Par Gérard Delépine
[Illustration : © Crédit photo : Archives AFP / Capture SO]
Une propagande sans précédent répétée depuis des mois conditionne les Français à se faire « vacciner » par des médicaments expérimentaux qui ne sont pas de réels vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes, mais un code génétique censé stimuler la création d’anticorps). Cette propagande répète sans arrêt que l’épidémie ne sera pas vaincue tant que la couverture vaccinale ne dépassera pas les 70 % et tant que les enfants ne seront pas vaccinés. Et que nos libertés inutilement confisquées ne nous seront pas rendues avant.
Cette propagande totalement mensongère ne vise qu’à faire injecter les tonnes de vaccin achetées par nos gouvernants qui risquent de leur rester sur les bras comme les vaccins H1N1 de Mme Bachelot en 2009.
Quelle est réellement la situation vaccinale en France ?
Depuis le début de la campagne de vaccination, 26 583 112 personnes ont reçu au moins une injection (soit 39,7 % de la population totale) et 11 452 053 personnes ont reçu deux injections (soit 17,1 % de la population totale et 21,8 % de la population majeure). D’après les apôtres de la vaccination, cette couverture vaccinale est totalement insuffisante pour prétendre agir sur le cours de l’épidémie. (Chiffres officiels du ministère de la Santé.
Comment évolue l’épidémie en France ?
Mais depuis deux mois l’épidémie s’éteint avec un nombre de nouvelles contaminations quotidiennes en chute libre (diminution de 80 % entre début avril et fin mai 2021.
Cette chute des contaminations journalières déclarées à l’OMS est confirmée par le réseau Sentinelle : en semaine 21 (celle du 24 mai 2021), le taux d’incidence des cas de COVID-19 vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants.
Rappelons qu’en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100.000 habitants et celui de la diarrhée aiguë (gastro-entérite) était de 194 cas pour 100.000 habitants.
En France, l’épidémie de Covid est donc terminée depuis plus de 2 mois. Cette évolution spontanément régressive évoque celle des grippes saisonnières. Il est scandaleux que ces bonnes nouvelles ne fassent pas la une des médias, car elles permettraient à la population de reprendre confiance en l’avenir. Et de libérer enfin le pays de toutes les contraintes sans intérêt sanitaire qui briment encore la population alors que la quasi-totalité des États américains s’en sont débarrassées, sans qu’aucune reprise des contaminations n’ait été observée.
Cette disparition de l’épidémie en France ne peut en aucun cas être attribuée à la vaccination, car, quand elle a commencé, début avril, moins de 7 % de la population était complètement vaccinée.
Qu’en est-il aux USA ?
Ce recul spontané de l’épidémie est également observé aux USA depuis début janvier, date à laquelle moins de 3 % de la population avaient reçu deux doses
Comment évolue l’épidémie en Europe ?
Dans la plupart des pays européens (vaccinés ou pas) le nombre de nouvelles contaminations journalières s’effondre depuis avril avec une chute de 85 % en deux mois
Cette régression spontanée de l’épidémie dans les pays durement touchés a partout précédé la vaccination démontrant que l’hypothèse « pas de fin du Covid19 sans vaccination » n’était qu’un slogan publicitaire des marchands de vaccins.
Une couverture vaccinale élevée protège -t-elle les populations ?
Les avocats de la vaccination prétendent constamment qu’une couverture vaccinale supérieure à 70 % protège les populations de la maladie. Examinons les faits avérés.
À ce jour, seuls deux petits pays ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 70 % : les Seychelles et Gibraltar. Et dans ces deux pays, les statistiques de l’OMS montrent que la vaccination a été suivie par une explosion des cas et de la mortalité.
Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations et de morts a explosé (passant à 95 morts).
La couverture vaccinale idéale, rêvée par les avocats de la vaccination n’a donc abouti dans ce pays qu’à une cuisante déconvenue alors que la situation sanitaire ne la justifiait en rien. Mais les autorités sanitaires responsables de ce désastre, pour éviter toute mise en cause, jurent que la vaccination n’est pas responsable.
Les Seychelles
Le tourisme constitue la principale ressource (environ 72 % du PIB et employant plus de 30 % de la population) de ce petit état africain qui compte à peu près 100000 habitants. Fin décembre, le pays comptait moins de 500 cas confirmés sans aucun mort, mais la fermeture des liaisons aériennes et l’hystérie mondiale de l’infection menaçaient la prochaine saison touristique.
Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’Inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai il est devenu le premier pays africain à se vacciner et l’un des pays les plus vaccinés au monde avec une couverture vaccinale supérieure à 70 %.
Mais depuis les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus avec des pics de 1000 cas journaliers plusieurs jours de suite mi-mai, conduisant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.
Au 3 juin, en cinq mois post vaccinaux, les Seychelles comptabilisent 42 morts de covid.
Un phénomène semblable a été observé sur l’ile de Man
Une couverture vaccinale de plus de 70 % installée depuis plusieurs mois ne protège donc pas de la propagation de la maladie contrairement à ce qu’affirment constamment les médias et les promoteurs de la vaccination !
Les faits avérés montrent :
Que l’épidémie est en voie de disparition en France, en Europe et aux USA.
Que les vaccinations étaient à chaque fois trop rares et trop récentes pour avoir participé à l’extinction de la maladie
Que les pays qui ont dépassé les 70 % de couverture vaccinale ne sont pas protégés
Alors pourquoi vouloir imposer un traitement expérimental pour une épidémie en voie de disparition alors que ces pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les contaminations et qu’ils exposent à de nombreuses complications ?
Source : Nouveau monde
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