par Jacques Henry.
Pourquoi l’OMS a interdit l’hydroxychloroquine en 2020 et plus récemment l’ivermectine pour le traitement précoce et la prophylaxie contre le SARS-CoV-2 ? C’est une grave question que chacun est en droit de se poser. À cette question il est opportun d’en adjoindre une autre : les États, souverains, sont-ils tenus de suivre à la lettre les recommandations de l’OMS ? J’ignore quels sont en détail les statuts de l’OMS mais compte tenu de l’opacité entourant les décisions de cet organisme et la participation à hauteur de 15% de la Fondation Gates associée au GAVI l’activité de l’OMS est par conséquent contestable. Les recommandations de l’OMS au sujet des traitements précoces contre le SARS-CoV-2 ont été contestées officiellement par le Ministère de la Santé du Sénégal mais de nombreux pays ont autorisé la prescription par les médecins traitants de l’hydroxychloroquine, au Mexique, dans de nombreux pays d’Amérique du Sud, en Afrique et en Extrême-Orient. Il y a une nuance de taille entre la recommandation et l’interdiction. L’OMS a recommandé le Remdesivir et s’est ravisée quelques mois plus tard en déclarant que ce produit était « déconseillé », un épisode qui révèle à quel point cet organisme est corrompu ou, dans un langage plus diplomatique, perméable aux pressions des laboratoires pharmaceutiques. Il est nécessaire de rappeler ici que l’Union européenne a commandé pour un milliard d’euros de doses de cet antiviral fantôme quelques heures avant que l’OMS n’en déconseille l’utilisation. Il faut être aveugle pour ne pas se rendre compte que cet organisme est complètement pourri de l’intérieur.
L’Inde est une fédération d’États et le gouvernement central dispose de peu de pouvoirs en matière de santé car ce sont les États qui prennent les dispositions adéquates pour la santé de leurs populations. Il en est de même au Mexique ou encore au Brésil. Au niveau des actions en justice l’Inde a nettement pris de l’avant attaque l’OMS. La cour de justice de l’État du Maharashtra dont la capitale est Mumbai a donc décidé d’attaquer l’OMS non seulement au sujet de l’interdiction de la prescription de l’hydroxychloroquine mais également de celle de l’ivermectine. C’est une première depuis que cet organisme supranational existe car il a été créé en 1947 et bien que sous son impulsion de grandes réussites aient été achevées comme l’éradication de la variole ou la quasi élimination de la polyomyélite le vieillissement aidant cet organisme est maintenant totalement corrompu par les laboratoires pharmaceutiques.
Ces interdictions des traitements précoces du SRAS-CoV-2 sont à l’évidence téléphonées par ces laboratoires qui ont réalisé à ce jour 400 milliards de dollars de profits. Ces profits sont réalisés avec un produit expérimental dont ils ignorent les effets sur la durée. De plus ils ont obtenu des gouvernements occidentaux qu’ils soient lavés de toute responsabilité juridique mettant en avant le caractère d’urgence pour immuniser massivement les populations afin d’éradiquer le virus. C’est tout simplement de l’escroquerie, un scandale planétaire qu’il faut dénoncer. Une multitude d’avocats s’occupent de ce scandale et je suis impatient d’assister au résultat de ces actions.
L’enseignement à tirer de cette affaire est clair : il ne faut pas politiser la santé, ce domaine est du ressort des médecins et d’eux seuls. Dans cette corporation il y a aussi des brebis galeuses vendues au lobby pharmaceutique. Il faut les poursuivre en justice également et faire en sorte qu’elles soient emprisonnées pour des motifs très évidents : mise en danger d’autrui et non respect des principes fondamentaux de la médecine ayant entrainé la mort. Peut-être qu’en France, seulement, 50 000 morts auraient pu être sauvés et dans le monde des centaines de milliers des vies auraient pu été épargnées. C’est une attitude massivement criminelle qu’il est urgent de dénoncer. L’OMS est complice dans cette sombre histoire mais également les gouvernements. Les mois à venir vont être passionnants …
Inspiré d’un article paru sur le site de France-Soir. Prochain article sur ce sujet, le cas du Texas. Je rappelle à mes lecteurs que j’exprime mes propres opinions mais qu’en aucun cas on peut me qualifier de « complotiste ».
source : https://jacqueshenry.wordpress.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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