@ Jacquart.
M. Jacquart, après la lecture de quasi tous les commentaires, force est de reconnaître que c’est vous qui posez la meilleure question.
La répression inouïe en effet avec laquelle la police, mais n’oublions pas nos amis gendarmes, ce sont livrées ces administrations sur les malheureux gilets jaunes, laissent à penser qu’ils n’ont eu aucun état d’âme à participer au massacre, car cela en était bien un, et n’ont aucunement pensé au suicide pendant cette période pour eux festive, par l’impunité absolue dont ils ont bénéficié.
Même que Castaner leur patron, allait tranquillement danser le soir, alors que de pauvres gens avaient été sauvagement éborgnés, tabassés illégalement bien souvent, gazés sans ménagement.
Pour avoir passé plus de trois décennies dans une de ces administrations à une autre époque, à un certain niveau hiérarchique, il a été stupéfiant de constater à quel degré de servilité était descendu la génération actuelle, obéissant aveuglément aux ordres les plus immoraux, comme empêcher l’accès au ravitaillement en eau de boisson, à des femmes et des enfants altérés en pleine chaleur.
De ma génération personne n’aurait jamais obéit à cet ordre, et encore moins l’aurait donné, sans en payer lourdement les conséquences d’une manière ou d’une autre. L’honneur avait encore une signification.
Pas étonnant après de tels agissements, que nombre de fonctionnaires ou militaires pensent au suicide. C’est même le contraire qui pourrait étonner.
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