal fournisseur de fœtus à l’Université de Pittsburgh.
En retour, l’université parraine et finance les opérations de Planned Parenthood.
Le sénateur républicain James Lankford a déclaré : « Nous ne devrions pas avoir besoin de préciser dans la loi que la création d’hybrides animal-humain est éthiquement impensable, mais malheureusement, tous mes collègues ne sont pas d’accord…
Les chercheurs qui tentent ces horribles expériences, autrefois réserver à la science-fiction, devraient se concentrer sur valoriser la dignité de la vie humaine, ne pas essayer de fusionner génétiquement et de manipuler les humains et les animaux. »
Actuellement, Student for Life demande la démission ou le licenciement de Fauci.
Son président Kristan Hawkins a déclaré : «Les dommages causés par le Dr.Fauci à la vie humaine ne commencent et ne se terminent pas par des allégations autour d’un laboratoire de recherche en Chine…
Des expérimentations horribles se déroulent en ce moment, ici même aux États-Unis, à l’Université de Pittsburgh et ailleurs… Fauci doit démissionner. »
Dans une émission du magazine "60 minutes", la journaliste Lesley Stahl a interviewé des adolescents ayant subi une opération de changement de sexe mais le regrettant plus tard profondément.
Certains d’entre eux sont devenus suicidaires.
Les opérations de changement de sexe irréversibles et dommageables pour le corps sont quelque chose que la société mentionne rarement.
Les groupes militants associés ont intentionnellement caché l’implication médicale de ces opérations, tout en propageant haut et fort des histoires de transgenres « positives » sur Internet ou à la télévision…
Seules les histoires heureuses sont publiées.
Alors en découvrant les interviews de Stahl, des militants LGBTQ furieux l’ont appelée, affirmant que la journaliste de CBS « aurait dû se concentrer sur des histoires trans positives ».
Ils ont affirmé que les histoires de transition ratées sont une insulte à la communauté trans.
La dernière chose que les partisans radicaux des LGBTQ veulent voir, ce sont les jeunes transgenres eux-mêmes qui racontent le côté obscur de l’histoire.
L’épisode de 60 minutes n’était pas une insulte aux transgenres ; c’était plutôt une critique de l’industrie tournant autour.
L’ancien président Donald Trump est revenu sur la scène politique samedi avec un discours à la Convention républicaine de Caroline du Nord, où il a dénoncé son successeur et a prédit que le parti républicain triompherait aux élections de mi-mandat de 2022.
Trump a adopté un ton plus modéré bien qu’il s’en soit pris à la direction actuelle du pays, s’attaquant à la hausse des taux d’inflation, à l’annulation du pipeline Keystone et aux relations étrangères.
La vice-présidente Kamala Harris a été accueillie lundi par des manifestants au Guatemala lui disant « Trump a gagné » et « rentrer chez vous »
Le président du pays a blâmé Biden pour la crise des migrants.
Par ailleurs, de nouvelles preuves montrent que Facebook est également un acteur important dans la crise migratoire.
Un nombre important de publications et de publicités sur la plate-forme propose de faciliter les franchissements illégaux de la frontière.
Les passeurs font ouvertement la publicité de leurs services sur Facebook.
Source : Lire l'article complet par Carrefours du monde
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